Mercredi 20 janvier 2010 3 20 /01 /Jan /2010 21:58

La marche des hauts talons

  

On frappe à la porte de ma chambre. Avant que je puisse me lever, Delphine entra, et me voyant couchée toute habillée, avec mes bottines à hauts talons, elle me dit très vite:

- Pamela! Lève-toi! Si jamais Caroline ou ta tante Florence te voyait couchée sur le lit toute habillée,tu serais punie dans les cachots du sous sol de la maison.Il est équipé des appareils de l'Inquisition.J'en ai fait la connaissance et je peux te dire que le corset est une torture agréable et tes hurlements de souffrance résoneront sous les voutes.

Delphine dû m'aider à me lever, mon corset récemment réduit, m'avait rendu le buste plus raide.

Deux jours maintenant que Delphine avait terminé la première période de resserrage intensif. Elle m'avait fait perdre cinq centimétres de tour de taille en une semaine. C'était très éprouvant, surtout le dernier centimètre, je n'étais pas encore habituée à ma nouvelle taille.

Une fois debout, perchée sur mes talons de dix centimétres, je dus m'appuyer au montant du lit pour rattraper mon équilibre avant de pouvoir faire un pas.

- Dit moi Pamela, tu as vraiment fait tous tes exercices de marche?

- Oui... un peu...

- Un peu! Ou pas du tout? Tu es incapable de te tenir debout! Cela fait des jours que tu n'es pas sortie de ta chambre, et je parie que tu es restée couchée toute la journée! Pamela! Il est temps de te ressaisir, et de faire tes exercices de marche! Dans moins d'une semaine, tu devras changer de corset, porter un corset victorien,plus long, qui te limitera encore plus les mouvements du buste et ce jour là, tu te rendras compte qu'il est un peu tard pour apprendre à marcher correctement. Profite donc que tu ne portes qu'un corset court pour apprendre à marcher avec des hauts talons. Aujourd'hui tu peux encore fléchir légèrement le buste, ce qui est plus facile pour garder ton équilibre. Mais comment fera-tu avec un corset long qui te rendra beaucoup plus rigide? Comment rattraperas-tu ton équilibre sans pouvoir te courber?

Delphine me fit peur, elle ne m'avait jamais parlée ainsi.

- Met ta cape! Me dit-elle. Je vais t'accompagner pour notre promenade dans le parc.

Cela faisait trois jours que je n'étais plus sortie.

- Allons! Suis-moi.

- Je t'en prie Delphine, attend moi, tu marches trop vite...

- Trop vite! Tu as oublié le premier jour de ton arrivée au château, et tes remarques sur notre lenteur pour nous déplacer. Il me semble que le corset et les talons commencent à se faire sentir...

- Ho Delphine, je n'avais jamais porté des talons et un corset et je marche très difficilement avec ces talons trop hauts pour moi.

- Nous marcherons lentement et je te soutiendrai, mais il faut que nous fassions cette promenade.

Je la suivais à petit pas précautionneux dans le couloir. C'était la première fois que j'allais sortir sans être nue sous la cape. Bien que je n'aie pas encore eu le droit de porter une robe, je me sentais lourdement vêtue avec mes sept jupons, mon pantalon de dentelle, mes chemises, mon petit corset très serré et mon cache corset, des bas et ces maudites bottines avec leurs talons de dix cm.

Chaque pas devait se faire avec toute mon attention pour ne pas trébucher, posant le pied bien à plat sur le sol, c'est à dire, la pointe du pied très tendue pour que mes orteils touchent le sol en même temps que mes talons. Ceci m'obligeait à cambrer le pied au maximum. Le pied bien posé, sans me tordre la cheville, je basculais doucement le poids du corps sur le pied, ce qui me faisait dandiner d'une manière excessive.

En voyant cela Delphine me conseilla de marcher à tout petit pas et d'essayer de poser le pied juste devant l'autre et non sur le coté, comme si je marchai en équilibre sur une ligne étroite.

Mes premiers essais ne furent pas très concluants, et mon équilibre encore plus instable.

Delphine poursuivit.

- Je te conseille vraiment de marcher en posant le pied juste devant l'autre, cette marche est un peu précieuse et l'équilibre plus difficile, mais c'est la seule méthode avec un long corset rigide et une jupe étroite. Profite de ta relative liberté de mouvement pour t'entraîner, tu ne portes qu'un petit corset et les chaînes de tes chevilles ne sont pas encore trop courtes.

Tout allait bien, quoique très lentement, jusqu'au moment d'atteindre l'escalier descendant au rez-de-chaussée. L'escalier me parut particulièrement raide, ouvrant sur un gouffre sombre, d'autant plus impressionnant que les talons me grandissaient, me faisaient voir les choses avec un certain vertige.

Et pour corser la situation, mes larges jupons me cachaient les premières marches de l'escalier, m'obligeant à avancer sans voir le vide devant mes pieds.

Je devais à chaque pas, tâter le sol de la pointe de mes orteils, en espérant trouver cette première marche que je ne voyais pas. Enfin, je pus sentir le bord de la première marche, mais mes jupons s'avançaient très en avant au-dessus du vide, et je du serrer très fort la rambarde pour ne pas perdre l'équilibre et ne pas me laisser aspirer par mon vertige.

Delphine voyant mes hésitations, m'encouragea et me dit:

- Pour descendre une marche, tu dois te tenir le plus prêt possible du bord, et ensuite quand tu es bien en équilibre, avance doucement un pied et sent la bordure de la marche avec ton talon, tu te baisse lentement en faisant glisser ton talon sur la bordure de la marche jusqu'au moment ou ton pied touchera la marche inférieure. Après avoir pris ton équilibre sur le pied le plus bas, tu pose l'autre pied sur la même marche. N'essaye pas de descendre normalement, mais marche par marche. C'est un moyen plus sur quand on ne voit plus ces pieds et que l'on porte des hauts talons.

J'avançais doucement le pied droit et en me baissant un peu, j'essayais de trouver la marche avec mon talon, un fois le talon en contact avec le bord de la marche, je me laissai doucement descendre, en faisant glisser le talon. Quelle horrible sensation, en équilibre sur un pied, au bord de cet escalier vertigineux et le deuxième pied qui était toujours dans le vide, je descendais encore... un choc sur le talon, je venais de poser le pied sur la marche.

- Bien! Dit Delphine, ne bouge plus avant d'avoir retrouver une bonne stabilité sur le pied en bas.

Après quelques hésitations, je ramenais facilement l'autre pied sur la même marche.

En me concentrant sur toutes ces manœuvres j'avais réussi à descendre d'une marche, mais le vide devant moi me semblait avoir encore augmenté. Mes jupons reposaient sur le palier derrière moi et devant, le vide... Une mince victoire, une marche et j'étais essoufflée avec mon corset qui ne me permettait pas de reprendre ma respiration. De plus j'avais les jambes qui commençaient à trembler, ma stabilité sur mes hauts talons, devenait de plus en plus précaire...

- Delphine, je t'en prie aide-moi, j'ai le vertige, je ne pourrais jamais descendre cet escalier

 Mes jupons étalés largement devant moi, dans le vide, me donnaient de plus en plus l'impression d'être perchée en équilibre instable au bord d'un gouffre.

Je tournais la tête vers Delphine, sans bouger le reste du corps, et le regard implorant je la suppliais:

- Delphine, je t'en prie...

- Je crois que l'on va différer cette promenade. Ne te retourne pas, je vais t'aider à reculer, inutile de prendre des risques.

Delphine du me soutenir et me guider pour remonter sur le palier, je pus me retourner et rejoindre ma chambre à petit pas

- Tu es vraiment ridicule Pamela. Que de problèmes pour des talons de seulement dix cm! Je suis certaine que durant ces trois jours de repos, tu n'as pratiquement pas marché. J'ai beaucoup de travail avec l'atelier de corset et je ne pourrais pas être toujours derrière toi, t'aiguillonner pour que Mademoiselle veuille bien faire ces exercices! Tu te rappelle que Caroline doit venir demain avec de nouvelles chaussures qui ont onze centimètres de talons. Peux-tu me dire comment tu marcheras demain? Quelle explication donnera-tu à Caroline?

- Excuse-moi Delphine, mais tu m'as vraiment serrée trop fort, mon corset me coupe le souffle et me fatigue beaucoup, je n'ai plus de force...

- Tu m'accuses de t'avoir trop serrée? Tu préfères avoir une silhouette d'hippopotame?

- Non... Je suis contente que tu t'occupes de moi, je ne pensais pas que se serais si difficile et j'espérais que Caroline augmenterait la hauteur de mes talons un peu plus tard...

- Ce n'est pas en espérant que tu apprendras à marcher correctement!

- Mais... comment faire...

- Ho! Pamela, ne pleure pas, je suis ton amie. Ne craint rien, je vais m'arranger avec Caroline pour retarder sa visite avec tes nouvelles chaussures. Je trouverais bien un prétexte, mais nous devons commencer ton entraînement de suite et rattraper le temps perdu. Ta tante Florence va commencer à s'impatienter, et nous ne devons pas la décevoir. Tu dois s'avoir qu'elle me pousse à accélérer ton entraînement. Elle est très impatiente de pouvoir te présenter au concours d'entrée dans son école.

- Merci Delphine de faire patienter ma tante et Caroline.

- Ne rêve pas trop Pamela. Caroline n'attendra pas plus d'un jour ou deux, et tu devras inaugurer ton nouveau corset en même temps que tes talons de onze cm.

- Quelle importance, si je peux avoir ces deux jours de répits.

- Ho Pamela! Tu ne comprends pas. Pourtant l'expérience désastreuse de l'escalier aurait dû t'ouvrir les yeux! Des talons plus hauts, c'est moins d'équilibre, et le nouveau corset est plus long et très fortement baleiné. Ce nouveau corset te limitera beaucoup plus les mouvements du buste et de la taille, et bien sur, tu ne pourras plus faire ces mouvements pour rattraper ton équilibre.

- Ho... mais...

Je venais seulement de m'imaginer, perchée en équilibre instable au sommet de mes talons de onze cm, le corps trop rigide pour retrouver un peu de stabilité. Je m'imaginais comme une colonne vacillant sur son socle et rien ne pourrait empêcher sa chute.

- Bien dit Delphine. Me voyant perdue dans mes rêveries... Après cette promenade bloquée par un escalier un peu raide pour toi, je vais appeler Ninon, qu'elle te déshabille, change ton corset et te couche. Demain: Journée d'entraînement à la marche. Bonne nuit Sophie.

Le lendemain, après mes ablutions, parfumée, corsetée, enjuponnée... Delphine entra, et on pris ensemble un petit déjeuné léger et rapide.

Aussitôt le petit déjeuner terminé, aussitôt debout sur mes talons, les pieds cambré.

Delphine me retroussa mes jupons jusqu'aux genoux pour mieux me voir marcher.

Deux heures debout, à essayer d'avoir une démarche élégante et pas trop chaotique avec ces maudis talons.

- Le pied plus tendu! La pointe de ton pied doit se poser sur le sol en même temps que le talon! Cambre plus la plante du pied! Plus de souplesse! Ta cheville tremble, tu manque d'assurance! Non Pamela, n'essaye pas de faire de grand pas. Je vais être obligée de raccourcir la chaîne de tes chevilles! Tu vois, avec des pas plus petit, c'est plus facile. Pamela! Plus lentement je te prie! Des petits pas gracieux et pas aussi rapides! Prend ton temps.

- Mais, Delphine, je vais mettre un temps fou pour traverser une pièce. Si je dois traverser toute la salle de bal à cette allure, on va se poser des questions sur moi. Tu sais que j'ai horreur que l'on me regarde comme une bête curieuse, surtout quand il y a beaucoup de monde.

- Ma chère et tendre Pamela, je crains que tu ne puisses pas passer inaperçue dans une soirée. Les jupes étroites et les très hauts talons font parties des accessoires, qui interdisent la discrétion. En ralentissant tellement le moindre de nos déplacements, tout le monde a largement le temps de nous voir et de nous observer dans les plus petits détails. Allons Pamela, encore un quart d'heur d'exercices, et nous pourront prendre notre deuxième petit déjeuner.

Heureusement que nos corsets nous obligeaient, par la forte compression de nos estomacs, à manger un peu toutes les deux heures. Sans ces petits répits pour mes pauvres pieds, ces exercices de marche auraient vraiment été insupportables.

Et de nouveau debout, marchant de long en large dans la pièce, fessant le tour de la table, en ligne droite, en tournant, en fessant des demi-tours, en arrière, en avant... la tête me tournait, j'obéissais aux ordres de Delphine comme un petit soldat à la parade.

- Pose le pied plus délicatement! Assure mieux ton équilibre! Essaye de rester bien droite! Ne fléchi pas les jambes! Des pas plus petits! Ne te penche pas en avant! Non Pamela tu dois rester bien droite! N'essaye pas de garder ton équilibre en fléchissant la taille. Souvient toi! Dans deux jours au plus, tu ne pourras plus te courber du tous, ni en avant ni sur le coté. Le nouveau corset que je te prépare sera vraiment plus restrictif. J'ai particulièrement soigné le baleinage, elles seront plus nombreuses et plus épaisses. Je peux t'affirmer que ce nouveau corset ne te permettra plus aucune flexion de la taille.

Deux heures d'exercices, une brève pose et de nouveau deux heures à marcher, à marcher encore et encore. Delphine voulait maintenant que je marche d'une manière un peu bizarre. Je devais poser le pied juste devant l'autre, comme si je devais marcher en équilibre sur un fil de funambule. De plus je devais placer le pied d'une façon spéciale, non plus bien aligné, mais pour le pied droit, le talon à gauche et la pointe des orteils dans le prolongement du pied gauche. Oui c'est un peu compliqué. Cela m'obligeait à marcher en croisant les jambes à chaque pas, et rendait mon équilibre encore plus délicat. Ensuite Delphine m'interdisait de plier mes genoux, je devais marcher sans fléchir les jambes en faisant un petit arc de cercle. Ma jambe droite devait faire cet arc en s'écartant à droite et ensuite passant devant la jambe gauche terminer en croisant la jambe droite devant celle de gauche pour enfin poser le pied droit à... ma gauche. Cette marche plutôt compliquée et sophistiquée n'était pas évidente avec des talons hauts. Essayez donc même sans talon... L'obligation de croiser les jambes à chaque pas devait laisser des traces sur le sol des plus étranges, puisque les traces de gauche étaient laissées par le pied droit!!!

La journée fut longue et éprouvante. Mes pieds douloureux, les muscles de mes mollets tétanisés. J'étais bien trop tendue durant ces exercices, manque de souplesse par manque d'entraînement.

Au moment de me coucher, Delphine me dit.

- Rassure-toi, j'ai pu gagner une journée supplémentaire. Caroline ne viendra que dans deux jours avec tes nouvelles chaussures. Le changement se fera dans l'après midi. Il te reste deux jours et demis pour t'entraîner. Fais de beaux rêves ma chérie. A demain.

Le lendemain, levée tôt par Ninon, qui s'empressa de me pousser sous le trapèze de laçage et m'y attacha les poignets. Je fus suspendue et délacée. Ninon ne prit pas la peine de me faire descendre dans le bain. Elle me lava rapidement avec un gant de toilette, et m'habillât de mes nombreux sous-vêtements, chemise, corset strictement lacé, mes sept jupons... Delphine entra dans la salle de bain et d'habillage. Elle contrôla le laçage de mon corset ainsi que mes chaînes aux chevilles et aux poignets. C'est seulement après ces minutieux contrôles et après m'avoir cadenassé ma ceinture métallique par-dessus le corset, que Delphine autorisa Ninon de me libérer du trapèze.

Nous venions à peine de terminer notre petit déjeuner que ma tante Florence entra visiblement en colère.

- Delphine! Je viens d'apprendre que Pamela marche à peine avec des talons ridiculement petits!

- Florence me détaillait d'un regard dur.

- Lève-toi Pamela!

Je me sentais déshabillée par son inspection.

- Delphine! Comment se fait-il que Pamela porte toujours un corset court?

- Excuse-moi. Dit Delphine. Mais... l'atelier de corseterie est débordé. Son nouveau corset vient juste d'être terminé et...

- QUOI! Et pourquoi ne le porte t-elle pas en ce moment?

- Heu... pour apprendre à marcher avec des talons hauts, Pamela a besoin de garder un peu de souplesse au niveau de la taille. C'est pour son équilibre... un corset trop long et rigide l'empêcherait de...

- TARATATA! Il y a longtemps que Pamela devrait savoir marcher correctement avec des hauts talons. A ce rythme, Pamela sera une vielle dame quand elle se présentera à l'examen d'entrée de notre école.

- Mais Florence, Caroline était absente durant ces trois dernières semaines et...

- NON Delphine, ce n'est pas une raison! Tu es responsable de l'éducation et l'entraînement de Sophie! Tu devais demander à Caroline ces instructions durant son absence!

Le ton de Florence montait de plus en plus. Je ne l'avais jamais vue en colère à ce point.

- Je suis très mécontente! Ces manquements seront punis immédiatement! Vous deux! Suivez-moi dans la salle d'entraînement! Ninon! Allez chercher Caroline, qu'elle nous y rejoigne!

 

 

L'épreuve

 

 

 

Florence nous emmena dans la salle de travaux pratique. Toute la moitié de cette grande salle était occupée par un entrelacs de rambardes. En regardant mieux, ces rambardes étaient alignées de sorte à former un long couloir sinueux. Le sol était recouvert de plusieurs zones très différentes et étranges dans une salle.

En attendant l'arrivée de Caroline, Delphine m'expliqua le but de cette installation.

- Toutes ces rambardes matérialisent de chaque coté, un chemin que les élèves doivent suivre. Mais les barres horizontales de ces rambardes ne sont pas fixées, elles sont juste posées sur le sommet des poteaux, et tu ne pourras pas t'y appuyer. En fait, si tu touches une de ces barres, elle tombera par terre. L'épreuve consiste à faire ce parcourt entre les deux rangées de rambarde sans les faire tomber.

Bien sûr, ce parcourt comporte quelques difficultés. Des difficultés d'autan plus grandes que tes jupons seront plus encombrant et tes talons plus hauts.

- Et je devrais faire tout ce parcourt?

- Evidemment! C'est le parcourt que font toutes celles qui apprennent à marcher avec des talons très hauts.

- Ca me semble plus facile que de descendre les escaliers.

- Ma très chère Pamela, je croix que tu n'as pas très bien observé le sol. Le chemin traverse différentes zones, des zones faciles, comme du parquet ou du carrelage, mais il y a d'autres zones plus difficiles, comme des zones de gravier, des parcours sur du gazon ou du sable, mais surtout des zones de sol très inégales, de gros pavés bien ronds et glissants, des dalles très mal posées, toutes de guingois ou tu ne pourras pas poser le pied à plat, d'autre zone ou le sol est recouvert de grandes dalles mobiles qui bouges quand on marche dessus et aussi une horreur pour les dames en hauts talons, une zone recouverte de gros galets. Je me rappelle avoir essayé de faire quelques pas sur la plage de galet d'Etreta. Je n'avais pas fait deux pas, qu'il fallut m'aider à faire demi-tour. Les talons s'enfoncent entre les galets et tu ne peux tenir que sur la pointe des pieds, posés sur le sommet d'un galet instable, ne demandant qu'a tourner pour te faire tomber.

- Ho Delphine, je m'imaginais marcher avec des hauts talons uniquement dans le château. Ce que tu me décris est un véritable parcourt du combattant.

- C'est un peu cela Pamela. Tu peux remarquer qu'il y a en plus, dans le parcourt des obstacles à franchir. Des obstacles ridicules pour la plupart des gents, mais qui peuvent être infranchissables avec des talons très hauts et une jupe entravée. Regarde, après la zone de gravier, il y a une bordure de 9cm de haut. La chaîne de tes chevilles ne fait que 10cm. Tu passeras tous juste. Et plus loin, un petit escalier, cinq marches seulement, mais des marches tellement étroites que tu devras poser le pied de travers. La montée est facile sur la pointe des pieds, mais la descente...

Caroline entra, visiblement inquiète, d'autant plus que l'accueil d'Florence fut inhabituellement froid.

Florence renvoya Ninon chercher de l'aide chez les couturières de l'atelier dirigé par Caroline.

- Bien! Dit Florence. En attendant l'arrivée des couturières. Je vais vous exposer ma décision vous concernant toutes les trois.

Vu qu'il est inadmissible que Pamela ne soit pas plus avancée dans son éducation.

Vu votre laxisme dans la conduite de cette éducation. Toi Delphine en tant que responsable de Pamela, de ces corsets et de ces entraînements. Toi Caroline pour ton imprévoyance concernant les robes, les sous-vêtements, et les chaussures de Pamela.

J'ai décidé de vous punir collectivement en fonction du résulta de l'épreuve que Pamela va subir.

Ninon revenait accompagnée de quatre couturières.

- HA! Enfin vous voilà! Dit Florence. Ninon! Allez me chercher le nouveau corset de Pamela! Et dépêchez-vous un peu!

Je ne pus m'empêcher de dire...

- Mais Florence, le nouveau corset n'est prévu que dans deux jours, je ne suis pas prête à...

- Silence Pamela. A ce rythme, tu ne seras jamais prête à quoi que se soit! Tu as déjà trop de retard dans tes entraînements. Nous allons vite nous rendre compte de tes capacités à devenir une élégante lady.

Bien! en attendant le retour de Ninon avec le corset de Pamela, voici ma décision:

Pamela va devoir faire tout le parcourt après avoir revêtu son nouveau corset. Ecoute-moi bien Pamela. Tu seras responsable de l'ampleur de la punition que sous subirez toutes les trois.

En faisant le parcourt, à chaque barre qui tombera vous devrez revêtir un jupon supplémentaire par dessus vos vêtements. A chaque chute de Pamela, c'est trois jupons que l'on ajoutera. Et tous les sept jupons, on ajoutera une chemise de dessous, un corset, un cache corset et une robe de velours.

Mesdames les couturières, tous ces vêtements se ferment par des lacets. Vous ne devrez pas faire des nœuds coulissants, mais des triples nœuds ! Quand l'épreuve sera terminée, et nos trois chères et tendres amies bien couvertes, elles seront toutes les trois enfermées dans une chambre, avec interdiction pour qui que se soi de les aider à se déshabiller.

Demain, Pamela subira la même épreuve, dans la tenue qu'elle aura à ce moment et la même punition sera appliquée sur mes trois chères amies. Quel que soit la quantité de vêtement qu'elles porteront encore.

Conclusion mes très chères! Si Pamela maîtrise parfaitement la marche avec des hauts talons, cette punition devrait être très légère, si non... tant pis pour vous!

Il se fit un grand silence. Je regardais le parcourt avec plus d'attention et aussi plus d'inquiétude

- Alors! Vous semblez figées comme des statues de sel! Maryse et Ninon, vous avez à votre disposition un trapèze de laçage et un beau corset tout neuf! Allons du nerf! Attachez Pamela au trapèze et changez son corset. Même tour de taille! Je contrôlerais et gare à vous si sa taille fait un millimètre de trop!

Je fut entraînée aussi vite que je pouvais marcher et aussitôt sous le trapèze, elles me lièrent les poignets à la barre. Je fus soulevée très rapidement. Ninon me détacha la ceinture métallique et elle coupa les lacets avec une paire de forts ciseaux. Mon petit corset me libéra le ventre d'un seul coup, comme s'il avait claqué en deux. Ca me fit mal d'une façon... pas comme un coup de poing dans le ventre, mais un choc brutal, inattendu, un grand souffle d'air me gonflait les poumons de force, sans que je puisse le contrôler.

De suite, Ninon et Maryse, une jeune fille assez forte que je voyais pour la première fois, m'entourèrent le buste avec le nouveau corset, et entreprirent de l'agrafer le plus vite possible. Je les sentais fébriles, mais malgré tout cet énervement, terriblement efficaces. Je fut enfermée dans mon nouveau corset en un rien de temps. Je sentais ces nombreuses baleines me pétrir les hanches la taille et la poitrine, mes seins poussés en haut. Je sentais ma poitrine poussée bien trop haut et trop en avant. Je suis sure que ce corset va me faire une silhouette beaucoup trop provocante. J'ai toujours eu un peu honte d'avoir des seins trop forts. J'avais, jusqu'à ce jour, réussi à les masquer plus ou moins en portant des vêtements qui m'écrasaient la poitrine.

Ninon et Maryse, ne me laissait pas le temps de rêver, ma taille se comprimait déjà, elles s'activaient sur mes lacets et le corset me serrait rapidement sur toute la longueur. L'effet était très différent par rapport à mon petit corset, celui-ci me comprimait la cage thoracique et me limitait ainsi beaucoup plus ma respiration. Je sentais maintenant comme un poids sur ma poitrine. Mes hanches étaient également fortement serrées et la rigidité de mon long corset, me bloquait tous mouvements du bassin.

Aussitôt serrée, les deux caméristes me firent descendre sur mes pieds et je pus me rendre compte combien ce corset était rigide, me bloquant tout le buste dans une position imposée par la forme des baleines et du corset.

Me déplacer, enfermée dans ce nouveau corset était une découverte. Le buste rigide, le bassin bloqué, à chaque pas sur mes hauts talons, c'est tout le buste qui oscillait d'un bloc, au lieu du balancement naturel du bassin.

Quelle étrange sensation de marcher avec un équilibre complètement transformé par la rigidité du long corset. Ma respiration également modifiée, j'étouffais presque, chaque inspiration était durement limitée par le serrage du corset sur ma poitrine. Je me rappelais des conseils de Delphine, "Respirer par le haut!" Oui bien sur, impossible de faire autrement, mais ma respiration était vraiment très limitée et chaque inspiration me soulevait les seins de manière honteusement provocante.

Ninon me conduisit à l'entrée du labyrinthe. Il y avait un bac de gravier long de quelques mètres et de chaque coté, des barres juste posées sur de petit poteau matérialisant le parcours.

Allons! Dit Florence, en avant et rappel-toi! Une chute égale trois jupons supplémentaires, un jupon à chaque barre qui tombera.

J'avançais entre les deux barrières sur le gravier. Mes talons s'enfonçaient dans le gravier, vite un pas en avant, un autre pour rattraper mon équilibre, mais après trois ou quatre pas de plus en plus rapides, je tombais de tout mon long en reversant dans ma chute un poteau.

Je pus me relever avec beaucoup de difficultés, gênée par mes jupons et la raideur de mon corset.

Florence me regardait avec un sourire pas très sympathique. dans ma chute, j'avais fait tomber deux barres...

Deux plus trois égale cinq jupons! Bravos Pamela! Beau score pour trois mètres de parcours.

Je m'avançais maintenant avec plus de prudence Une bordure à franchir, Delphine m'avait prévenue, cette bordure ne faisait que neuf centimètres de haut, mais la chaîne de mes chevilles ne faisait qu'un centimètre de plus. Je m'approchais le plus près possible et je pus facilement la gravir, la descente fut plus délicate, mais si je réussis à garder mon équilibre, une barre de plus tomba bruyamment.

Six dit Florence. La zone suivante était faite de dalles posées de manière très irrégulières et toutes de biais.

Je devais orienter mon pied de sorte à ne pas me tordre les chevilles, mais ces dalles penchaient vraiment dans tous les sens. Cependant j'avançais peut être lentement mais sans accident. Encore un dernier pas et... trop pressée de sortir, je perdis mon équilibre et réussi sans savoir comment à ne pas tomber et... le bruit des barres tombant par terre... je me retournais lentement pour constater les dégâts.

Deux de plus dit Florence. Le cap des sept est dépassé.

Delphine et Caroline portaient déjà six jupons de plus par dessus leurs robes. Ces jupons s'élargissaient autour d'elle comme une petite crinoline. Les caméristes ajoutèrent le septième jupon et ensuite, elles leur firent revêtir une chemise de dessous, un corset lacé très serré, un cache corset, et une robe de velours bleu rois et par dessus, le huitième jupon.

Devant moi, le petit escalier de cinq marches, des marches très étroites. Je pus le monter sur la pointe des pieds, le talon dans le vide. Arrivée au sommet sur une plate forme, la véritable épreuve m'attendait. Impossible de descendre normalement cet escalier. En principe, l'exercice prévoyait que je le descendrai de face les pieds tournés sur le coté, mais je trichais un peu en me positionnant de profile, je pus ainsi descendre cet escalier marche par marche en progressant comme les crabes.

Enfin une épreuve passée avec succès. Malheureusement, en me tournant vers Delphine et Caroline, je touchais à peine une barre qui tomba. Neuf jupons... et le parcourt n'était pas terminé.

La planche à bascule. Une planche large de 20 à 30cm, longue de deux mètres était posée sur un gros cylindre. La planche penchait vers moi et formait ainsi une rampe inclinée que je devais monter. La montée fut facile, la pente de la planche soulageai la tension de mes chevilles, mes talons étant un peu plus bas que la pointe de mes pieds. Je m'arrêtais un peu avant le somment, juste avant que la planche ne bascule dans l'autre sens pour la descente.

Je fit un pas, la planche bascula plus vite que je l'avais imaginé, et mes talons furent subitement plus hauts et me poussaient en avant. Je ne pus me retenir. C'est comme si on m'avait poussée en avant, je tombais en roulant et dans un grand bruit de barres qui tombaient. Le bilant était catastrophique, six barres étaient tombées plus trois points pour ma chute... J'étais honteuse, n'osant plus regarder Delphine et Caroline engoncée dans leur multiple couches de jupons, de robes et de corsets, et qui allaient devoir supporter une punition encore plus pénible par la faute de mon incompétence.

Cinq jupons de plus, leur robe était maintenant aussi large qu'une crinoline des années soixante. Une chemise de dessous, un corset de plus et toujours serré au maximum, un cache corset et une nouvelle robe de velours noir, et puis les quatre jupons de plus pour arriver à dix huit jupons.

Il ne me restait qu'une épreuve, un parcours sur des gros pavés ronds et glissant. Je m'appliquais à bien poser le pied stable, et si possible dans un creux entre les pavés pour ne pas glisser. Ma progression était lente mais sans trop de problème. Ce parcours était relativement long et mes chevilles commençaient à trembler tellement j'étais tendue. La fin du labyrinthe approchait, mais je tremblais de plus en plus sur mes hauts talons instables. Soudain une terrible crampe dans mon mollet gauche. Je pus encore faire un pas, mais il me restait un mètre à faire. Ma crampe ne me permettra jamais de terminer normalement. Je décidais de tenter le tous pour le tous, et poussant avec la jambe valide, j'essayais de traverser le dernier mètre en sautant. Ce qui marcha très bien, je n'accrochais aucune barres, mais je ne pus me recevoir correctement sur ma mauvaise jambe et je tombais à nouveau.

Enfin sortie de cette épreuve...

Bravo Me dit Florence, Grâce à ta dernière chute tu vas permettre à tes deux amies de revêtir trois autres jupons et de finaliser leur habillage par un autre corset et une autre robe, une robe de velours très épais, bien chaude et lourde, avec pour cette dernière robe une jolie traîne de quatre mètres de long. Une traîne particulièrement encombrante. Mais ne soit pas impatiente, Ninon et Maryse vont bientôt pouvoir s'occuper de toi et tu pourras ressentir le poids, la chaleur et l'engoncement de cette accumulation de vêtements.

Delphine et Caroline étaient pétrifiées, comme des poupées recouvertes d'une robe beaucoup trop volumineuse. Elles ne bougeaient plus, le visage rouge, haletantes, semblant attendre qu'on les range dans une vitrine, comme des objets luxueux.

Les deux caméristes rangeaient les vingt et un jupons les trois robes de velours, les trois corsets, trois caches corset, trois chemises de dentelles. Une montagne de vêtements étalés sur une grande table. Un étalage de grand magasin. Il m'était difficile d'imaginer porter toutes ces choses en même temps, et pourtant Delphine et Caroline étaient la preuve vivante que cela devait être possible. Possible mais à quel prix...

Je portais déjà sept jupons et mon nouveau corset plus long et contraignant que le précédent.

Maryse et Ninon me conduisirent au début de la longue table. Elles commencèrent par m'attacher les premiers jupons en faisant des triples nœuds. Après chaque nouveau jupon, elles me faisaient avancer d'un pas vers le jupon suivant sur la table. Les sept premiers jupons fixés solidement à ma taille, Maryse et Ninon, me firent revêtir une chemise dont les manches étaient un peu étroites par dessus ma première chemise, ensuite un petit corset qui ne pouvait descendre sous la taille mais qui montait assez haut plus un cache corset et enfin la robe de velours noir, très lourde. Et pour terminer, le corsage de velours noir également. Les manches très étroites par dessus mes deux chemises à manche longue. L'effet d'engoncement dans des vêtements trop lourds et étroits se faisait déjà sentir.

Un pas en avant, un tiers de la table était maintenant vide, restait deux tiers de table recouvert d'étoffes, de robes... qu'il me faudra bien porter que ça me plaise ou non.

Un petit pas le long de cette table interminable et un jupons de plus, un corset ou une robe lourde, très lourde, étouffante, me bridant de plus en plus. J'avançais lentement, comme une statue, presque sans bouger. Le poids, la chaleur, la respiration difficile et mes pieds qui me fessaient souffrir à force de rester debout, de supporter tout ce poids.

La dernière robe, avec une longue traîne. Mes bras devenus énormes par l'épaisseur des couches de tissus, étaient comme des poteaux, incapables de fléchir ou de bouger.

J'étais une poupée portant une robe immense, les bras largement écartés et droits. Impossible de s'asseoir. Je ne pouvais me déplacer qu'avec une extrême lenteur.

Sur l'ordre d 'Florence, Maryse et Ninon, nous conduisirent à une chambre préparée pour nous trois. Ninon devait nous ouvrir en grand les deux battants des portes pour que nous puissions passer malgré la largeur de nos robes. Maryse fermant la marche et fermant les portes que nous n'aurions pas pus manipuler tellement nos bras étaient bridés par nos multiples couches de robes épaisses.

La progression vers cette chambre fut longue et pénible et nous étions toutes les trois en nage en arrivant dans cette chambre ou on nous enferma.

Je me laissais tomber, épuisée par la chaleur, l'étouffement et le poids de toutes ces couches de tissus.

Le volume des jupons et des robes de velours était tellement important, que je ne pouvais pas m'étendre sur le sol. Je restais assise dans un tas immense de tissu accumulé autour de moi et qui m'obligeait à resté droite, malgré le désire de me coucher à même le sol.

Delphine s'était laissée tombé sur le lit. Ces jambes seraient restées suspendues dans le vide sans ces multiples jupons qui les maintenaient à l'horizontal tellement l'épaisseur de ces robes et jupons était grande. Vu sa posture à demis sur le lit et à demi noyée dans les jupons, je ne voie vraiment pas comment elle pourrait se lever sans aide.

Caroline avait essayé de s'asseoir dans une chaise, qui s'était renversée, repoussée par ces jupons, bien avant qu'elle puisse s'en approcher. Elle semblait maintenant être à genoux, immobilisée par tous ces vêtements.

Ont ne bougeaient plus, et on resta toutes les trois immobilisées toutes l'après midi.

Le soir, Ninon nous rendit visite en cachette et nous aida toutes les trois à nous lever.

Delphine avait-je ne sais comment un peu repris ces esprits.

- Approchez-vous! Dit Delphine. Nous devons nous débarrasser du plus grand nombre de jupons possible. Demain Pamela repasse la même épreuve. Les jupons, corsets et robes vont s'accumuler sur nous, et ceci par dessus les couches de vêtements que nous porterons encore.

- Mais Delphine! Dit Caroline. C'est impossible! Florence ne va quand même pas continuer la punition... On ne pourra jamais porter deux fois plus de vêtements...

- Tu as raison Caroline, c'est pourquoi nous devons enlever le plus de vêtement possible. Nous devrions commencer par déshabiller Pamela en premier, pour qu'elle puisse passer l'épreuve plus facilement. Si non, nous serons encore plus couvertes, plus noyées sous des masses de tissu.

La nuit fut longue et pénible. Chaque jupon devait être dénoué un à un avec leur triple nœuds.

Le matin, j'étais débarrassée de tous mes jupons robes et corsets. Mais Delphine et Caroline n'avaient pas encore terminé quand Florence vint nous chercher pour la deuxième épreuve. Elles avaient réussit à enlever deux robes sur trois, deux corsets sur trois et quatorze jupons sur vingt et un.

Il faudra que je m'améliore rapidement si non, Delphine et Caroline vont étouffer sous leurs multiples couches de vêtements.

 

 

 

 

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Dimanche 17 janvier 2010 7 17 /01 /Jan /2010 22:58

Habillée et resserrée

 

 

Déjà deux semaines que j'étais arrivée au château. Comme Mende était loin, Le souvenir de mon départ, les jeux dans les bois avec Daniel, mes disputes avec mes parents... tous cela me semblait déjà loin dans le passé. Mais maintenant, j'aspirais à des changements. Si les deux premières semaines avaient été riches en découvertes, je dois dire que l'ennui me gagnait. Les journées enfermée dans mes appartements étaient plutôt monotones. Delphine avait insisté pour que je reste en corset, mais toujours à la même taille durant toute cette période, sans me resserrer.

Cela devait être efficace, car maintenant je me sentais confortablement maintenue et doucement serrée. Quelle différence avec les trois premiers jours. J'appréciais le soutient ferme de mon corset, bien que sa rigidité m'interdise certain mouvement de flexion de la taille.

10 heures le matin. J'attends avec impatience Caroline et Delphine. J'espère que Caroline apportera de quoi m'habiller convenablement.

Deux semaines vivant quasiment nue, seul le corset me couvrait le ventre. Je ne pouvais évidemment pas sortir ainsi. Mes promenades la nuit en compagnie de Delphine étaient un délice. La caresse de l'air frais... Excepté mon corset, j'étais nue sous une grande cape qui ne fermait pas. La magie d'un parc sombre dans le quel on s'imaginait se perdre. Le visage délicat de Delphine très pâle, d'autant plus pâle qu'il se dévoilait par instant, cerné par ses longs cheveux noirs, un visage à peine éclairé par la lumière grise, un peu bleutée de la lune.

10 heures et quart toujours personne. Je ne pouvais pas imaginer qu'ils m'aient oubliée.

On frappe à la porte! Enfin... mon cœur bat fort. Une nouvelle étape m'attend.

Caroline entre suivie de Delphine qui s'approche de moi et m'embrasse tendrement. Caroline s'est arrêtée, me regarde, et s'avance lentement, pour m'embrasser timidement sur la joue.

Ninon entre également portant des cartons et repart aussitôt pour revenir très vite avec d'autres cartons

- Ma chère Pamela"me dit Delphine" comment te sent-tu? Le corset, tu le supportes mieux maintenant?

- Ho! Oui. Je m'y suis bien habituée. Il est devenu agréable à porter, et je suis certaine de pouvoir le porter beaucoup plus serré.

- Tant mieux, car à partir de ce jour, je commence la véritable réduction de ta taille. Mais il faut éviter les excès. Je te réduirais la taille centimètre par centimètre, très lentement et régulièrement. Ceci durant une bonne semaine, et ensuite, tu auras droit à une période de repos sans nouveaux serrages, seulement en gardant le tour de taille que tu auras atteint au bout de cette première période de resserrage.

Mais avant de commencer le resserrage du corset, Caroline va s'occuper de toi.

- Merci Delphine. Caroline, tu vas me donner des vêtements? Je vais enfin pouvoir m'habiller normalement?

- Normalement! Me dit Caroline. Ici rien n'est tout à fait ordinaire, alors la normalité... Mais rassure toi. Tu auras une belle jupe et d'autres choses aussi.

- Ninon t'aidera dit Delphine à Caroline. Elle sait comment lui enlever son corset et elle est une parfaite camériste.

Delphine s'écartait un peu, et s'assis dans un "Voltaire" de sa manière habituelle, sur le bord du fauteuil, se baissant en fléchissant les jambes, le buste parfaitement droit et rigide. Sa taille ne se pliait pas d'un seul millimètre. Delphine nous observait, le buste raide la taille d'une minceur, d'une étroitesse à crier. Seul le haut de sa poitrine montait à chaque inspiration. Elle était une statue, une oeuvre d'art de la mode extrême.

Caroline sortit d'un carton une chemisier de dessous et un string de dentelle fendu dans l'entrejambe. Mais mon corset devait être enlevé et je n'avais plus le droit de me tenir debout sans être corsetée. Caroline se tourna vers Delphine et, comprenant son embarras, appela Ninon, qui me conduisit dans la salle de bain, suivie de Caroline.

Ninon fit descendre la barre de laçage et je passais les poignets dans les sangles de sorte que je puisse être soulevée.

Ninon actionna le treuil et me fit quitter le sol. Elle me délaça et dégrafa mon corset. Je sentais la fraîcheur de l'air sur mon ventre libéré du corset. Ninon sortit de la salle de bain pour demander à Delphine la clef de mes chaînes aux chevilles. Depuis une semaine, mes poignets et mes chevilles étaient restés enchaînés, Ninon ne possédait que la clef de ma ceinture métallique pour pouvoir changer mon corset et me faire prendre mon bain le matin. Comme je ne portais pas d'autre vêtement que mon petit corset, il avait été inutile de me libérer mes poignets que Delphine avait enchaîné pour m'interdire certaine chose. De même que la chaîne de mes chevilles destinée de m'apprendre à marcher à tout petits pas.

Caroline put alors me passer mon nouveau chemisier de dessous qui était lisse au niveau de ventre mais garnie d'une profusion de dentelle sur ma poitrine. Vint ensuite le string de dentelle,avec ses rubans de satin.

 Le grand miroir en face de moi, me donnait une image merveilleuse de ma transformation. Je n'avais jamais porté des dessous aussi élégants et sophistiqués, ma silhouette se transformait radicalement, me faisant des hanches généreuses, très femme, et toutes en douceur vaporeuse, par les dentelles.

Quel dommage que mes poignets me fassent un peu mal, parce que le reste n'était que douceur et volupté.

Ninon revint et m'agrafa mon petit corset qui devait faire contraste entre ma taille fine, étroite et rigide par rapport à mes nouvelles hanches volumineuses douces et vaporeuses. Elle me laça à 54cm, comme le premier jour.

Caroline m'enfila les jambes dans des bas de soie, fixés par des jarretelles qu'elle glissa sous mon string. Vint ensuite une paire de bottines, avec des talons plutôt hauts, je les voyais à peine, mais mes pieds durent se cambrer fortement pour entrer dans ces bottines. Ces bottines montaient à mi-mollets et se fermaient par un lacet que Caroline serra fermement. Ensuite, Caroline appela Delphine, qui m'inspectait sous toutes les coutures.

Delphine demanda à Caroline:

- Tu dois encore lui mettre d'autre chose?

- Oui, elle doit encore porter une jupe et une veste.

- Bien! Dit Delphine"ma tendre Pamela, je vais commencer la véritable réduction de ta taille. Cela se fera par période de 5 ou 6 jours, avec ensuite une semaine de repos, sans nouveau resserrage, le temps que tu t'habitues à ta nouvelle taille et que tes organes internes puissent se déplacer lentement. Durant cette première période, ton corset sera resserré d'un cm supplémentaire chaque matin et ceci pendant 5 jours. Tu es prête?

- … Oui, … je … je l'espère.

- Ho! Quel petit "oui", ne craint rien ma tendre Pamela, je serais sans doute ferme et inflexible, mais rassure-toi, tu n'es pas la première fille à qui j'ai réduit le tour de taille.

Delphine se plaça derrière moi, je sentis le corset se relâcher légèrement quant elle dénoua les lacets, et ensuite la pression sur le ventre augmenta. Delphine avait tiré sur mes lacets, me réduisant la taille d'un centimètre.

Je ne sentais presque pas la différence, et j'aurais souhaité qu'elle me serre encore plus.

- Patience! Me dit Delphine. Ce n'est que le premier resserrage. Dans cinq jours, le dernier centimètre sera beaucoup plus difficile. Tu ne feras plus que 49cm de tour de taille et on pourra fêter ton passage sous la barre des 50cm.

Dans cinq jours… J'imaginais difficilement que je pouvais avoir la taille aussi fine en si peu de temps.

Cinq jours de resserrage à endurer et ensuite un repos pour m'habituer à ma nouvelle silhouette, ma nouvelle compression de mon ventre. Delphine ayant terminé d'ajuster mon corset, Ninon m'enchaîna de nouveau les chevilles par-dessus mes bottines, ensuite comme j'étais de nouveau bien corsetée, et enchaînée, elle me descendit sur mes pieds.

- Ho!

Heureusement que la barre de laçage descendait lentement. C'est avec beaucoup de maladresse que je tentais de poser les pieds au sol. Je n'arrivais pas à trouver la bonne position pour me tenir bien stable sur mes pieds. C'est Caroline qui dû me guider en me tordant les chevilles pour que la pointe de mes talons repose sur le sol en même temps que la pointe de mes orteils. Mes talons bien trop hauts me cambraient douloureusement la plante des pieds et ne me permettaient pas de trouver l'équilibre.

Je ne pus lâcher la barre de laçage qu'avec l'aide et l'appui de Ninon.

Je restais immobile, les pieds tremblants sur leurs talons bien trop hauts pour moi, les jambes fléchies pour soulager la cambrure forcée de mes pauvres pieds.

Delphine et Caroline souriaient en me voyant si peu sure de mon équilibre.

- Caroline dit à Delphine en riant: Je crois bien que notre petite protégée ait besoin d'apprendre à marcher, elle ressemble à un poulain qui vient de naître en équilibre précaire sur ces longues pattes.

- Ho oui! Dit Delphine. Il lui faudra beaucoup d'exercices et de leçons de maintien pour lui apprendre à mettre un pied devant l'autre sans perdre son équilibre, et encore plus de leçons pour qu'elle puisse se déplacer à petits pas hauts perchés, avec un minimum de grâce.

- Delphine ajouta à mon intention: Pamela, je te conseille de t'entraîner aux talons très hauts le plus vite possible. Profites que tu ne portes qu'un petit corset. Le jour ou je te ferais porter un corset plus long et donc plus rigide, il te sera bien plus difficile de garder ton équilibre sur tes hauts talons avec le buste droit et raide.

Il est vrai que j'avais une posture un peu bizarre, les jambes fléchies pour atténuer la cambrure des pieds et le corps penché en avant pour retrouver un peu d'équilibre. Ninon m'aida à faire un petit tour dans le salon. Un petit tour très lent, à petits pas limités autant par la chaîne reliant mes chevilles que par ces talons vraiment trop hauts. Delphine et Caroline m'encourageaient à me redresser, à tendre mes jambes, mais il m'était encore impossible de ne pas fléchires les jambes.

Caroline me demanda de m'approcher. Elle avait sorti d'un autre carton une série de jupons, tout blancs et ornés de volants dans le même style que les volants de mes pantalons. Même style mais plus large et sur toute la hauteur du jupon.

- Caroline dit à Ninon: Mademoiselle, vous devrez assurer l'habillage de Mademoiselle Pamela et je vous prie de suivre les instructions suivantes pour l'ordre dans lequel vous devrez Habiller Mademoiselle Pamela.

- Oui Madame. Répondit Ninon qui semblait inquiète en voyant tout le travail que mon habillage du matin allait lui demander.

- Caroline continua: Vous vous rappelez l'ordre de son habillage: La chemise de dessous, les bas tenus par des jarretelles, le pantalon de dentelle, le corset, et les chaussures pour terminer l'habillage à la barre de laçage. Ensuite, une fois Mademoiselle Pamela libérée de la barre de laçage, le premier jupon. Vous noterez que les jupons sont numérotés. Bien qu'ils se ressemblent et qu'ils sont tous largement garnis de volants de dentelle pour leurs donner du volume, le premier est plus court et descend jusqu'au sol, les jupons suivants sont de plus en plus longs de sorte à descendre également jusqu'au sol malgré leurs ampleurs de plus en plus grandes. Il y a sept jupons superposés pour la robe de jour ordinaire, treize jupons pour la robe du soir et encore plus pour la robe de bal. Par-dessus vous lui mettrez le cache corset. C'est un modèle spécial, dessiné par Madame Delphine. Il a beaucoup de dentelles très denses au niveau de la poitrine et est baleiné comme un corset. Il se lace dans le dos comme un corset de sorte à être au plus près de sa silhouette corsetée, et de ne faire que le minimum d'épaisseur sur sa taille.

Je n'en croyais pas mes oreilles, je pensais que seul mon corset serait resserrer, mais je devais subir des bottines avec des talons atroces et en plus toute cette superposition de jupons, de cache corset… Mais je vais étouffer sous autant de vêtements, je peux à peine marcher avec mes nouvelles chaussures mais si en plus je dois porter toutes ces choses en même temps, je ne pourrais sûrement plus bouger.

Caroline attachait mon premier jupon en montrant bien à Ninon comment nouer le cordon du jupon. Avec mes jambes fléchies, le jupon traînait un peu trop par terre et Caroline me demanda fermement de me redresser.

Les jupons s'accumulaient autour de moi, formant une corolle de plus en plus large qui s'évasait à partir de ma taille corsetée.

Après mes sept jupons, le cache corset qui recouvrait ma poitrine, qui était ainsi couverte pour la première fois, depuis deux semaines. Deux semaines les seins entièrement dénudés. Deux semaines qui m'avaient permit de m'habituer à ne plus porter aucun vêtement et… brutalement… cette accumulation de vêtements lourds et chauds…

Caroline et Delphine restèrent en ma compagnie toute la journée. Elles tenaient à m'observer dans mes nouveaux vêtements, à me faire faire des exercices de marche, à me déplacer avec ces jupons, à gérer leurs encombrements, à me tourner lentement sans faire voler ces jupons et risquer d'accrocher un objet, de le faire tomber… Apprendre à me déplacer dans des lieux encombrés avec grâce, délicatesse malgré le volume de mes jupons. Mais le plus difficile était de marcher. Marcher en étant perchée sur des hauteurs invraisemblables, sans voir mes pieds cachés par les jupons, et les chevilles enchaînées par une chaîne de quinze centimètres, le tout le plus gracieusement possible en me tenant bien droite.

J'étais intriguée par mes chaussures, et je me demandais quel pouvais être la hauteur de mes talons.

- Caroline. Dis-moi, mes chaussures ont des talons très hauts… Mais c'est la première fois que je porte de telles bottines. Peux-tu me dire quelle est la hauteur de mes talons s'il te plaît?

- Mais bien sur ma tendre Sophie. Ils font dix centimètres. Mais ne t'inquiète pas, tu t'y habitueras très vite et tu pourras en porter de biens plus hauts.

- Encore plus haut?

- Oui, mais ne sois pas impatiente, Chaque chose en sont temps. Aujourd'hui, il est plus sage de se limiter à dix centimètres. Plus tard tu auras des talons et des chaussures bien plus intéressantes. Mais avant il faut bien faire tes exercices de marche et acquérir une posture et une démarche plus élégantes.

La journée fut longue et le soir le bien venus. Ninon avait maintenant beaucoup plus de travail pour me déshabiller le soir et ce fut avec soulagement que je pus m'étendre dans mon lit, débarrassée de tous ces jupons encombrants.

Bien que mon corset ait été réduit d'un centimètre, je le sentais à peine et la nuit fut douce.

Lendemain matin. Branle bas de combat.

Il fallait être prête à neuf heures, et deux heures ne furent pas de trop pour prendre mon bain, sortir du bain attachée à la barre de laçage, dessous, pantalon, corset, bas, chaussures, ensuite mes chaînes de chevilles, ma ceinture métallique cadenassée, mes sept jupons et cache corset. Ouf! , Ninon était à bout de souffle, et moi solidement corsetée, perchée au sommet instable de mes talons, étouffant sous ces jupons et tous ces falbalas.

Delphine entra, elle aussi toute essoufflée. Elle avait essayé en vain de rattraper son retard. En fait, elle s'était dépêchée autant que son corset le lui permettait. Et son corset ne lui avait pas permis beaucoup tellement elle aimait être atrocement lacée.

Je dû reprendre place sous la barre de laçage. Vivement soulevée, mon cache corset enlevé. Delphine put ainsi me réduire la taille d'un centimètre supplémentaire. Ninon me relaça mon cache corset et enfin libérée de ma barre de laçage, les exercices et entraînements prévus pour la journée purent commencer.

Le lendemain fut plus calme. Ninon avait un peu plus l'habitude de mon habillage et Delphine était présente quand je me balançais doucement suspendue à la barre de laçage. Delphine me réduisit encore la taille d'un centimètre pour la troisième fois. Et je sentais mon corset me serrer vraiment plus fort.

Le quatrième jour, la réduction d'un nouveau centimètre avait été pénible, mon corset était beaucoup plus dur, la compression douloureuse, mon souffle s'était nettement réduit, et je crus bien me sentir mal quand Ninon me remis sur mes pieds. Les sept jupons et le cache corset ont eu raison de ma résistance, et je dus m'asseoir pour récupérer un peu.

La journée fut longue, je ne pouvais pas faire mes exercices de marche et de maintien complètement. Je devais très souvent arrêter et m'étendre une demi-heure avant de reprendre. Ninon devait m'aider à me relever, mon corset m'avait pris mes forces et mon souffle.

Le cinquième jour. Delphine me serra de nouveau, mais plus lentement, le cinquième centimètre fut le plus éprouvant. Mon corset me serrait durement, il avait acquit plus de rigidité par le serrage.

Descendu de la barre de laçage, j'avais dû prendre un peu de repos avant la suite de mon habillage.

Ninon et Delphine purent enfin m'habiller complètement de mes jupons et cache corset, mais cela me fut une épreuve pénible. Tous ces falbalas m'étouffaient avec un corset impitoyable qui me broyait le ventre et m'empêchait de respirer normalement.

-Courage Pamela "me dit Delphine"tu as réussi à atteindre quarante neuf centimètres de tour de taille. Maintenant, je vais te laisser récupérer un peu de force. Repose-toi bien. Nous reprendrons les exercices dans quelques jours…

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Mardi 12 janvier 2010 2 12 /01 /Jan /2010 19:36

                                                               SUITE DU LIVRE I

Elle m'agrafa un corset propre, du même modèle que le précédent, et entrepris de me lacer aussi serré que la veille.

 

- C'est plus facile de serrer le corset, quant tu es suspendue. La traction sur ton corps, allonge la taille et te fait naturellement rentrer le ventre. De plus, comme tu es en hauteur, cela m'évite de me pencher pour te lacer. N'oublie pas que je porte également un corset, un corset plus long que le tien et beaucoup, beaucoup plus serré. Hier, j'ai failli avoir un malaise en te laçant, parce que je devais me pencher un peu, et forcer sur la raideur des baleines de mon corset.

Elle devait pourtant prendre appuis avec le genou sur mes fesses, pour tirer de toutes ces forces sur les lacets, et je ressentais de nouveaux, la terrible pression du corset rigide, sur mon ventre. Mon estomac remonté, ma respiration de nouveau limitée. D'autant plus limitée, qu'étant suspendue par les poignets, le poids de mon corps m'empêchait de respirer librement par le haut de la poitrine. Et le corset me bloquait maintenant la respiration par le ventre.

- Maintenant que tu es bien lacée, la ceinture. Me dit-elle.

- La ceinture? quelle ceinture...

- Tu le sais parfaitement. La ceinture métallique de bondage. On en a discuté hier. Une ceinture cadenassée, pour t'aider à ne pas desserrer ton corset. Tu dois garder ton corset correctement serré en permanence,c'est ton supplice.

Delphine me présentait la ceinture de métal doré, ornée d'un entrelacs de lianes et de fleurs gravées dans le métal. Elle était plus haute devant et derrière, au moins dix centimètres de haut. Les cotés ne fessaient que trois ou quatre centimètres de hauts. Mais cette ceinture était très épaisse, ressemblant plus à une plaque de métal forgé qu'à un mince ruban. Elle se fermait dans le dos par une serrure spéciale, très plate et ne pouvait s'ouvrir que par une clef qui s'insérait dans l'épaisseur de la ceinture.

Delphine positionna la lourde ceinture sur ma taille réduite par le corset. Une série de petit clic métallique. Mon corset était maintenant cadenassé. C'est seulement à cet instant que je pris conscience de l'impossibilité d'enlever mon corset. Seule Delphine pouvait le desserrer ou me l'enlever suivant son bon vouloir. Elle seule contrôlait mon tour de taille et quoi que je fasse, la réduction de ma taille ne dépendait plus de moi. Delphine et mon corset étaient les deux seuls maîtres de ma taille. A cet instant, je me rendais compte que je ne pourrais plus contrôler ma silhouette. J'avais perdu toute responsabilité de la forme de mon corps et donc, je devenais esclave de Delphine et du corset qui me modelait... Delphine était une artiste. Elle travaillait comme un sculpteur, qui utilisait ma chair comme matière première. Mon corps deviendrait bientôt une oeuvre d'art, une sculpture merveilleusement modelée...

Le bruit du treuil me fit sortir de ma rêverie. Delphine actionnait le treuil de sorte que je puisse me tenir sur les pieds. Elle m'aida à me libérer mes poignets.

On était face à face. Elle me regardait intensément avec un léger sourire, observant mes réactions.

La ceinture était lourde sur ma taille, et je ne pouvais m'empêcher de la sentir avec les doigts, de la tâter, tester son serrage par-dessus mon corset.

- Oui Pamela"me dit Delphine"tu n'es plus responsable de ta silhouette. C'est moi qui en prend les commandes. Qui la modèlera. La réduira autant que j'en aurais envie. Inutile maintenant de te faire des soucis pour les progrès de ton entraînement. J'en suis seule responsable car la seule détentrice de la clef.

Les bracelets maintenant!

- Mais Delphine, avec cette ceinture, je ne peux plus me libérer de mon corset. Pourquoi les bracelets?

Delphine me fixa les bracelets aux poignets en me ramenant les bras dans le dos. Ils étaient très larges dans le même style que la ceinture avec les même gravures. Des bracelets lourds, réunis par une chaîne d'environ 20cm qu'elle fixa à un anneau arriére de la ceinture.

- Deux précautions valent mieux qu'une"me dit-elle"en fermant les serrures des bracelets. Et puis, ces bracelets te rappelleront mieux que la ceinture, que tu ne peux pas faire tout ce qui te passe par ta jolie tête d'esclave.

Les poignets enchaînés,bras ramenés dans le dos, portant un corset impossible de desserrer et encore moins d'enlever, je me tenais debout devant Delphine, le souffle court, les fesses et la poitrine à l'air.

Je me sentais d'autant plus nue, que le corset faisait sentir sa présence par sa pression, sa rigidité et son poids alourdi de la ceinture de métal, mais tout cela sans m'habiller, bien au contraire, le corset exposait plus impudiquement encore mes fesses, mes seins et mon pubis, en les faisant gonfler, en les montrant de manière plus provocante par contraste avec ma taille réduite.

Je me sentais nue, exposée,avec mes poignets enchaînés au dos ainsi que ma taille comprimée et rigide.Cela me rappelaient durement les contraintes et les limites de l'esclave sexuelle que j'étais devenue dans les mains de Delphine.

Elle s'éloigna en me disant.

- Je vais aller chercher Caroline, et je reviens de suite.

Je me retrouvais seule, debout, au milieu de la salle de bain, et je rejoignis la chambre.

En les attendant, j'explorais tous les recoins et les armoires de cette grande chambre. Beaucoup de tiroirs étaient fermés ainsi que les armoires.

En essayant d'ouvrir un tiroir en bas d'une grande penderie en m'accroupissant, mon corset m'a vite rappelée à l'ordre en m'empêchant de me courber. Je dus fléchir les genoux tout en restant parfaitement droite, sous peine de sentir les baleines me pincer. Me relever fut des plus difficile avec mes mains menottées dans le dos. Mon corset bien que pas très long, m'interdisait tout mouvement de la taille. Je ne pus me lever qu'en m'appuyant au mur et en faisant de grands efforts pour me soulever sans me plier, ce qui me fit perdre mon souffle déjà très limité.

J'abandonnais l'exploration des tiroirs décidément trop bas pour moi, et je m'assis bien droite sur un tabouret un peu haut le souffle court.

Delphine et Caroline, me découvrirent ainsi dans l'attente d'une soumise.

Caroline se tourna vers Delphine et lui dit.

- Mais Delphine, pourquoi ne porte-t-elle pas de chemise et de bas?

- Soit patiente, Caroline, les débuts avec un corset sont toujours pénibles, et puis avec son premier corset, on ne peut pas accrocher de bas. Laisse-la se reposer nue encore quelques jours. Juste le temps de s'habituer à rester corsetée en permanence et à sa nouvelle situation.

- Mais je venais avec ces chaussures à talon, et prendre ces mesures pour son trousseau.

- Tu peux prendre ces mesures"lui dit Delphine"mais attend un peu pour les chaussures. Ne lui faisons pas subir trop d'apprentissages difficiles en même temps.

- Bien, comme tu voudras, c'est toi la responsable de ces apprentissages. Je vais seulement prendre le minimum de mesures pour commencer son trousseau. Tu sais que Florence exige pour elle le trousseau le plus sophistiqué et le plus complet possible.

Caroline pris mes mesures, qui bien que minimal, étaient longues, minutieuses et très nombreuses. Je n'osais pas faire de commentaire, devinant que je venais d'échapper de peu à de nouvelles épreuves. J'espère qu'apprendre à marcher avec des talons sera moins pénible que l'entraînement du corset. Quoique cela dépendra vraisemblablement de la hauteur de ces talons...

 

 

 

VI

Vivre corsetée

 

 

Je portais ce corset depuis cinq jours maintenant. J'étais obligée de le porter toujours aussi serré, avec seulement une demi-heure de répits chaque matin durant la toilette.

Les trois premiers jours furent épouvantables. J'étais tellement moulue et ankylosée par le corset, que j'avais passé la plupart de la journée, immobile dans mon lit. La nuit, mon corset m'empêchait de dormir avec en plus les bras maintenus dans le dos par les chaines aux poignets.Durant les trois premiers jours, mon pauvre ventre avait été douloureux et dur à cause de ce serrage permanent,je mangeais souvent par petites quantités que ma donnait Delphine.

Ninon, une des aides de Delphine, venait de temps en temps me masser les jambes. Ce qui était pénible au début du massage. Cela me donnait de terribles fourmillements dans les jambes, qui s'estompaient lentement. Mais ensuite, quel plaisir. Comme ces massages devenaient doux et agréable, une douce chaleur revenait dans mes jambes.

Delphine m'avait imposé de nombreuses heures de repos, et je devais rester le plus souvent possible, couchée sur le dos,les mains maintenues aux hanches à cause des chaines, avec les jambes surélevées pour éviter des problèmes de circulation sanguine, les massages de Ninon avaient le même but.

Heureusement, depuis quelques jours, les douleurs de mon ventre, qui me donnaient l'impression de me tordre les intestins, c'étaient enfin atténuées.

Mon corps devait s'habituer et mes organes s'adapter petit à petit à la pression constante de mon corset.

En plus des massages et des longs repos, Delphine avait demandé à Ninon de me faire exécuter quelques petits exercices. Des exercices bien ridicules et loin de mes activités dans les bois avec mon ami Daniel. Daniel que je ne verrais probablement pas de sitôt.

Des exercices, enfin si on peut dire, marcher en rond dans la chambre en évitant de faire de grande enjambées, également m'asseoir et me lever, tout simplement. Enfin, avec un corset très serré, s'asseoir n'est pas toujours évident, surtout dans des fauteuils bas et sans pouvoir courber le buste, en restant bien droite.

Delphine s'était également occupée de mon régime. Ce régime n'était pas particulièrement spécial. Il était évidement léger, presque pas de féculent, mais très équilibré et varier, avec cependant quelque caractéristique: L'ensemble de ce que je mangeais en faible quantité n'était jamais fait de plat bourratif, Pas de grosse soupe, pas de plat copieux comme le cassoulet, la choucroute... Pas non plus de boisson gazeuse, de bière...

La différence la plus visible, était le rythme de mes repas. Huit repas par jour au lieu des trois traditionnels. Le premier à huit heure le matin et ensuite toutes les deux heures, des repas minuscules mais à un tel rythme que j'avais l'impression de manger en permanence et d'avoir l'estomac toujours plein. Avec la pression du corset sur mon ventre, cela me donnait une impression bizarre d'avoir trop mangé, d'être constamment rassasiée et d'être obligée de me forcer à chaque nouveau repas d'avaler péniblement chaque bouchée. De plus, je devais me forcer à boire un peu pour la digestion, mais le moindre verre d'eau me gonflait durement l'estomac sous mon corset qui m'étouffait un peu plus.

Septième jour. Je n'avais plus vu ma tante depuis mon entrée et Caroline une seule fois. Seul Delphine et son aide Ninon était en permanence à mes cotés. Mes excursions en dehors de mes appartements, se fessaient toujours tard le soir, en compagnie de Delphine dans le parc et sans jamais rencontrer d'autre personne.

Je me souviens encore de la deuxième promenade dans le parc. Delphine avait attendu qu'il fasse nuit noire, et qu'il n'y ait plus aucune pensionnaire dans le parc. Enfin, on sortis. Delphine marchait devant moi, sa silhouette incroyable se découpait dans les faibles lueurs de la nuit. Un trouble délicieux m'envahissait, un trouble accentué par ma nudité. Excepté mon corset court et bien serré, j'étais nue. Je ne portais que mon corset et une grande cape de soie, fermée uniquement au cou. Elle flottait autour de moi, me caressant par moment fugitif sur tout le bas du corps, pesant sur mes épaules. J'adorais la douceur de la soie glissant sur le corps, sa fraîcheur sa densité... Ces mouvements la rendait presque vivante.

Dans le parc, je sentais le vent léger soulever et entrouvrir la cape, me donnant une sensation de fraîcheur et de nudité. Une nudité qui devait se dévoiler par instants, chaque fois que les pans de la cape s'écartaient sans que je puisse les maintenir avec mes mains toujours attachées dans le dos. Mon corps nu par contraste avec ma taille enfermée durement sous le corset.

Un sentiment étrange de liberté ,de soumission et de sensualité tour a tour cachées et dévoilée fugitivement, comme par jeux avec le vent, la nature et les regards furtif de Delphine, et peut être... d'autres regards, plus discret, mieux cachés par la nuit. J'offrais ma nudité au parc obscur. Toute ma nudité, sauf mon ventre corseté, qui ne m'appartenait plus. C'était une promenade étrange, liberté et contrainte en même temps... Fraîcheur et sensualité... Regard lourd et amusé...

Une promenade troublante sans un mot, juste des regards, des regards plus bavards et plus intimes que les discours...

Je me souviens... De mon arrivée... De l'accueil par mes trois marraines... De la première fois que je portais un corset... De ma taille réduite de sept centimètres...

...

Delphine continuait de me lacer le corset, toujours à la même taille que le premier jour et il m'était devenu agréable de le porter. Je me sentais soutenue et j'aimais sa pression sur le ventre. Les désagréments des premiers jours s'estompaient dans mes souvenirs.

Deux semaines depuis mon arrivée au château. Deux semaines corsetée en permanence. Les journées passaient doucement, et je commençais à m'ennuyer. J'aspirais à de nouvelles découvertes, de nouvelles expériences. De nouvelles expériences autres que celle d'hier et de cette nuit.

Cela a commencé hier soir. Delphine m'avait déjà mis en garde plusieurs fois.

Hier donc, j'avais craquée devant un merveilleux dessert, j'ai même succombé deux fois devant un gâteau, un délicieux gâteau crème et chocolat.

Mais ensuite, mon corset c'était cruellement manifesté. Le gâteau m'avait fait gonfler l'estomac.

Des douleurs terribles dans le ventre, j'étouffais, et j'avais des sueurs froides dans le dos.

Avec ma ceinture cadenassée autour de la taille, il n'était pas question de relâcher les lacets d'un millimètre.

Ces douleurs et cet inconfort me minèrent toute la soirée, et Delphine avait refusé d'ouvrir ma ceinture métallique. Elle se moquait de moi.

- Quoi! Un petit gâteau, et te voilà incommodée à ce point? Que cela te serve de leçon! Je t'aime très fort, ma chérie, mais pour ton bien, il n'est pas question que je te libère, ni même te délacer d'un millimètre. Je crois que l'on va écourter la soirée, je ne pense pas que tu aies envie d'une promenade dans le parc ce soir. Au lit, et demain matin, un lavement devrait te libérer les intestins.

- Mais Delphine... ce sera encore pire... mon ventre n'y résistera pas... et je ne veux pas de lavement!

- Demain matin! Tu n'y échapperas pas. Moi-même, j'ai dû en prendre quelque fois et je peux t'assurer que je n'aime pas ça du tout, mais quand c'est nécessaire...De toute façon je vais maintenant t'attacher les mains aux angles du lit pour que tu reposes sur le dos et dans un mois les jambes également.Tu verras la jouissance de dormir offerte,cuissses écartées.C'est moi qui aurait les clés des cadenas de tes bracelets de cuir.

La nuit fut horrible, des sensations de nausées et des lourdeurs d'estomac. Mon corset me bridait terriblement, ralentissant ma pénible digestion et je me tordais impuissante avec ces entraves nouvelles.

Après cette nuit interminable, l'épreuve du lavement, toujours corsetée, à quatre pattes dans la baignoire de la salle de bain fut un supplice libérateur. Je présentais mon anus torturé à une grosse canule que Ninon m’enfonça rapidement me faisant me cabrer dans un long gémissement. Elle était reliée à une poche d’un demi-litre d’eau. Elle me fixa une poire d’angoisse dans la bouche. Je compris la raison car lorsqu’elle ouvrit le robinet mes cris de douleurs emplirent la piéce.La durée d'une demi-heure me sembla interminable pour que le liquide se vide dans mes pauvres intestins. Dés qu’elle me retira la canule mes intestins se libérèrent en de puissants jets. Mon ventre se contractait en spasmes rythmés par mes cris étouffés de libération des matières et du liquide. Le visage contre la baignoire ruisselant de larmes, mes fesses en l’air j’expulsait de mes entrailles tout ce qui tenaillait depuis le repas du soir par saccades incontrolées.

Je restais sans forces de longues minutes,mon anus en feu se contractant encore une dizaine de fois pour expulser les derniéres gouttes de liquide.

Ensuite, après quelque temps , Ninon vint m'aider à faire ma toilette. Elle m’attachait comme chaque fois, à ce trapèze, pour me soulever, suspendue par les poignets telle un pantin aujourd'hui.Ninon me délaça enfin le corset. C'était agréable et irritant en même temps de m’offrir sans défense le corps nu à Ninon qui avait tout pouvoir sur moi. J'aimais la fraîcheur le l'air sur la peau libérée pour de court instant du serrage de mon corset .Des picotements aux niveaux des bords du corset et des baleines, troublaient mon plaisir de la liberté retrouvée.

En manœuvrant le chariot, Ninon me poussa au-dessus de la baignoire et me fit descendre dans mon bain les mains enchaînées au-dessus de ma tête.

Après le bain, Ninon me souleva de nouveau en utilisant le trapèze de laçage. Elle me séchait et me massait le buste avec des crèmes adoucissantes et parfumées, insistant sur le ventre et les marques laissées par les bords du corset.

C'est Delphine qui me laçait fermement, chaque matin. Serrant jusqu'à retrouver le tour de taille qu'elle m'imposait depuis le premier jour de mon arrivée au château. Cinquante-quatre centimètres, et cela depuis deux semaines. Elle n'avait pas voulu me serrer plus, disant que la première période devait me permettre de m'habituer à porter un corset en permanence. La réduction de ma taille débutera quand mon corps sera adapté à cette première réduction de sept centimètres.

Delphine voulait une réduction rapide de ma taille, mais sa prudence lui commandais de ne pas brûler les étapes. Elle m'apprit que normalement, on ne dépasse pas cinq centimètres de réduction de la taille avec un premier corset. Mais également que si l'on voulait que l'épreuve du corset soit vraiment pénible, on pouvait réduire la taille brutalement de dix centimètres. Ce qui, pour une première fois, était utilisé comme une punition ou comme une épreuve particulièrement dure.

Quand Delphine eut terminé de serrer mon laçage et remis en place la ceinture métallique fermée à clef, elle me fit descendre sur mes pieds. Aussitôt que je libérais mes poignets des sangles du trapèze, elle m'enchaînait les poignets avec ces merveilleux, mais contraignants bracelets d'or. Ainsi cadenassée par la taille et les poignets, je ne pourrais pas me libérer de mon corset, ni même soulager un peu son serrage.

On revint ensemble dans le petit salon près de ma chambre, et Delphine, comme chaque matin, m'interrogeait sur mes sensations, mes éventuelles douleurs occasionnées par le corset ou, comment je me sentais après un repas, mes difficultés de digestion, avais-je des vertiges? Des essoufflements? ...

Elle inspectait minutieusement mon laçage plusieurs fois par jour, me surveillait en permanence, m'imposant le repos au moindre signe de faiblesse ou de malaise.

Quand je ne prenais pas un des multiples petits repas de la journée, toutes les deux heures, ou qu'elle ne m'inspectait pas dans le détail ou quand je n'étais pas allongée sur le lit avec les jambes surélevées pour la circulation sanguine... Enfin quand j'avais quelques instants, quelques minutes, Delphine me faisait faire des exercices. En fait, quelques mouvements simples, et Delphine notait toutes mes réactions et jusqu'où je pouvais les faire. Ces exercices étaient vraiment très simples, et pourtant, il me posait souvent des problèmes pour les réaliser. Delphine me demandait de me baisser en fléchissant la taille, sans fléchir les genoux. Quoi de plus simple, mais avec un corset, un corset court mais rigide. Mon mouvement de flexion était très limité. Et Delphine notait mes réactions, mes possibilités. Elle me faisait essayer de me courber sur le coté, et re-notait. Ensuite monter et descendre un petit escalier, demi-tour et je devais recommencer, elle notait mon essoufflement, le nombre de marches que je pouvais monter avant de devoir m'arrêter à bout de souffle. Je détestais ce dernier test qui me mettait en nage et m'asphyxiait.

Durant la journée, j'avais droit à d'autre sorte exercices ou, plutôt des cours de maintien.

Delphine me dirigeait elle-même pour ces premiers cours. Encore des exercices qui passeraient pour extrêmement simple sans porter un corset. Marcher avec élégance, à petit pas, les pieds placés l'un devants l'autre, comme si le chemin ne fessait que quelques centimètres de large. S'asseoir avec grâce, le buste bien droit, sans se laisser surprendre par le corset qui vous rejette en arrière une fois assise. Et bien sur se relever lentement sans effort apparent, malgré le corset qui vous empêche de fléchir le buste. Se retourner élégamment sans tourner la tête. Le buste ne pouvant tourner par rapport au bassin pour cause de corset rigide, c'est tout le corps qui doit se tourner en pivotant sur la pointe des pieds. Le moindre mouvement de la vie quotidienne devait être réappris, soit par la faute du corset, soit pour respecter les canons de la suprême élégance. Les "Merveilleuses Ladies Corsetées" ne sont pas seulement sévèrement corsetées, elles doivent être également des Ladies et même plus, de Merveilleuses Ladies.

Delphine m'avait prévenue que j'aurais un professeur de maintien, mais seulement quand j'aurais le droit de porter une robe ou une jupe.

Cette dernière remarque me rappelait cruellement que depuis mon arrivée au château, je ne portais qu'un corset, me laissant nue toute la journée,les seins et le sexe à l'air sauf pour la promenade le soir dans le parc. Des promenades troublantes nue sous une grande cape de soie,les mains menottées dans le dos m'interdisant de maintenir le tissu qui s'ouvrait au gré du vent,me caressant mon corps et mon entre jambe.

à suivre livre III

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Jeudi 7 janvier 2010 4 07 /01 /Jan /2010 19:11

Les aventures de Pamela

  En  souvenir de mon dressage

  I

Le grand saut

 

Cela devait finir ainsi, et j'en fus soulagée.

Trois clans devant le notaire dans l' étude, un notaire assez âgé et blasé, ou peut-être, professionnellement distant, ne voulant pas prendre parti pour quiconque.

Trois clans:

Mon père et ma mère, qui ne pouvaient plus me supporter, ayant perdu tout espoir d'avoir une fille jolie agréable et se tenant dans le monde, plutôt qu'un garçon manqué, préférant les esclandres avec ma mère, ou la provoquant sur la bourgeoisie bien pensante et les "belles manières".

Deuxième clan:

Ma tante qui détestait les manières et les idées arriérées de ma mère, qu'elle qualifiait de "petite bourgeoise de province sclérosée".

Il est vrai que ma tante Florence était très jeune, huit ans de plus que moi.

J'avais dix huit ans depuis un mois, ma tante n'avait que vingt six ans, et quelle classe, élégante, mince, une parisienne sophistiquée, comme une gravure de mode, mais en plus strict, moins "évaporée". Elle me semblait têtue, et sachant parfaitement ce qu'elle voulait. Et de fait, elle faisait souvent remarquer à ma mère son manque d'ambition, et de volonté face à son mari, et surtout, ces goûts lourds et vieillots.

Et moi dans tous cela, j'étais au milieu et le troisième clan à moi seule, et le nœud du problème. Mes continuelles disputes avec ma mère, les colères de mon père quand par hasard il daignait apparaître à la maison.

Et puis, je n'en pouvais plus de cette province triste, arriérée, de cette petite ville avec ces ragots minables, dans un petit cercle de notables avec leurs petites idées vieux jeux et leurs petites manies.

Je voulais partir, loin, dans une grande ville, voir le monde moderne, les soirées, les spectacles. Vivre libre, comme ma tante que j'admirais sans bien la connaître. Elle ne rendait jamais visite à sa sœur. Je me rendais bien compte que plus on est proche et plus on peut se détester.

Ce qui força ma mère à se décider, c'est la nomination de mon père dans une ambassade en Amérique du sud, au Chili... à moins que... je ne sache plus, mais loin de l'autre coté de l'Atlantique.

Ma mère tenait à l'accompagner, mais ne voulait pas que je quitte la France pour mes études.

La solution tomba toute cuite. Cette sœur parisienne qu'elle détestait. Pourquoi ne pas se débarrasser du fardeau que j'étais devenue? Cette sœur qui aimait tant sa liberté, une sale gosse sur les bras serait une belle vacherie à lui faire.

De plus, je leur avais fourni un prétexte en or pour me rendre personnellement responsable de leur "déchirante" solution. Comme à mon habitude, je m'étais éclipsée dans le parc pour rejoindre Daniel, mon copain de jeux.

Daniel et moi avons le même âge et beaucoup de chose en commun, notamment vis à vis de nos familles respectives. Il détestait également les réceptions, les ronds de jambe, la "Belle Société" et tout leur tra la la. Physiquement, c'était un garçon très vif, incroyablement souple, mais pas très grand et plutôt mince avec peu de carrure. On avait d'ailleurs la même taille et il m'avait prêté des vêtements lui appartenant qui m'allaient parfaitement et étaient bien plus pratiques pour jouer. Les robes que ma mère voulait que je porte me dégouttaient. Elles étaient tristes, lourdes, moches et encombrantes. Je me sentais beaucoup plus à laisse dans les vêtements de Daniel pour courir dans les bois.

Et ce jour là, il avait plu, nous n'étions plus très propres. J'avais entraîné Daniel par le grand salon pour éviter la salle à manger où se tenait ma mère. Mais j'avais complètement oublié cette réception donnée exceptionnellement l'après midi. Mère avait exigé ma présence pour rendre hommage à un préfet, ou un sous préfet, ou sous quelque chose qui nous rendait visite juste avant son train pour Paris.

Hélas-je fus présentée, Daniel aussi, mais pas vraiment dans la bonne tenue et pas très propre. Plutôt très dégouttant, notre irruption dans cette assemblée fit un grand silence, bientôt suivit par les cris de ma mère. La douce et délicate jeune fille que j'aurais dû être, n'était que ce garçon manqué sale hirsute. Mère m'emmena rapidement hors de la salle, Daniel avait fait demi-tour et s'était enfui vers le parc.

Mes parents m'avaient terriblement enguirlandés et plus encore... Ils m'avaient annoncé qu'ils se débarrasseraient de moi, renonçant à faire mon éducation. L'idée était de me jeter dans les bras de ma tante Florence. Ils partiraient ainsi la conscience tranquille et jubilaient du cadeau empoisonné fait à ma tante.

Bien sur mes parents m'avaient présenté comme un modèle de sagesse et de gentillesse, très féminine et douce, ne faisant jamais de bruit ou d'esclandre, toujours contente de tout, discrète et ne demandant qu'à rendre service. Une aide parfaite pour tenir son intérieur parisien, etc. cetera etc. cetera...

Inversez toute cette flatterie et vous aurez un portrait de moi un peu plus réaliste.

Les signatures furent vite expédiées.

Le notaire un peu surpris par le coté expéditif de cette affaire insista pour expliquer le contrat en termes plus simples.

Madame, monsieur" dit le notaire, s'adressant à mes parents"vous êtes conscients que vous abandonnez toute autorité parentale. Et vous mademoiselle Florence vous vous chargez d'un poids considérable, vous devrez subvenir au besoin de Mademoiselle Pamela jusqu'à son mariage, mais de plus, vous serez responsable de tous ces actes civilement et financièrement. Vous devrez aussi assurer son éducation. Ces parents légitimes vous donnent toute autorité pour décider ce qui vous semblera la meilleure direction et vous pourrez prendre ces décisions sans devoir en référer à quiconque. Cela vous donne un pouvoir absolu sur votre protégée, mais vous serez de ce fait seule responsable de son avenir ainsi que de ces actes.

- J'avais parfaitement compris maître" dit Florence.

Mes parents soulagés de se débarrasser d'un fardeau, jubilaient secrètement d'avoir chargé ma tante de ce poids.

Moi, ne disant rien de peur que cette chance de partir ne disparaisse avec le refus de ma tante.

Et ma tante, pourquoi souriait-elle? Serait-elle idiote de n'avoir pas compris?

Un truc ne marchait pas, c'était trop facile, et je vis ma mère sortir du bureau un peu perplexe devant tant de facilités, une telle absence de discussion. Tout avait été accepté, presque sans lire le contrat.

- Allons, Pamela, suis-moi.

- Mais ma tante, je ne peux pas, je n'ai rien emporté, je vous rejoindrais à Paris dans une semaine ou deux, je dois rassembler toutes mes affaires...

- Ne sois pas sotte Pamela, à partir de cet instant, c'est à moi seule que tu es confiée et tu dois m'obéir. Tu viens avec moi telle que tu es et maintenant.

- Mais mes affaires? mes... Ma tante, attendez...

Je me retournais, cherchais de l'aide... Mes parents déjà partis... seule... Il ne me restait plus qu'à la suivre. J'avais ce que je voulais, mais aussi beaucoup d'appréhensions et mon cœur battait fort...

Le voyage fut long. J'étais tellement fatiguée que cela ne me surprenait pas. Le soir, on arriva enfin à Chantilly, près de Paris, devant une belle grille très ouvragée, fermant un domaine entouré de hauts murs de pierres de France.

Ma tante hésita puis fit signe au chauffeur de suivre le chemin le long du mur. On s'arrêta devant une poterne de fer encastrée dans le mur d'enceinte.

- Descendez et attendez. Quelqu'un va venir vous chercher. Vous n'êtes vraiment pas présentable avec cette robe. J'aurais honte de vous devant mon personnel de maison. La moindre de mes servantes est bien plus élégante que vous.

Elle fit demi-tour et je restais là, seule devant cette poterne fermée. Le soir n'allait pas tarder, la lumière baissait doucement. Il faisait encore clair, mais les ombres devenaient plus denses, je ne pouvais plus distinguer cette poterne dans le noir maintenant, cette ouverture dans le mur ressemblait de plus en plus à l'entrée d'un tunnel. Le froid passait sous ma mini jupe et mon string ne protégeait mon sexe. Une envie d’uriner m’avait prise.

Un bruit de métal rouillé, suivit d'un grincement sourd. Un visage apparu, sortant juste de l'ombre.

- Suis moi dit le visage.

Dans le parc, seul un bout de prairie était encore éclairé. Sous les arbres, il faisait déjà nuit.

On marcha un moment, traversant un pré et ensuite un chemin très sombre dans les bois, je suivais de plus près cette dame qui me guidait avec cette envie folle d’uriner.

Une petite clairière et un bâtiment assez petit, sans étage. Un refuge de chasse un peu kitsch, avec un escalier fait en imitant des troncs d'arbre, des murs de pisé. L'intérieur rustique, grosse table de bois brut, grande cheminée de pierre, et des trophées de chasse accrochés aux murs lambrissés. Cela me semblait chaud et confortable, des fourrures épaisses étaient étendues sur plusieurs fauteuils, et d'épais tapis de laine un peu partout sur le sol.

La dame me laissa seule sans un mot, sans explication .Je courus au WC et j’écartait mon string pour me soulager de mon envie pressante.

C'était petit et j'eus vite fait de trouver la seule chambre du refuge.

Me coucher aussitôt, trop fatiguée pour explorer d'avantage le lieu, ne prenant pas garde au fers fixés aux murs considérant que c’était un reste de l’ancienne ferme pour attacher les bêtes.

II

Journée initiatique à Chantilly

 

J'avais passé cette première nuit dans un ancien refuge de chasse isolé, dans le parc. Ma tante m'avait refusé l'entrée du petit château sous prétexte que je n'étais pas prête ni suffisamment présentable.

C'est bien après neuf heures qu'une servante du château m'apporta le petit déjeuner. J'étais affamée et le petit déjeuner très raffiné était malheureusement bien léger. Flore, la servante me dit que Madame viendrait me chercher dans une heure.

J'avais depuis longtemps fait ma toilette et habillée avec les seuls vêtements que j'avais pus emporter de Mende. Le déjeuner était tellement léger qu'il fut vite expédié et l'attente fut d'autant plus longue, attisée par ma curiosité de découvrir mon nouvel univers...

Trois femmes s'approchaient, en robe de dentelle blanche, très étroites et s'évasant depuis les mollets, fessant une petite traîne, elles étaient vraiment élégantes avec de grands chapeaux blancs tout en dentelles, trois silhouettes longilignes, à la taille mince s'approchaient lentement...

Ma tante me présenta.

- Mesdames, je vous présente Pamela , qui je l'espère ne me décevra pas. Pamela je te présente mes deux associées, Miss Delphine notre corsetière, et Miss Caroline notre styliste. Je te montrerai ta chambre dans le château, cet après midi, mais avant, tu dois passer par une initiation. Rassure-toi, rien de très difficile, mais tu devras faire un choix définitif qui sera d'une grande importance pour ton avenir.

- Suis-nous!

Je les suivais dans le parc durant presque un quart d'heure, elles avançaient très lentement à tout petits pas, et elles s'arrêtaient parfois quelques instants.

Dans un petit bois, une clairière isolée et calme, au centre un cercle de colonnes, et au milieu de ce cercle, une grande dalle de pierre sur là quel était monté un bûcher prêt à être enflammé.

Florence, ma tante, pris la parole d'une manière un peu trop solennelle.

- Pamela, si tu désires vivre avec nous, tu devras te plier aux règles de notre petite société, qui promet la recherche de l'élégance, la culture de la silhouette et du maintient. Tu devras toujours être parfaitement habillée suivant les canons de beauté de notre société, être parfaitement propre, parfumée, coiffée, et maquillée. Respecter les règles de maintient et de bienséance, être à chaque instant gracieuse, féminine à l'extrême, toujours parfaitement élégante. Tout cela devra être scrupuleusement respecté, quel qu'en soit les difficultés ou la gène, ou même les souffrances.

Nous te dresserons à devenir la plus élégante et la plus attirante des femmes dans les soirées et les bals de Paris.

- Pamela : acceptes-tu notre aide?

- Oui ma tante. Dis-je timidement.

Mais pourquoi accepter si facilement ce que j'avais toujours refusé à ma mère! Peut être parce que ma mère avait toujours critiquée l'élégance "tapageuse" et trop à la dernière mode, de ma tante.

- Bien. "dit Florence". Pour marquer ton adhésion et l'abandon de ta vie ancienne, tu vas te déshabiller complètement et mettre tes vieux vêtements sur le bûcher!

- Ho ma tante, je ne peux pas me mettre nue en pleine nature et devant vous trois.

- Ne craint rien, ma chérie, tu vas être dressée nue pendant plusieurs mois. Ton sexe sera vu par toutes les filles. Elles ont connu cela accompagné de souffrances liées aux tortures sexuelles que tu vas subir . Cette clairière est parfaitement isolée.

- Mais je ne veux pas rester nue.

- Quand tes vêtements seront brûlés, on te mettra tes chaînes d’esclave, les seuls vêtements autorisés seront tes hauts talons

- Mais devant vous, ...

- Ne soit pas timide, nous allons vivre ensemble dans une grande intimité, tu verras quand tu t’offriras cuisses écartées devant nous toutes. Toutes les trois, nous serons beaucoup plus que des amies pour toi, nous sommes comme trois marraines très intimes et rien de ce que tu veux garder secret ne sortira de notre petit cercle. Considère-nous comme trois sœurs et confidentes. Ce petit rituel nous liera comme les doigts de la main, nous te devrons aide et assistance, tu pourras nous confier tes secrets et tes problèmes les plus intimes, en toute sécurité, et nous te promettons de faire tout ce qui est possible pour te venir en aide. C'est un pacte sacré que l'on te propose.

- J'accepte. J'avais dit cela en les regardant droit dans les yeux, et elles m'avaient souris avec une infinie gentillesse.

Florence intervint encore.

- Avant, sache que la formation que tu suivras sera très dure et parfois vraiment pénible. Tu subiras de nombreuses épreuves, des supplices horribles pour femmes et parfois insupportables, mais toujours avec le but final de faire de toi une femme suprêmement élégante et raffinée.

- Oui ma tante. Oui mes marraines. Oui j'accepte que vous me preniez en mains et d'être transformée en une femme la plus élégante et sophistiquée qui soit.

Je m'approchais du bûcher. Lentement un à un mes  vêtements étaient jetés sur le sommet du bûcher. J'hésitais à lancer mon tee shirt qui me couvrait les seins et hésitait encore plus longtemps avec mon string qui révélerait mon sexe , après je serais entièrement nue... pour combien de temps et avec quelles souffrances….. je finis par le retirer rapidement comme on se jette à l'eau.

 Caroline me tendit une torche allumée. Je regardais pour la dernière fois mes vêtements... ensuite, je... je me retournais et regardais mes trois marraines. Elles me regardaient , et manifestement ne voulait pas me forcer la main. Le feu allait me faire basculer dans un monde nouveau. Mon geste fut hésitant puis... ma décision prise quoi qu'il m'en coûte-je mis le feu au bûcher. La paille sous les fagots fit brutalement une grande flamme et le feu devint très vite intense on du se reculer tant la chaleur était forte.

Ma mini jupe, mes sous-vêtements, mes chaussures toutes mes affaires disparues dans les flammes. C'était un choc de voir disparaître aussi vite et violemment ma vie passée. Mes trois marraines s'étaient rapprochées et me consolait par de douces paroles et une chaude présence. Maintenant, je sentais vraiment contre mon corps, mon cœur, leurs présences réconfortantes, maintenant j'avais quitté mon enfance pleine de fureur et de révolte, j'étais avec elles, je les avais rencontrées, on se comprenait sans devoir parler, seulement en se regardant, en se touchant.

Elles me ramenèrent les mains dans le dos et me fixèrent des chaînes aux poignets reliées aux chaînes des chevilles. Un collier métallique acheva ma tenue d’esclave. Mes marraines prirent la chaîne du collier et m’entraînèrent à travers le parc. J ‘étais morte de honte à marcher nue dans un bruit de chaînes

On partit tous les quatre ,moi derrière elles en nous dirigeant vers le château. La douceur de ce matin de septembre, le calme du petit bois, et le lent cheminement qui nous rapprochait sereinement du château. Quelle sérénité... Une chaleur me remplit le sexe à cette idée de m’abandonner ainsi

- Ma toute douce. Me dit Caroline. Nous venons de passer un moment merveilleux, mais les autres moments seront moins agréables, je dois te prévenir que certaines contraintes te seront imposées. Les mêmes contraintes que nous subissons et qui sont le prix à payer, un prix qui peut être léger et parfois insupportable, à condition de s'avoir apprécier certaines choses qui pourraient à priori sembler pénibles.

- J'espère." me dit Delphine." que tu aimeras la sensation d'être bien serrée et maintenue dans un corset. Certaines ne peuvent le supporter, elles doivent être attachées et seules quelques-unes y trouvent un réel plaisir et même une excitation délicieuse de se serrer de plus en plus. Tu peux compter sur moi pour t'aider à aimer le port du corset. Je t'assure que cela est vraiment merveilleux, à condition de suivre certaines règles.

- Ne craint rien. Me dit ma tante. A certains moments  un peu pénibles tu serras attachée pour passer un mauvais cap, cette torture te transformera en une délicieuse jeune femme.

Coté jardin du château, il y avait un double escalier d'apparat menant à une grande terrasse. A ma surprise, mes marraines me conduisirent sur le coté de la terrasse. Une petite porte en contre bas donnait sur un couloir étroit. Des portes à gauche et à droite, ont pris un escalier en face, ma tante devant, Delphine et Caroline me suivaient. Un palier avec d'autres portes et encore un escalier, mais à cet instant, Florence s'arrêta, Delphine et Caroline semblaient à bout de souffle. Quand Florence se tourna vers moi, je vis sa poitrine se soulever à un rythme rapide, elle aussi était à bout de souffle. Leurs respirations me semblaient bizarres, leurs bustes ne se gonflaient pas et restaient rigides, seul le haut de leurs poitrines se soulevaient.

Quelques minutes plus tard, on repartit, mais encore plus lentement pour s'arrêter de nouveau à un mètre avant d'arriver à l'étage. La pose fut longue. Enfin on repris la montée, quelques mètres dans un couloir, et on entra dans une pièce. Mes trois marraines me semblaient vraiment à bout de souffle, chacune se reposant en s'appuyant, l'une contre un meuble, l'autre contre la porte et ma tante, dos contre le mur, me faisant face. Elle me dit:

- Tu comprendras bientôt pourquoi on est si vite essoufflée, Delphine t'expliqueras, rassure-toi, rien de grave, une chose normale dans notre situation, qu'il faut savoir accepter.

Nous sommes dans la salle d'habillage et de dressage que tu utiliseras, il y en a plusieurs dans le château, une salle pour plusieurs chambres, mais celle ci ne sert que pour deux chambres et la deuxième est inoccupée en ce moment.

- Nous allons te préparer pour ta première nuit et t'habituer aux règles de notre société. "me dit Delphine.

Dans cette pièce sans fenêtre, un mur était recouvert de miroirs, les deux murs de chaque coté du grand miroir étaient cachés par de grandes penderies et armoires à tiroirs, une grande table allongée disposée dans un coin et dans l'autre coin une coiffeuse sans miroir avec un fauteuil de coiffeur placé devant, quelques sièges, plusieurs psychés et des mannequins sur des pieds tournés, prés d'une armoire, un porte-cintre monté sur roulette. Bien que très encombrée, la salle étant assez grande, il restait un grand espace entre la longue table et la double porte du couloir.

- Ta chambre est là me dit Caroline en me montrant une double porte. Et cette double porte au milieu donne sur le grand couloir.

Il y avait trois doubles portes, et une porte simple par où on était arrivées.

- Approche! Me dit Caroline. Nous allons te préparer. Ici, certaines règles minimum concernant l'habillement doivent être respectées, même quand tu seras seule dans ta chambre

-Ces premiers mois"continua Florence" tu seras en hauts talons et tu ne seras autorisée à porter qu’ un string et un soutien gorge exceptionnellement. Le corset te sera appliqué continuellement et serré régulièrement. La croix de Saint André sera ton lit pour de longs mois. Tu seras attachée toutes les nuits jusqu’à ce qu’on juge ta silhouette satisfaisante. Si tu hurles une poire d’angoisse te refoulera tes cris dans ta gorge. On est passée toute par là. C’est horrible d’être cuisses écartées mais on s’habitue , pas aux souffrances des chaînes et du corset dans les phases de serrage qui durent parfois 8 jours avec des douleurs de ventre lorsque tes organes doivent se mettre en place.

 

 Entièrement nue devant mes trois marraines, mes amies de cœur, elles ouvrèrent le rideau du fond de la chambre et j’aperçu horrifiée une croix de saint andré et une croix.

Ce seront tes futurs compagnons de souffrance, la crucifixion pour les punitions et la croix de saint andré pour les serrage de corset. Tu vas goutter dés ce soir à la croix de saint andré. Tes marraines t’ont préparer tes bracelets de cuir épais équipés de cadenas. Aucune fille n’a jamais réussit à s’en échapper, dit ma tante

Aussitôt dit aussitôt fait je fus poussée et installée sur la croix de saint André, sanglée aux chevilles, cuisses, taille et poignets.

J’étais honteuse d’être offerte nue à la vue, mon sexe était devenu humide à cette idée. J’essayais de tirer sur mes bracelets sans effet, le cuir était solide. Je comprenais pourquoi aucune fille n’avait pu s’échapper. Je me faisais à l’idée de m’abandonner à mes bourreaux.

-Tu n’auras pas le bâillon cette nuit, pour la première fois il faut que tu t’habitues à ta nouvelle condition. Tes marraines passeront dans la nuit te voir mais je te préviens malgré tes supplications tu ne seras pas détachée, c’est moi qui est la clé des cadenas. Bonne nuit Pamela

Elles sortirent en laissant une lampe allumée. Je me voyais dans la glace ainsi écartelée nue. Que penseraient mes copines que j’ai laissées moi qui étais un garçon manqué ? Les douleurs dans les bras se faisaient sournoises. Je n’avais pas beaucoup de possibilités pour me soulager. J’entendais les longs hurlements d’une femme dans des chambres plus loin. Ils revenaient régulièrement par cycle. Que nous faisait-on sans que je le sache .Mes pensées se brouillaient dans ma tête .J’avais aussi envie de hurler.   Progressivement mon corps s’engourdissait, ma tête vacillait de droite et de gauche puis je perdis connaissance. Je fus réveillée par Carole qui s’inquiétait de mon état d’abandon. Elle me caressa le sexe et commença à me masturber.

-Tu verras,tu vas comme, nous t’habituer à ces tortures.

-Je n’en peux plus, Carole.

-Je ne peux rien faire, te donner un peu d’eau pour te soulager et tu doit attendre jusqu’au matin. Je connais, j’ai été dressée comme toi pendant une année.

-Mais ce n’est pas possible, c’est inhumain crie-je

-Si, personne ne viendra te délivrer, tu devras subir ton dressage sexuel comme nous toutes ici

Je me mis à pleurer doucement, impuissante à me sortir de cette position ignoble. Carole repartit silencieusement et me laissa exposée.

Je m’évanouis à nouveau de douleur. La lumière du matin me réveilla ainsi que les douleurs dans mes bras que je n’avais plus la force de remuer. J’étais offerte à mon destin.

Ce fut Carole qui entra au bout d’un temps interminable avec les clés de mes bracelets. Par la porte je vis dans le couloir porté sur l’épaule d’un garde le corps nu inanimé de la fille qui avait crié toute la nuit. Ses poignets étaient ramenés dans le dos, des bracelets métalliques reliés par une courte chaîne maintenaient les bras dans le dos. Il en était de même aux chevilles. J’ai reconnu de suite Isabelle à ses longs cheveux blonds. Sa tête se balançait doucement au rythme des pas.

-Il l’emmène dans la salle des corsets. Elle avait refusé hier d’obéir. Elle sera suppliciée ainsi sexuellement toutes les nuits pendant un mois. Cela se terminera par la crucifixion. Rassures toi elle sera descendue de la croix dés la survenance de l’agonie très longue des crucifiées qui précède la mort. Ses souffrances seront extrêmes, beaucoup demande à être tuer. C’est très dur pour une aussi jeune fille de 20 ans  mais c’est la règle pour nous toutes. Ses hurlements vont calmer les autres car cela nous rappellera les règles de la soumission totale. Tu la verras à chaque repas dans une alcôve, nue, le cou pris dans un collier métallique relié par une chaîne courte au mur. Elle nous suppliera de lui donner à manger et à boire. Mais celles qui lui apportent de la nourriture subissent une punition horrible. Elles sont pendues mains liées dans le dos, leurs pieds reposant sur un bloc de glace qui fond lentement pendant la durée du repas. J’en ai vu une le mois dernier qui a paniqué sur la fin, ses pieds glissaient sur la glace et elle est morte au dessert pendue devant nous en silence, seuls quelques cris rauques se sont échappés de sa gorge dans les ultimes contorsions pendant que nous finissions notre repas. J’en frissonne encore de ne pas avoir pu l’aider.

Carole me fit enfiler une chemise de dessous, bien galbée sur le corps, avec un grand décolleté bouillonnant de dentelles blanches, et laissant le haut de la poitrine découvert. Cette chemise s'arrêtait sous les aisselles. Elle était retenue par deux bretelles brodées avec de la dentelle. Le bas de la chemise, également richement orné de dentelles. Autant le haut et le bas étaient denses de multiples petits volants de dentelles, autant le milieu de la chemise couvrant le buste était simple, fait d'un coton épais bien que très doux sur ma peau.

Ensuite un pantalon de dame fendu, largement fendu loin devant et loin derrière, le haut couvrant mes hanches sans fioritures, bien tendu sur mes fesses. Mais plus bas, sur mes cuisses, une débauche de volants et de dentelles, tous ces volants me fessaient des hanches très amples et toutes gainées d'une mousse légère de dentelle. Ce pantalon se serrait en haut avec un fin ruban et il se fermait également aux genoux par un très beau et large ruban de soie rose fermé par un joli nœud sur le coté.

- Tu es très belle, me dit Florence. Ces merveilleux dessous te change complètement. Tu comprends pourquoi je ne voulais pas que l'on te voie affublée des horribles vêtements que tu as brûlés ce matin.

- Vraiment adorable. Dit Delphine. Maintenant, l'accessoire indispensable, celui que nous avons toutes désiré et craint en même temps, celui que tu ne devras plus jamais quitter. LE CORSET

- Un corset! Je dois vraiment porter un corset? S'il te plaît ma tante, j'aimerais mieux ne pas porter de corset.

- Allons Sophie, je t'assure que le corset te fera le plus grand bien et regarde nous, regarde comme le corset nous donne des silhouettes merveilleuses. Tous nos corsets sont fabriqués sur mesure dans les ateliers de Delphine. Ils sont très confortables. On est tellement mieux quand ont est bien serrée dans un corset. Je suis sûre que tu adoreras sa douceur mêlée de fermeté. Le soutient qu'il te donnera et cette sensation merveilleuse quand ont le serre, qu'il nous pétrit plus fort et nous rend suavement faible... Seul un corset bien serré permet d'avoir la taille aussi fine et minuscule, lui seul nous donne cette silhouette ahurissante. Tu verras comment les hommes nous regardent et les regards envieux et admiratifs des femmes.

- Mais cela n'est-il pas parfois douloureux? Demandais-je.

Mais non. Dit Delphine. Bien sur au début, il y a quelques moments un peu pénibles, mais ensuite, on ne peut plus s'en passer. Tu verras, après une période d'entraînement, ou tu apprendras à aimer le serrage du corset et à t'habituer à être continuellement bien serrée, tu nous demanderas des corsets encore plus étroits, de te serrer encore plus pour avoir la taille encore plus fine, plus étranglée et plus attirante.

- Ho Delphine, tu me fais peur. Je ne suis pas sûre d'aimer me serrer à ce point. Pourtant... vous êtes toutes les trois tellement belles, vos silhouettes incroyables me font envie, j'aimerais essayer, mais je n'ose pas... Florence, si j'essaye de porter un corset, pourrais-je abandonner si je ne le supporte pas?

- Nous t'avons bien observées, et je suis certaine que tu adoreras te serrer la taille. Mais il voudrait mieux pour nous toutes que tu réussisses à le porter très serré, sans cela, tu ne pourrais pas porter la robe que l'on prépare pour toi et je ne pourrais pas te présenter dans notre société. Cela implique que tu serais obligée de quitter le château. Et le contrat que j'ai passé avec ta mère m'obligerait de t'envoyer dans un couvent jusqu'à ta majorité. Je t'en prie, ma tendre Pamela, même si c'est un peu difficile, porte ce corset, j'ai vraiment les bonnes sœurs en horreur, quel gâchis ce serait.

- Je te promets de faire tout mon possible. Disais-je un peu naïvement.

Pendant que Delphine déballait délicatement mon futur corset, je regardais plus attentivement la silhouette vraiment ahurissante de ma tante. La robe qu'elle portait, mettait sa taille de guêpe en valeur, une taille incroyablement minuscule, une taille qu'elle avait cachée durant la signature chez le notaire et pendant tout le voyage. C'était impressionnant, elle était comme coupée en deux, ces hanches paraissant plus amples par contraste et sa poitrine lourde au-dessus d'une taille aussi fragile, délicate, mince, tellement mince, tellement fine... Un rêve de délicatesse. Je ne pouvais m'empêcher de tâter ma propre taille encore libre de toute entrave. Voyant cela, Florence me prit par les poignets et me fit tâter sa taille minuscule, elle était rigide et dure, mais surtout cela me fit un effet extraordinaire, comme un grand frisson dans le dos, en m'apercevant que je pouvais pratiquement entourer sa taille complètement dans mes mains, mes pouces et mes index se touchant. Cela me paraissait impossible, je ne pouvais m'empêcher de la tenir ainsi dans mes mains, la caressant, sentant la chaleur de son ventre sous le terrible corset.

- oui"me dit-elle"il y a longtemps que je m'entraîne à réduire ma taille, elle est plus fine que mes cuisses. Tu verras, toi aussi tu vivras cette exaltation de voir ta taille se réduire petit à petit. Un mélange d'excitation et de sensations délicieuses, avec aussi quelques souffrances et de nombreuses contraintes.

- Mais, quel tour de taille a-tu? C'est ahurissant une pareille silhouette!

- En ce moment, je ne fais plus que trente huit centimètres, mais habituellement je ne me serre qu'à quarante et un centimètres. Je me suis serrée comme pour une réception, pour te faire honneur. Caroline également s'est serrée au maximum pour toi. Elle fait quarante centimètres de tour de taille. Mais aujourd'hui, Sophie n'a pas voulu se serrer aussi fortement. Elle doit garder des forces pour qu'elle puisse te lacer bien serrée.

- Je ne savais pas qu'il était possible de descendre en dessous de quarante centimètres, aucune de mes sœurs ne fait moins de cinquante huit centimètres. Seul Miriam, une fille des amis de mes parents c'est vantée de ne faire que quarante huit centimètres. Mais je suis certaine qu'elle m'a mentit, même si elle est très mince, plus mince et plus petite que moi.

- Je suis certaine"me dit Florence"que tu auras bientôt une taille plus fine que cette fille.

- Mais toi Delphine, quel est ton tour de taille? Tu me semble presque aussi fine que ma tante?

- Elle te l'a dit. Je n'ai pas voulu me serrer au maximum. Si non, nous avons le même tour de taille, trente huit centimètres, corsetée au maximum.

- Mais"demandais-je"comment pouvez-vous supporter des corsets aussi étroits? Ils doivent être horriblement serrés, je mourrais sûrement étouffée si je me laçais ainsi!

Ma tante m'expliqua:

Il m'a fallut plus de quatre ans d'entraînement intensif pour arriver à ce résulta, et je portais des corsets depuis l'âge de dix ans. Mais seul un entraînement intensif et permanent peut donner de tel résultat. Un entraînement souvent très dur et toujours contraignant, scientifiquement mené, et sans jamais de relâchement. C'est le seul moyen, mais quel bonheur quand on se voit dans le miroir, et puis le laçage extrême du corset te donnera aussi des sensations délicieuses. Tu te sentiras soutenue, pétrie, massée, et également après s'être resserrée encore plus, tu goutteras au merveilleux vertige, comme après une boisson trop forte. Il te faudra alors, chancelante, t'asseoir si tu le peux ou t'étendre, et le soutient de ton corset te sera alors vraiment indispensable.

 

 

 

 

III

Le corset

 

Je rêvais de silhouettes merveilleuses, incroyablement fines, d'une corsetière émerveillée par ma taille de guêpe, d'une soirée ou toutes les femmes seraient jalouses et admiratives devant ma silhouette étranglée, la plus fine... la plus...

Mais pour cela, il me faut suivre ce terrible entraînement. Le supporterais-je? Bien sur, il me faudra faire beaucoup d'efforts pour obtenir cette silhouette. Je suis prête à subir cette épreuve. Mais ce qui m'angoisse vraiment: Est-ce que j'aimerais la sensation d'être serrée dans un corset rigide?

C'est Delphine qui me sorti de ma rêverie.

- J'ai choisi. Dit-elle. Pour ton premier corset, un modèle assez court, pas trop étranglé à la taille, et très confortable.

Delphine me montrait le corset. Il était de soie rose, un peu vive, brillant, avec des broderies soulignant le léger renflement fait par les baleines épaisses. Des baleines qui me semblaient très nombreuses et fort larges. Le busc devant particulièrement large, épais. Il devait être vraiment très rigide. Ce busc était d'ailleurs incurvé, creusant le ventre.

Florence se tenait derrière moi et tendait ma chemise de sorte qu'elle ne fasse pas de plis sur mon ventre, pendant que Delphine avait fixé la deuxième agrafe du busc. Elle me dit de rentrer le ventre, et se servant de cette deuxième agrafe comme d'un pivot, elle rapprocha les deux bords du busc et attachât toutes les autres agrafes du busc.

Le corset était largement délacé, et pourtant, le busc particulièrement rigide me faisait rentrer le ventre de force, et me comprimait déjà l'estomac.

Ce premier corset n'était pas très long, partant de dessous ma poitrine et s'arrêtant sur le haut de mes hanches, mais comme il est rigide et étranglé au niveau de la taille.

Il était équipé de quatre jarretelles. Je n'avais pas encore de bas, mais avec mon pantalon de dentelle, je ne voyais pas comment les utiliser sans écraser ces délicates dentelles. Caroline devina sûrement ma perplexité. Elle me dit.

- Tu verras ma tendre chérie. J'ai créé ces sous-vêtements avec quelques modifications. Il y a dans le pantalon de dentelle, des passants qui te permettront d'attacher tes bas sous le pantalon sans le froisser. Ce n'est peut être pas très traditionnel, mais tellement plus élégant.

- Tourne-toi! Me dit Delphine.

Et je fit face à Florence qui me tenait contre elle et me soutenait, pendant que Delphine entreprit de serrer les lacets. Elle tirait sur les croisillons formés par les lacets, en partant du haut vers la taille et ensuite du bas, toujours en finissant par la taille, et encore... et encore... Elle recommençait me serrant à chaque fois un peu plus. Le corset devenait plus rigide à mesure qu'il me serrait plus fort. Ma respiration avait changée, limitée par le corset, plus courte, déjà un peu haletante...

- Aujourd'hui, je ne vais pas trop te serrer. Me dit Delphine. Je pense qu'il est préférable que tu t'habitues à être corsetée durant quelques jours, avant de vraiment commencer ton entraînement. Souffle bien à fond et retiens ta respiration!

Et lui obéissant, je soufflais à fond, vidant mes poumons et creusant mon ventre.

- Hooo!

Delphine venait d'exercer une formidable traction sur mes lacets.

- Hoo!!

Le corset se réduisit brutalement...

- Ho!!! comme tu me serres...

Je voulus reprendre mon souffle pour terminer ma plainte, mais le corset était maintenant trop serré pour me le permettre.

- Ho! ... Delphine... pas autant...

- Voila! Dit Delphine. Cela suffit pour une première fois.

- Mais, ça me serre vraiment très fort.

Ma tante me soutenait par les bras et m'emmena vers le canapé.

- Assied toi. Me dit-elle. Doucement.

J'essayais de me baisser pour m'asseoir, je me sentais faible, mon corset trop serré et vraiment très rigide me bridait terriblement.

- Ho... Florence, aide-moi, je ne peux plus me baisser, je sens que je vais m'écrouler.

- Caroline! ... Vite! ... Vient m'aider à la faire asseoir.

Et Florence à ma droite, Caroline de l'autre coté, elles me soutenaient pour que je puisse m'asseoir doucement, le buste raide. Ce corset me bridait beaucoup plus que je n'avais pu imaginer. Enfin assise, il me semblait qu'il serrait les hanches encore plus et me remontait les côtes, m'étouffant d'avantage. Elles me lâchèrent. Je ne pus me retenir de basculer en arrière, contre le dossier.

- Ho... Je ne peux plus me redresser. Florence, Caroline, dites à Delphine de me desserrer un peu, je ne pourrais pas me lever seule de ce fauteuil. Je me sens comme paralysée, et je peux à peine respirer.

Florence me répondit:

- Ici, les jeunes filles qui portent des corsets serrés au point que certains mouvements leurs sont devenus impossibles, que toutes activités physiques sont interdites par leurs corsets, ont droit à des aides. Des jeunes filles de compagnies sont à leur service, et exécutent toutes les actions que les belles corsetées ne peuvent plus faire-elles mêmes. Elles sont en permanences à leurs cotés, pour les aider à se déplacer ou, les soutenir en cas de malaise. Quand tu porteras un corset beaucoup plus contraignant et particulièrement serré, une robe encombrante, difficile à porter, lourde, chaude et étouffante, avec la taille comprimée au maximum, et une coiffure longue et des chaussures à très hauts talons. Alors, bien sûr, tu auras plusieurs de ces jeunes filles à ton service. Sans elles, il te serait impossible de te déplacer.

Delphine et Florence s'étaient assises à coté de moi, m'entourant tendrement, Delphine me faisait un peu d'air avec un éventail de nacre et soie brodée. Caroline assise en face de moi me demanda:

- Pamela, ma tendre chérie, comment te sens-tu avec ton corset, tu aimes cette sensation d'être bien tenue, cette merveilleuse compression... dit moi ma chérie?

- Je ne sais pas... je me sens... le souffle court et le ventre dur, très comprimé... mon estomac est remonté et j'ai l'impression que mes fesses ont été gonflées, ainsi que ma poitrine. C'est comme si une grande main puissante m'avait pétrie, modelée comme de la glaise me réduisant ici et me fessant gonfler là... et là également. Ce n'est pas désagréable. J'aime cette sensation d'être soutenue et modelée, transformée. Je ne suis plus maître de mon corps. C'est bizarre la sensation de ce corset m'imposant une nouvelle silhouette, une posture, un maintien que je ne peux plus contrôler moi-même. C'est reposant de savoir que le corset est seul responsable de ma nouvelle apparence, de mon maintien et de mon tour de taille. Mais c'est un maître très dur et raide. Bon sang, ce qu'il me serre et m'étouffe.

- Tu te sens mieux? Me demanda Delphine.

 - Je suis... pas trop mal, à condition de ne pas bouger.

- Ne lutte pas contre ton corset. Me dit Delphine. Laisse le te modeler et t'imposer une attitude. Laisse le te tenir bien droite. Si tu te reposes sur lui au lieu de lutter contre ton corset, tu le supporteras plus facilement et tu apprendras petit à petit à apprécier la compression de ta taille, la fermeté de son soutient. Je dois t'avouer que je ne pourrais plus me passer de mon corset, tellement je me sens délicieusement bien quand il me pétrit fermement et me tient bien droite. Quelle joie de voir la silhouette qu'il me donne, les regards admiratifs et jaloux des autres femmes et les coups d'oeil intéressés des hommes.

- Vous me donnez vraiment envie de poursuivre cette expérience du corset très serré. Je le désire, mais je le redoute encore plus. Je me sens tellement bridée et comprimée, et pourtant tellement loin de vos merveilleuses silhouettes. Vos tailles minuscules et fragiles m'impressionnent beaucoup. Elles sont tellement étranglées.

- Nous adorons toutes la silhouette extraordinaire que le corset serré à l'extrême nous donne. Dit Florence. Mais aussi, quelle volupté de s'abandonner à sa puissance, non seulement, il nous impose un maintient de reine, une taille minuscule, mais de plus, le corset nous procure une excitation délicieuse et étrange, en nous pétrissant, nous modelant et nous massant continuellement. Le corset fortement lacé me rend belle et désirable presque contre ma volonté. Il est devenu mon maître. C'est lui qui m'oblige à présenter une poitrine voluptueusement gonflée, c'est le corset qui me force à me cambrer et montrer mes fesses, et lui bien sur qui m'a réduit la taille à une dimension minuscule, une taille tellement fine et fragile que toutes veulent l'étreindre dans leurs mains. Et... c'est le corset... qui... m'excite tellement quand on serre les lacets, qu'il comprime mon ventre... et plus bas aussi... Sait-tu. Me dit Florence tout prés de moi. Sait-tu... qu'il m'est arrivée... de jouir pendant qu'on me laçait. Alors... je demandais de l'aide pour être lacée encore plus serrée, être plus comprimée, limiter encore plus ma respiration. Cette jouissance montait d'autant plus que j'étouffais dans mon corset, qu'il me pétrissait plus fortement, me broyait la taille et comprimait mon sexe. Le busc recourbé entre les jambes pressait terriblement mon clitoris et m'envoyait des ondes de plaisir d'autant plus intenses que mon corset me serrait davantage. Ma confidente me serra, jusqu'à ce que je tombe faible, presque asphyxiée, des vertiges me soûlaient et me faisaient chanceler. Elle dût me soutenir et m'étendre sur le tapis de fourrure posé sur le sol. Me tenir debout était devenu impossible, je n'aurais pu m'asseoir seul, et sans son aide je serais tombée comme une masse. Ce n'est qu'une heure plus tard que je pus reprendre mes esprits, et un peu de souffle. Bien sûr, elle ne m'avait pas desserré mon corset d'un millimètre, et aussi durement corsetée, il m'était impossible de me lever sans son aide.

- Tu me trouble. Lui dit-je. Je t'envie d'être aussi intime avec ta confidente. Je ne sais pas si j'oserais demander que l'on me serre plus fort pour... Ca me semble impossible. Tu me fais marcher. C'est presque... votre corset, c'est comme si vous étiez... amants.

Florence ne répondit pas. Elle se levât avec difficulté, le buste rigide. Comme elle était mince, comme j'aimerais avoir son tour de taille.

- Nous allons te laisser seul avec Delphine, Dans quelques jours, je te présenterais une jeune fille. Si tu le veux bien, elle pourra devenir ta confidente et t'aidera pour tous les petits détails quotidiens.

Et Florence, suivie de Caroline, sortirent de la salle d'habillage. Delphine se levât, elle aussi avec les mêmes difficultés que ma tante. J'aimais la voir se déplacer. Le bruissement soyeux de ces jupons, sa silhouette délicate avec sa taille minuscule. Elle s'avança lentement avec une grâce merveilleuse et souple malgré la raideur de son buste, qui peut être par contraste avec sa longue robe fluide, ces longs cheveux léger, la rendait encore plus attirante, d'une beauté étrange et envoûtante. Elle s'approcha d'un cordon de sonnette et le tira.

- J'ai appelé pour que l'ont nous servent le déjeuner dans ta chambre. Il est déjà tard et tu dois avoir faim.

- Merci Delphine. Peux-tu m'aider, je ne me sens pas capable de me lever seule de ce fauteuil.

Mon corset me poussait en arrière, contre le dossier du fauteuil et je ne pouvais plus me pencher en avant pour me lever. Bien que mon corset n'était pas très long, il me bloquait tous mouvements de la taille.

Delphine vient à mon secours et me prenant les mains, elle me tira de ce fauteuil. Pendant ce mouvement, les baleines de devant et le busc, m'avaient enfoncés l'estomac et m'avaient obligée par leurs pressions, à me redresser aussitôt. Debout, je ne pouvais que me tenir bien droite, pas question de me pencher en avant ou sur le coté. Le fort baleinage de mon corset et son serrage me l'interdisait.

- Evite. Me dit Delphine. De t'asseoir dans des fauteuils bas et profonds, si tu ne veux pas que le corset t'empêche de te lever. Il vaut mieux s'asseoir sur des chaises hautes et seulement sur le bord. Ainsi tu pourras te lever sans forcer sur les baleines de ton corset, uniquement en fléchissant les jambes et en te levant bien droite, sans te pencher.

Pour le déjeuner, j'avais enfilé par-dessus mon corset une robe de chambre très longue, toute brodée et assez transparente, fermée par un cordon de soie à la taille. Je me sentais déshabillée, malgré ma chemise, mon pantalon de dentelle et le corset qui me serrait. J'avais très faim et le déjeuner me semblait peu copieux. Pourtant après quelques bouchées, je ne pouvais plus rien avaler, bien que j'aie encore faim. J'avais l'impression d'être gonflée, comme après de gros excès de table. Mon estomac comprimé était déjà rempli avec si peu. Sophie qui n'avait presque rien mangé, m'expliqua:

- Tu expérimente un des multiples effets des corsets très serrés. Ils t'obligent à suivre un régime en limitant les quantités de nourriture que tu peux avaler, et permettent ainsi sans effort de ne pas grossir. Mais je te conseille de te forcer à manger le maximum, et le plus souvent possible. Tu te sentiras en permanence le ventre plein et artificiellement rassasié sans que tu puisses prendre trop de poids. Le fait d'avoir quelque chose dans l'estomac et d'être très fortement lacée, permet également à tes organes internes de se déplacer, sans être écrasés. Ainsi avec un long entraînement, ta taille pourra diminuer, tes fesses et ton buste seront gonflés au maximum.

Mais Sophie, l'estomac vide, je pouvais à peine bouger et ma respiration était déjà très limitée. Si je mange autant, ce sera pire. Je ne pourrais pas le supporter.

- Mais si, rassure-toi. Bien sûr au début, ce sera particulièrement éprouvant. Nous sommes toutes passées par ces épreuves. Je suis certaine que tu réussiras, et je te promets de tout faire pour que tu réussisses. Je serais près de toi en permanence. Les deux premières semaines seront particulièrement pénibles et même très dures. Attends toi à endurer des souffrances pendant que ton corps se modifie, mais ensuite tu te sentiras de mieux en mieux et alors tu pourras vraiment apprécier la compression du corset et sa rigidité qui te donnera la véritable silhouette d'une "Merveilleuse Lady Corsetée".

- Tout cela me fait un peu peur, et je me demande si j'ai bien fait d'accepter l'entraînement du corset. J'aurais peut-être pu devenir une grande dame sans devoir me torturer autant.

- Tu es très jolie Pamela, bien sûr tu aurais pu devenir une grande dame dans Paris. Mais sans l'aide de tes parents, tu n'aurais pas eu accès à certain cercle plus ou moins élégant, et avec les idées de ta mère, tu ne serais qu'une jeune provinciale un peu terne. Ta tante te permettra d'être une jeune lady à la beauté exceptionnelle, avec une allure époustouflante, te permettant de côtoyer la société la plus huppée, la plus élégante et la plus cultivée. Voila le choix, un plat fade et sans saveur ou, un délice exceptionnel, même s'il est un peu pimenté.

-Pamela, je t'admire et si j'ai encore quelque crainte, je veux devenir cette "Merveilleuse Lady Corsetée", je veux me réduire la taille autant que la tienne, même si cela doit parfois être pénible, même si mon corset m'interdit de bouger, si je dois manger comme un oiseau. J'aimerais ressentir ce vertige que ma décrite Florence, quand elle se serre au-delà du raisonnable.

- Je te le ferais ressentir, ma douce Pamela. Je te le promets. Dans un mois, quand tu seras plus habituée à porter un corset. Je te ferais connaître ce vertige et cette jouissance par le laçage extrême de ton corset.

Le soir, quand le parc fut désert, Delphine me couvris d'une longue cape sous laquelle j’étais nue avec pour tout vêtement mon corset et mes bas. Elle m'entraîna dans une agréable promenade. Ce parc m'attirait beaucoup et la nuit, il était calme et mystérieuse. Mais je n’ai pu me promener très longtemps. Je n'étais pas du tout habituée de porter un corset aussi serré, et je fus très vite essoufflée, d’autant que mes bottines à hauts talons mes cambraient douloureusement mes jambes.  Mon ventre me faisait mal, j’avais l’impression qu’une barre douloureuse me tenaillait mes entrailles serrées à l’extrême.

- Ce sont tes muscles qui se tétanisent à force d'être immobilisés et probablement ta digestion qui doit être difficile. Moi aussi, avec mon premier corset, j'ai eu quelques difficultés qui se sont estompées petit à petit. Rentrons, la journée a dû être fatigante pour toi.

J'étais épuisée par cette journée, et le lit me tendait les bras. Enfin j'allais pouvoir souffler un peu, me reposer et me libérer de ce corset.

- Delphine, veux-tu m'aider à délacer mon corset.

- Mais Pamela, tu n'as pas compris! Ici on doit être corsetées en permanence. La nuit également bien sûr. Tu dors maintenant nue avec ton corset, surtout n’essaye pas de l’enlever car les punitions sont très sévères ici.

- Bonne nuit Pamela...

 

 

 

IV

Lendemain pénible

 

 

Quelle sensation bizarre de passer la nuit en corset. Je n'avais jamais imaginé qu'une femme pouvait dormir sans enlever son corset, surtout que le mien était très serré. Il m'avait fallu beaucoup de volonté pour ne pas me délacer, mais je voulais absolument prouver à mes trois marraines que j'étais capable d'endurer cette contrainte permanente. Evidement, le corset m'avait empêchée de dormir. Chaque mouvement me rappelait sa présence obsédante. Les bords du corset me pinçaient, mon ventre me fessait mal à force d'être comprimé aussi longtemps. Je sentais comme une barre douloureuse me transpercer et me nouer les entrailles.

Delphine entra dans la chambre. Elle était maquillée comme la veille. Fond de teint blanc, un blanc lumineux comme une porcelaine, la bouche rouge vif et les yeux incroyablement maquillés en bleu, et très agrandis. Une tête de poupée, avec des effets de lumière comme dans une porcelaine translucide.

Je n'osais pas lui demander pourquoi elle se maquillait ainsi.

Delphine vint s'asseoir sur le bord de mon lit. Je pouvais admirer de près, son maquillage étrangement sophistiqué.

Tan pis, je suis trop intriguée par son visage troublant. Il fallait que je lui demande...

- Excuse-moi si je suis indiscrète... Ton maquillage, il est ... très beau, mais un peu étrange. Je n'avais jamais vu une femme maquillée de la sorte... Je n'oserais pas me montrer en publique maquillée comme toi...

Delphine me regardait amusée de mon embarra.

- Je suis désolée... Je ne connais rien de vos habitudes dans cette maison. Explique-moi s'il te plaît.

- Je te comprends. Me dit Delphine. Moi non plus, je n'oserais pas sortir maquillée de la sorte.

- Mais, Delphine, alors...

- Un moment. Me dit-elle en souriant. Il faut que je t'explique depuis le début. Ta tante a mis en place tout un système d'épreuve et de punition. Aucune de ces punitions ne fait appel à la violence, mais plutôt à la contrainte et parfois à l'humiliation ou au contraire, à l'excès dans les habits, la coiffure ou le maquillage. C'est la contrainte d'un maquillage particulièrement voyant et sophistiqué que m'impose ta tante depuis une semaine. Je dois subir cette punition pendant encore trois jours. Mon maquillage est codifié et elle le contrôle plusieurs fois par jour. Il doit être toute la journée impeccable, ce qui m'oblige de me remaquiller très souvent et de me contrôler en permanence. Bien sur, durant cette période, je reste confinée dans le domaine. Je n'oserais jamais me promener en ville, maquillée de la sorte. Tu n'imagines pas la honte la première fois que je me suis présentée maquillée ainsi devant mes élèves. J'avais une telle appréhension, que j'ai donné le cours avec une demi-heure de retard. Mes élèves en ont été tellement surpris, qu'aucun ne m'a posé de question. Ils restaient bouche bée, en me dévisageant...

Delphine s'interrompit, et après m'avoir regardée attentivement, elle me dit.

- Tu me trouves sans doute beaucoup trop maquillée, mais toi tu as une tête épouvantable. Assez parlé de moi, comment te sens-tu? Est-tu restée corsetée depuis hier?

- Je n'ai pas pus dormir de la nuit à cause de mon corset, il me fait mal partout, je suis moulue, mon ventre, il est dur comme du bois et très douloureux. Regarde, sous les bords du corset, j'ai la peau toute fripée et rouge. C'est comme si on me piquait avec des centaines d'aiguilles.

- Bien! Dit Delphine. Voyons les séquelles de cette première nuit en corset.

Delphine s'approcha et regardait minutieusement la peau près du bord du corset.

- Tourne-toi.

Je me retournais lentement, précautionneusement. Chaque mouvement me faisait mal.

- Bravo!! Je te félicite d'avoir gardé ton corset aussi serré. Me dit-elle. Tu n'as même pas desserré les lacets. Rassure-toi, les premiers jours sont toujours pénibles. Une douche et ensuite je vais te masser. Cela te soulagera, mais je te préviens, ton corset te fera encore mal. Les douleurs s'estomperont avec le temps. Petit à petit cela deviendra moins pénible. Dans un mois, tu serras parfaitement à l'aise dans un corset beaucoup plus serré que celui-ci.

- Vivement que cela arrive. Lui répondais-je. Je suis moulue et je ne suis pas sûr de réussir à garder ce corset encore longtemps.

- Je peux t'aider à passer ce mauvais moment. Des massages avec des crèmes adoucissantes, quelques exercices physiques, une nourriture saine et légère, beaucoup de repos avec les jambes un peu surélevées pour aider la circulation sanguine. Mais également, si tu acceptes, je peux faire en sorte que tu ne puisses plus desserrer tes lacets et encore moins enlever ton corset.

Perplexe, je lui demandais.

- Comment peux-tu faire ça? Bien sûr sans aide, je n'aurais jamais assez de volonté pour rester aussi serrée. Jamais je n'arriverais seule à garder mon corset toute la journée et de plus toute la nuit.

- Ho! Il y a deux solutions: dit Delphine. T'attacher les poignets par-devant, pour que tu ne puisses plus atteindre les lacets de ton corset dans le dos. Ou alors, te faire porter une ceinture métallique, fermée par un cadenas ou une serrure... Je sais. Me dit-elle avant que je puisse l'interrompre. Cela semble un peu barbare, mais c'est très efficace. Nous sommes toutes passées par ces deux méthodes. C'est même les seules méthodes qui te permettront de garder ton corset les premiers mois. Sans être attachée, et la taille cadenassée, fatalement, il y aura un moment ou tu craqueras et tu desserreras ton corset, et même pire tu voudras le quitter. Bien sur, avec cette méthode, on a l'impression que le corset te prend et te soutient de force dans son étreinte, mais quand la période la plus douloureuse est passée, tu adoreras sa puissante fermeté, la pression et cette rigidité qui t'imposera une silhouette et un maintien de princesse. Cette méthode est souvent très éprouvante et pénible, mais regarde-moi... n'est ce pas merveilleux d'avoir une taille aussi minuscule, une telle allure. Toutes les filles qui n'ont pu supporter ces épreuves vont terriblement te jalouser, tu les éclipseras toutes. Sait-tu qu'il m'est arrivé d'être amoureuse de ma silhouette. Une silhouette époustouflante quand mon corset avait été serré le plus sévèrement, qu'il m'avait modelée, transformé le corps, lui avait donné des courbes merveilleuses, une taille délicate, mince au point de défaillir. Mes seins remontés très hauts et tellement gonflés qu'ils me donnaient l'impression d'avoir doublé de volume. Ils s'avançaient devant moi comme un promontoire. Je pouvais presque les toucher du menton en baissant la tête, et leurs volumes m'empêchaient de voir mes pieds. Dans le miroir, je pouvais admirer mes fesses largement épanouies sous ma taille minuscule, des fesses rebondies, projetées en arrière. Elles semblaient mendier des caresses. La cambrure imposée par le corset, les présentaient encore plus, les faisaient plus accueillantes, plus provocantes. Comme j'avais envie de les caresser, de plonger mon visage dans leur profonde vallée, douces, voluptueuse...

Ces paroles me faisaient rêver, sans penser une seconde, que je devais me trouver dans un monde bizarre, décalé... Y a t'il en dehors de ce domaine, des femmes aussi obsédées par leur taille, aussi folle de corsets serrés à la dernière extrémité. Moi aussi je devenais une folle de corset. Je glissais dans leurs fantasmes de taille de guêpe. Malgré la gène, et même la douleur due à un corset trop serré, je voulais intensément devenir une "Merveilleuse Lady Corsetée".

  

V

La ceinture

 

 

- Bonjour Pamela.

Delphine venait d'ouvrir les rideaux de la chambre. Sa silhouette se découpait dans la lumière de la fenêtre, elle m'impressionnait toujours autan, la raideur de son buste et l'étroitesse de sa taille me faisait envie.

- Attend. Je vais t'aider à te lever. Me dit-elle en approchant son visage maquillé à l'extrême, aussi blanc que la veille, les yeux très agrandis, de longs faux cils, la bouche rouge vif et les cheveux relevés en un haut chignon.

Cette deuxième nuit corsetée avait été presque aussi pénible que la première.

- Houu!!! Je ne tiendrais plus longtemps aussi serrée. Je crois qu'il faut me délacer un peu. S'il te plaît, laisse moi passer la nuit sans corset, seulement quelques jours, le temps de m'habituer. Je suis tellement fatiguée, c'est la deuxième nuit blanche, je n'arrive pas à dormir avec le corset.

- Allons, Pamela, un peu de courage. Dans une semaine au plus, ton corps sera habitué. C'est juste un mauvais moment à passer.Suis-moi à la salle de bain. Je vais te délacer pour la toilette.

Ma taille me picotait désagréablement. J'avais imaginé une délivrance en quittant ce corset. La fraîcheur de l'air sur mon ventre était délicieuse, mais ces picotements et ces douleurs, au niveau des bords du corset, venait gâcher ma liberté retrouvée.

Heureusement, le bain me fit le plus grand bien, la chaleur de l'eau... Je me laissais flotter dans la grande baignoire, la tête bien calée, je crois m'être endormie.

Je fus réveillée par un bruit de chariot, quelque chose qui roulait sans souplesse, un bruit venant bizarrement du plafond?

Delphine était près de moi.

- Mais qu'est ce que c'est?

- Nous allons inaugurer une nouvelle installation. Me dit-elle. Tu nous aideras à la mettre au point. Tu seras en quelque sorte notre cobaye

- Au point? Au point de quoi, mais qu'est ce que tu veux faire? .

- Regarde. Me dit Delphine, en pointant le doigt vers le plafond.

- Qu'est ce que c'est que ce machin?

Un rail fixé au plafond sur le quel se déplaçait un mécanisme compliqué, avec des engrenages des câbles, des poulies... Deux câbles descendaient de toute cette mécanique, ils étaient réunis par une barre horizontale, un peu comme un trapèze de cirque. A chaque extrémité de cette barre, était fixé deux larges bracelets de cuir, tout comme ceux qu'utilisaient les trapézistes, pour se suspendre par les poignets.

Delphine actionna une manivelle, au bout d'une longue tige sortant du mécanisme. Le trapèze descendait lentement au-dessus de la baignoire.

- C'est, me dit Delphine, destiné à t'aider à te sortir de la baignoire sans te servir de tes muscles abdominaux.

- Quoi! C'est ridicule, je suis parfaitement capable de sortir de mon bain toute seule, sans l'aide de cette machine. Regarde, il ne me faut que quelque...

- Ne bouge pas! Je sais très bien que tu peux sortir seule de ton bain. Aujourd'hui, cela t'est évidement facile, mais dans quelque mois, corsetée vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et tous les jours sans répit, cela deviendra vite pénible et ensuite quasiment impossible.Tes muscles abdominaux vont devenir de plus en plus faibles à mesure que tu t'habitueras à être corsetée en permanence. Cela fait partie de notre entraînement.Bien sur, la plus grande part de la réduction de la taille se fait par le déplacement des organes internes sous la pression du corset, et de la perte de graisse par un régime alimentaire stricte.Mais les muscles participent également à la réduction de la taille, bien qu'à une moindre mesure. A force d'être bloqués et comprimés, ils finissent par diminuer de volume, à s'atrophier, et ainsi tu pourras te réduire la taille de quelques centimètres supplémentaires. Le corset sera un peu plus facile à serrer.Mais tu ne pourras plus t'en passer car ta musculature du dos sera atrophiée et sans corset tu tomberais.

- Mais Delphine, tu te rends compte de ce que tu me dis! Je ne veux pas être handicapée, tu va m'estropier avec cette méthode. Si mes muscles abdominaux vont s'atrophier, je ne pourrais plus me tenir debout sans aide, c'est impossible. On ne peut pas vivre ainsi.

- Ce n'est pas si dramatique que cela,Pamela"me dit-elle" Je ne peux plus me tenir debout sans l'aide de mon corset, ni même rester assise sans lui, et je ne m'en plains pas. C'est un choix. La condition pour réussir à vraiment modeler son corps, à le transformer radicalement. Je ne voulais pas d'une silhouette vaguement mince, mais d'une silhouette "taille de guêpe", une taille véritablement minuscule, exceptionnelle. Inaccessible à toutes les femmes qui n'ont pas pu suivre mon entraînement du laçage extrême. Et puis, quand l'entraînement est bien contrôlé, en prenant le temps nécessaire pour que le corps s'habitue, c'est sans danger. Ne craint rien, ta Tante, Caroline et moi, nous avons une grande expérience dans l'entraînement par le corset. Et nous avons toutes les trois modelées notre silhouette de cette manière. Tu peux voir que l'on se porte très bien, à condition d'être toujours fermement corsetée.

La silhouette de Delphine me troublait intensément. C'était fou. J'avais peur des conséquences de cet entraînement délirant, et en même temps, je le désirais de plus en plus. Un désir fiévreux, intense, un désir à couper le souffle.

La vie est un choix permanent. Tan pis si je perdais quelque chose. J'avais terriblement envie d'avoir ma silhouette étranglée comme la sienne.

J'eus vraiment l'impression de me jeter dans le vide. et en fermant les yeux, je m'entendis dire avec une sorte de vertige:

- Delphine, si c'est vraiment nécessaire... Je veux bien... que dois-je faire?

Delphine me dit doucement:

- Glisse tes poignets dans les bracelets, et agrippe-toi.

Delphine actionnait la manivelle, et le trapèze monta lentement, m'entraînant avec lui, de plus en plus haut.

- Ne te retiens pas. Me dit-elle.

Je sortais du bain lentement, tirée par les poignets vers le plafond. Delphine ne s'arrêta de tourner cette manivelle que lorsque mes pieds ne touchaient plus le sol.

Le treuil étant monté sur un rail, Delphine me poussa en dehors de la baignoire, jusqu'au centre de la pièce.

- Je vais te sécher.

Après m'avoir essuyé tout le corps, elle me frictionnait le buste avec une lotion parfumée, et ensuite, me poudra la taille avec du talc.

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Samedi 2 février 2008 6 02 /02 /Fév /2008 21:25

J'avais répondu à une annonce lors d'un de mes séjours en Alsace déposée par un homme,Marc,qui recherchait une domination par un travesti
Je ne savais pas que j'allais connaître une féminisation forcée pendant 3 semaines de vacances et subir les supplices sexuels réservés aux femmes.J'allais être en compagnie d'une soumise laissée chez ce couple pour être dressée comme une esclave,son mari venant voir régulièrement l'avancement de cette éducation.

A la première rencontre je m'étais habillée très sexy et j'avais préparé tous les accessoires, chaînes pendantes sous la poutre du salon avec bracelets,cordes et fouet.Je suis allée l'accueillir au rez de chaussée en blonde,hauts talons,mini jupe et bien maquillée.
Il a été subjugué se répandant en compliments.Je montais devant lui dans l'escalier et je savais qu' il pouvait voir sous ma mini jupe moulante noire finement rayée verticalement pour galber mes fesses ,mes bas couture attachés par mon porte jarretelles en satin et dentelle noire à 8 attaches avec un string satin noir bien ajusté.
Arrivé à l'étage déja bien excité par la vue que je lui avais offerte, je lui ordonnais de se mettre nu pour son supplice du fouet qu'il souhaitait.Il était imberbe comme j'aimais.Je lui attachais au dessus de sa tête les mains aux bracelets que je fermais par un cadenas l'empêchant de se liberer.Je réservais à plus tard d'attacher les chevilles aux murs.
Puis je prenais mon fouet et je faisais le tour pour regarder mon soumis.Il bandait déja trés fort.Je commençais par quelques coups bien appliqués sur les fesses pour les faire rougir.Il sursautait fort à ces premiéres "caresses".Puis de façon aléatoire je fouettais plus fort en des endroits différents pour le faire se raidir.Il était résistant car il serrait les dents en se tordant.Je m'arrétais pour le masturber de nouveau et faire se raidir sa queue.Puis les coups reprirent.Cette alternance dura prés d'une heure.Les fesses étaient bien rouges ainsi que le devant des cuisses.Il commençait à gémir;
.Je décidais alors de l'écarteler en lui fixant les bracelets aux chevilles et lui mis la poire d'angoisse que je vissais pour lui étouffer les sons dans sa gorge.Il commençait à souffrir et ses yeux roulaient dans tous les sens appeurés.
Il n'eut pas longtemps à comprendre ce que je lui réservais .Les laniéres du fouet laissaient maintenant des traces blanchatres sur sa peau rougie.Il hurlait mais heureusement on n'entendait que des gémissements avec son baillon.Il tirait sur les chaines mais son corps nu sans défense continuait à être exposé aux morsures du fouet.La séance dura toute la soirée avec des répits entre coupés par des soubresauts du corps martyrisé.
A la fin il pendait au bout de ses chaines,les yeux larmoyants,la salive s'écoulant sur son ventre depuis la poire d'angoisse .
Pour l'achever je le masturais longuement et enfin il jouit par saccades de longs jets de sperme, les cris étouffés.

Je lui détacha les mains et lui mis alors un large collier que je fixais bien haut à la chaine qui

pendait.Il était sur la pointe des pieds,ce que je voulais.Puis je lui croisais les jambes et attachais par des sangles les chevilles et le haut des cuisses au dessus des guenoux.Il vacillait sur ses pieds ,maintenu droit par le collier.Je lui liais les poignets croisés dans la dos.Ce supplice raffiné destiné aux femmes depuis toujours allait faire son oeuvre.Dans cette position l'esclave se maintient difficilement droit;seul le collier qui l'étrangle lui permet de se redresser.Je le laissais ainsi pendant une heure.Je le détachais ensuite en le maintenant car il se tenait difficilement sur ses jambes

aprés cette épreuve.

Il revint ainsi pendant des mois se faire soumettre,moi toujours en tenue sexy pour l'exciter.
Puis il me proposa de venir à sa maison rencontrer sa femme qui voulait me voir.
Je m'y rendais habillée en femme avec un survêtement pour ne pas attirer l'attention des voisins.Sa femme m'avait demandée d'apporter ma garde robe pour juger.
Elle me reçu avec son mari toute de cuir vêtue,assise dans son fauteuil.
"Voilà la salope dont me parle mon mari,mets-toi en tenue et montre moi,je veux te voir prête à sortir"
Je passais à la salle de bain pour finir de me maquiller et ajuster ma perruque aux longs cheveux blonds.
Puis je passais un tailleur noir et veste longue avec sac pour sortir et hauts talons vernis:puis je me rendais au salon pour me présenter.
"Trés bien,mieux que je pensais;tu as vraiment l'air d'une femme.Je compte bien te féminiser encore"
Puis elle se tourna et parla avec son mari doucement.Je n'entendais pas mais ils parlaient de moi.
Elle se retourna ,puis me dit
"Ecoute on te propose de partir avec nous pendant trois semaines en vacances dans le sud.Nous avons une villa et j'ai envie de te féminiser et te soumettre à nos désirs.Tu retrouveras une vraie femme qui est notre esclave depuis 1 an.Vous serez dressée ensemble.Tu subiras les mêmes tourments"
Je réfléchis rapidement puis donnais mon accord pour vivre ainsi 3 semaines complétement en femme, sans habits masculins, dressée par le couple.
Ma féminisation allait commencer et me marquer.
Je commençais un régime pour m'affiner.Elle voulut que je porte dorénavant un corset  pour mieux marquer ma taille.
Je complétais ma garde robe avec des tenues d'été,maillots de bains brésiliens,escarpins hauts talons,tops,mini jupes,piercing au nombril,tee shirts et accéssoires tels bijoux,sacs ,ceintures....pour sortir.


Je préparais ma valise tandis que je continuais les séances de domination du mari chaque semaine.Il étais trés résistant à la douleur et au fouet qui le marquait plusieurs jours.
Il vint plusieurs fois avec sa femme certaines soirées .
Dans la rue on ne pouvait imaginer sa tenue sous la cape courte à mi-cuisses: soutien gorge,string,porte-jarretelle et bas couture tirés haut.Ses mains étaient liées dans le dos ainsi que ses coudes,lui interdisant de remettre sa cape lorsqu'elle se soulevait avec le vent ou la marche,son mari lui déboutonnant à souhait les boutons qui dévoilaient plus ou moins sa lingerie sexy.
Ils s'arrêtaient toujours dans le quartier,la forçant à marcher sur ses escarpins dans cette tenue pendant prés d'un quart d'heure pour venir à la maison malgré ses supplications de ne pas lui faire subir cette humiliation.
Mais rien n'y faisait pour mon plus grand plaisir du spectacle trés glamour qu'ils m'offraient
Quand ils arrivaient je les faisais monter à l'étage,lui devant ,elle derriére, pour admirer dans l'escalier ses jambes gainées de nylon perchées sur ses escarpins  à hauts talons.
Je lui déboutonnais à l'étage sa cape qui tombait à ses pieds dévoilant son corps et sa lingerie toujours renouvellée ,trés excitante.Elle laissait échaper un soupir en détournant sa tête à chaque fois qu'elle montrait ainsi contrainte sans pudeur son corps. Aprés quelques caresses sur ses seins ,ses fesses et son sexe qui la faisaient gémir en se croisant les jambes ,je lui mettais le large collier et le baillon boule.
Je l'installais sous la poutre du salon .Je la préparais lui sanglant les chevilles et les guenoux puis j'attachais le collier trés haut à une chaine pendante,la forçant à se tenir trés droite sous peine de s'étrangler.
Dans cette position une femme est incapable de se détacher.C'est une position idéale pour le dressage d'une esclave à la maison,la femme se maintient débout uniquement par le cou et elle n'a pas la force de crier.
Son mari ,nu, était mis en face d'elle pour être soumis au supplice du fouet,pendu par les mains enchainées au dessus de sa tête.
Je les laissais ainsi le temps du repas se contortionner dans l'attente de leurs supplices.
J'indiquais
-que je fouetterai d'abord le mari
-lorsqu'il ne pourra plus supporter le fouet ,il demandera de fouetter sa femme à sa place pendant le temps qu'il lui conviendra.
Ainsi il la regardait se tordre sans parler et entendait ses gémissements étouffés par le baillon.
Lorsqu'il voyait à son regard les limites de sa souffrance il décidait de la reprise de son supplice ne pouvant plus supporter de voir  les fesses et le dos de sa femme se marquer de zébrures.
Ensuite aprés de nombreuses heures ,les corps ainsi rougis, sa femme était pendue par les pieds ,les bras sanglés autour de la taille et elle devrait sucer le sexe de son mari les mains liées dans le dos jusqu'à éjaculation pendant leur flagellation commune.
C'est elle par son ardeur et lui par le restant de vigueur qui provoquaient l'arrêt de leurs supplices.
A l'expérience les douleurs et les cris des deux ont retardé l'éjaculation et leurs supplices se sont prolongés à chaque fois plus d'un quart d'heure.
L'orgasme du mari a été à chaque fois d'une incroyable violence avec de longs jets entrecoupés de spasmes qui le laissent pantelant au bout de sa chaine.Sa femme,la bouche et le visage pleins de sperme suppliait de la déposer au sol tant elle etait épuisée,le corps meurtri,la tête qui tourne.Elle repartait à la maison sans que ses mains aient été déliées,la bouche lavée du sperme et la cape jetée sur ses épaules comme avant.
Puis arriva le moment du voyage.Ma valise était prête.
Il faisait chaud ce mois de juillet.Je mis pour le voyage une petite jupe blanche plissée avec un top décolletté blanc et bleu sur un ensemble de lingerie en dentelle blanche.Par contraste on voyait la lingerie se dessiner sous les vêtements.Je trouvais cela sexy sans plus.Puis je coiffais mes longs cheveux blonds et mis des escarpins à hauts talons dorés.Quelques bijoux fantaisie pour agrémenter et me voila partie en me remettant du rouge à lévres au passage devant la glace de l'entrée .
La journée s'annoncait belle pour le voyage.Je pris ma voiture pour les rejoindre
Ils m'attendaient.
Aprés avoir garé ma voiture et sorti ma valise,ils me prirent et commencerent une inspection de ma tenue qui leur convenèrent.
Puis ce fut la signature du contrat de soumission:
-je serai traitée comme une femme-
-je subirai les sévices sexuels réservés aux femmes
-je serai toujours attachée jour et nuit sauf pour les courses ou sorties
-je ne déciderai pas de l'arrêt de mes supplices,mes maîtres jugeront de leur poursuite sans mutilation cependant
"Pour commencer,tu seras attachée derriére nous sur le siége arriére de la voiture pour le voyage mais en attendant tu suis Jacques dans la maison pour te préparer pour ton voyage.C'est nous qui décidons maintenant.Tu vas débuter ton dressage de femme"

 Un peu anxieuse je suivais Jacques dans le salon où pendait suspendue du plafond une barre d'écartelement

J'eu un mouvement de recul mais je fus poussée sous la barre.Il me lia avec une corde les poignets dans le dos et passa le reste de corde autour de mes épaules de façon à ce que mes poignets soient immobilisés au milieu du dos..Aussitot il descendit la barre me fixa les chevilles aux larges laniéres de cuir et il me remonta.J'étais pendue par les pieds cuisses écartées,mains solidement maintenues dans le dos."On attend Agnés qui veux s'occuper de toi;tu vas voir elle va se venger; tu vas connaitre ta soumission comme femme"
Agnés vint avec un fouet.Ma jupe était retombée sur mon corps offrant le spectacle de mes fesses soulignées par mon string de dentelle blanc."C'est parfait ,dit-elle,je vais te mettre tes fesses en feu pour le voyage"
Elle me flagella avec science pour me les rendre en feu au milieu de mes hurlements.Puis elle sortit un but plug bien dimensionné qu'elle m'intoduisit dans l'anus bien huilé.Je me débattis en vain .Je me raidis lorsqu'il passa l'anneau de l'anus et j'hurlais tandis qu'il s'enfonçait happé par mes intestins."Il est calculé pour ne pas pouvoir ressortir naturellement,tu vas maintenant le porter".Puis ils me descendirent de ma position.Je me relevais ,aidée, toute pantelantebondhog01-10.jpg


'Viens maintenant à la voiture,on va t'installer sur le siége arriére.On te menotte les mains dans le dos et on te sortiras sur les aires de repos pour tes besoins"
Ils m'installérent sur le siége arriére,bouclérent ma ceinture de sécurité me faisant me cambrer les seins saillants sous mon top.Ils complétérent par une barre d'écartement aux pieds pour m'obliger à avoir les cuisses écartées.Cela remontait ma jupe déja courte et on apercevait certainement mon string blanc.
Le voyage dura la journée.Finallement je ne fus pas détachée;ils me donnérent à boire et à manger sur mon siége.Ils m'arrêtérent dans un bois pour mes besoins car je ne tenait plus.Agnés me retira la ceinture de sécurité et la barre et m'emmena les mains attachées dans le bois.Elle me baissa le string et acccroupie comme une femme j'urinais abondamment.Elle me suça la queue pour la nettoyer ce qui m'excita et elle grossit dans sa bouche."Attends dit-elle d'arriver je m'occuperai de toi,salope,avec l'autre esclave,une jeune femme une vraie qui t'attends.Comme cela tu comprendras les supplices qui t'attendent"
J'arrivais enfin à la propriété.Elle était entourée d'une haie épaisse et protégée par un haut portail.
"C'est discret ici;c'est bien pour ce que l'on fait........."
Le portail automatique s'ouvrit devant une allée bordée d'arbres qui dissimulait la demeure que l'on devinait.
"Laisse là se dégourdir un peu avant la nuit,dit Agnés"
sur-la-terrasse.jpgJe me retrouvais sur la terrasse baillonnée en lingerie enchainée aux mains et aux pieds au poteau.
Il faisait chaud en cette fin de journée.

De la fenêtre d'une piéce s'échappaient des gémissements par moments.

Je commençais à mouiller de peur et j'avais peur que l'on voit la tache humide sue ma culotte haute.
On vint me délivrer au bout d'une heure.
J'aperçue dans le salon au passage la jeune femme nue exposée sur une caisse en position hogtied ignoble,pieds repliés sur les mains retournées dans le dos et solidement maintenues par des cordes qui passaient autour des seins.Le baillon lui déformait la bouche t ses cheveux attachés en arriére l'obligeait à avoir la tête relevée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

hogtied.jpg"On a repris son dressage sexuel,le tien va suivre,tu vas la connaitre et on jugera si tu es aussi resistante"
Ma culotte était trempée de peur et d'excitation.
Agnes me poussa dans sa chambre et me délia les poignets
"Vous serez içi avec nous les nuits,pas de lit pour les esclaves,soit attachées au mur soit au pied du lit.

En attendant tu vas mettre  des bracelets de cuir aux poignets,aux chevilles et au cou.Tu les porteras tout ton séjour"
Je m'assied sur le lit en poussant un petit cri car le but plug se rappela à mon souvenir en s"enfonçant dans mes intestins.
Elle me mis ensuite des petits cadenas rendant impossible de s'en liberer et m'attacha mes poignets dans le dos
"Je veux te rendre ton corps plus féminin pendant ton séjour.Tu bronzeras en maillot de bain avec string de façon à etre marquée pour longtemps de l'empreinte d'un soutien gorge.On va aller voir Isabelle,tu feras sa connaissance.J'ai hate
                                                                   
Aprés bronzage en soutien gorge


de savoir comment tu cries"


J'avais peur d'etre punie quand elle verra ma culotte mouillée.Elle pris une laisse pour chien et la fixa à mon collier.Elle me fis traverser la maison pour rejoindre le salon.

 

"Que lui as tu fait?"dit ma maitresse 
En effet du sperme coulait de sa bouche.
"Je me suis fait sucer ; j'en avais envie"répondit mon maitre
"Hum tu aurais pu attendre pour que je vois,enfin ce sera pour ce soir.Je t'améne ta salope .On va lui faire gouter nos supplices"

 

Je fus mise en maillot de bains,perchée sur mes escarpins rouges et ils me firent gouter à la "présentation".Cela consistait à attacher le collier assez haut à une chaine pendante du plafond  puis ils écartérent mes pieds en les fixant au sol à des anneaux ce qui eut pour effet de m'étrangler si je ne restait pas les jambes bien tendues sur mes hauts talons.Pour achever mes poignets furent remontés dans le dos assez hauts et  fixés à la chaine du cou par des menottes.C'était une position d'offrande sadique compléte de mon corps à tous les sévices ,sans espoir de se

 

détacher.
"Regarde elle mouille,dit ma maitresse,tu vas subir une punition 20 coups de fouet; tu présentes d'ailleurs bien ton cul dans cette position"
Impossible de bouger pendant la séance, je commençais à gémir à la fin.
Ma maitresse entrepris à la suite de me masturber,j'explosais de façon incontrolée en criant au bout de quelques minutes en longs jets de sperme.
Je fus abandonnée ainsi le reste de l'aprés-midi.


Isabelle était elle attachée sur un plancher en bois dans un angle de la piéce de façon horrible.Elle m'explica qu'aprés lui avoir mis la barre métallique de contrainte fixée au cou par un large collier ,ses poignets avaient été menotés de chaque coté comme crucifiée.Il m'avait mise assise à genoux et m'avait écarté les pieds pour me fixer les chevilles à des colliers fixés au plancher exposant ainsi sans défence mon sexe .Et au final aprés avoir jouit dans ma bouche il m'a penchée en arriére pour m'allonger sur le dos et m'attacher le cou dans un autre collier  fixé au plancher tout en        conservant la contrainte.Elle offrait ainsi ses seins et son sexe .
Elle était belle et je bandais en la voyant exposée de façon aussi impudique.
Elle me dit:"mon amant m'y contraint réguliérement.Mais tu es belle comme trans.Tu vas subir tous les supplices sexuels des femmes.Le dernier a hurlé comme une folle et jouissait plusieurs fois par jour.Ils ne te détacheront pas ,je les connais.J'ai des crampes dans les cuisses,oh mon dieu j'en peux plus...."
Elle se mit à hurler en se débatant arc boutée dans ses efforts vains pour se soulager.Son sexe gonflé ,imberbe, était superbe.J'en frissonnais car je n'avais jamais entendu de tels cris.Moi aussi ma position commençait à me faire souffrir et je m'étranglais pour rester droite.


Agnés revint enfin au bout d'un temps infini:
"Alors mes filles bien calmées,je vais un peu vous délivrer avant la nuit"
Elle commença par Isabelle,liberée de ses entraves elle ne pouvait plus rester debout.Elle fit de même pour moi et je dus m'occuper d'Isabelle en la prenant nue dans mes bras pour l'aider à remarcher.




   

En corset


 En corset serré depuis 8 jours à 65 cm                                                                                                                   

"Pamela viens içi laisse Isabelle se remettre,on va s'occuper de ta taille.J'ai apporté un corset taille 38 pour 61 cm de tour de taille aprés laçage maximum.Tu devras le porter pour revenir de vacances.Tu seras plus femme.Je pense que 3 semaines seront suffisantes pour t'affiner ta taille.En dehors du bronzage tu le porteras tous les jours et les nuits de plus en plus serré.Tu seras suppliciée en corset."C'est ce qu'ils firent....
Ce fut un vrai supplice au début,si je n'avais pas eu les mains constamment attachées,je l'aurai délacé tant la contrainte m'étouffait.J'avais mal au ventre pendant que mes organes se mettaient en place.J'attendais le bronzage avec soulagemment débarassé de ce carcan.Se déplacer demandait au début des efforts ,des essoufflements,se baisser était délicat.Et chaque fois ma taille était mesurée pour le remettre pareil la même journée et avec 1 cm de moins le jour suivant.Je mangeais par petites quantités tellement mon ventre était comprimé comme dans un étau.

La maison était ancienne et comportait des poutres en plafond.J'ai compris aprés l'usage sadique qu'ils en faisaient.Des douilles étaient disposées dans les poutres en de nombreux endroits permettant de rapidement visser des anneaux sur lesquels ils fixaient des chaines servant aux supplices.

Pour les repas deux chaines pendaient toujours aux extremités de la table à proximité des maitres.Ils nous amenaient Isabelle et moi au pied des chaines,mises à guenoux chevilles sanglées aux cuisses, empêchant de se lever.Puis le collier était fixé haut sur la chaine ainsi que les poignets menottés ramenés au milieu du dos.On se tenait de ce fait trés droites toutes les deux sous peine de s'étrangler.Les maitres nous avaient à disposition à hauteur pour nous donner à manger

Les punitions arrivaient trés souvent.Si ma maitresse trouvait que mon tour de taille était insuffisant j'étais corsetée sevére rendant mon repas trés pénible.

Isabelle a été pratiquement nue tout le temps mais elle était habituée à ne porter au mieux que des hauts talons,bas,porte-jarretelle avec string et soutien-gorge ou parfois aussi corset.Son mari l'exigeait d'elle ainsi à la maison depuis de nombreuses années 

Le pire pour nous deux était le port du harnais de tête ,muni d'un entonnoir, qui était de plus tiré en arriére par une chainette passée entre les fesses et attachée à la taille sur le ventre.Ils réglaient la tension pour que nos têtes soient retournées de façon à pouvoir remplir l'entonnoir de ce qu'ils voulaient ,liquide ou nourriture que nous devions avaler sous peine de nous étrangler. Nous avons gémi toutes les deux pendant ce supplice et parfois nos maitres urinaient pour toute boisson.Il était impossible de se dégager malgré les contortions.Le fouet terminait le repas en ce cas et parfois une masturbation à titre de dessert.

J'apprehendais le coucher car les nuits se passaient souvent dans la souffrance pour nous rappeler notre condition d'esclaves.La dureté était fixée en fonction du bon vouloir des maitres.

Le lieu de l'un des supplices se trouvait dans le jardin dans un bosquet d'arbres à l'écart des maisons.C'était une belle statue d'homme nu dressé sur un piedestal et tenant à bout de bras une barre métallique.La particularité était qu'il avait un gros sexe luisant en ivoire avec un gland turgescent .Il s'épaissisait jusqu'à la base où se trouvait deux magnifiques glands ;la barre étant munie de bracelets.

C'était dénommé" le supplice de la statue". bcom6.jpg

J'ai vu le soir de mon arrivée son usage sur Isabelle nue.Ils ont dû la trainer dans le jardin quand elle a su ce qu'ils lui réservaient pour la nuit.

J'ai dû y assister en serre taille sévérement lacée ,perchée sur des escarpins vernis noirs à hauts talons et bas couture noirs.Mes longs cheveux blonds flottaient dans la brise du soir.J'étais face à elle enchainée aux pieds , les bras pris dans un mono gant de cuir,collier large et baillon boule pour voir ce qui m'attendait les jours prochains.

0010a.jpg

 

Ils la firent monter sur deux plots face à la statue pour pouvoir lui fixer les bracelets de cuir épais.Les chaines étaient alors encore laches.Puis ils orientérent son bassin en le plaquant par une chaine à la taille contre la statue pour présenter l'anus en face du gland turgescent qui avait été enduit d'huile pour faciliter l'introduction.Ils lui retirérent les deux plots d'appui et la laissérent pour s'empaler. SDY273.jpg

.Elle se contracta,battit l'air de ses jambes pour éviter cette intoduction inéluctable et douloureuse du sexe en ivoire.Isabelle poussa un long hurlement pour le passage du gland qu'elle engloutit en une minute et s'enfonça sur le sexe dans un long gémissement,crispée sur les chaines de ses bracelets pour essayer d'empecher cette pénétration ignoble.Mais l'effort était trop grand et elle s'empalait lentement sur ce sexe qui lui écartait progressivement son anus jusqu'à l'insupportable.

Elle se reposa finalement sur les deux glands qui l'arrêtérent et lui servirent de siége.Les chaines des bracelets étaient tendues. Elle se tenait sur la pointe des pieds sur le socle de la statue pour soulager la douleur.Ils lui reliérent par une trés courte chaîne les bracelets de cuir des chevilles de façon odieuse car Isabelle ne pouvait s'échapper.

 

Le spectacle de cette jeune femme nue empalée sur le sexe de cette statue,bras écartés tendus vers le ciel était irréel et excitant à l'extrême.Je mouillais dans mon string.Elle esssaya au début de se sortir de ce sexe qui lui tiraillait ses entrailles mais la pauvre ne pouvait à la force des bras que s'élever de 10 cm puis épuisée retombait empalée encore plus dans un cri de souffrance.La nuit allait être longue.

Ils lui enfilérent une nuisette courte en voile transparent noir pour la fraicheur nocturne et aprés lui avoir bouchée les oreilles ajustérent une cagoule de cuir munie d'un baillon boulle pour l'empécher de crier dans la nuit et d'un masque pour les yeux.C'est horrible car on perd tous ses sens,il ne reste que la douleur du corps pour un temps indéterminé.

Nous l'abandonnons ainsi et je suivit à petits pas mes maiitres qui me trainait au bout de la chaine de mon collier vers ma chambre.

Pam-01.jpg

Ma nuit allait être longue et avec des souffrances odieuses.

Ils me mirent un corset seins nus fortement ajust à me couper le souffle.Des bas furent attachés aux jarretiéres.

Puis des sangles me repliérent les bras dans le dos qu'il me fut impossible de bouger ensuite sécurisés par des menottes métalliques.

Agnés sortit mes ballets boots et exigea que je les portent.Je me retrouvais debout chancelante perchée sur ces chaussures de torture.

Pour finir elle me mis un baillon araignée qui me maintenait la bouche grande ouverte,sanglé derriére ma nuque.

Comme Isabelle,elle m'enfila une cagoule fermée avec deux trous aux narines pour respirer faiblement ,ajustée par un lacage serré et fermée par un large collier.

j'étais folle d'angoissse de passer ainsi la nuit sans pouvoir m'échapper cette fois comme parfois je réalisais mes auto bondage.J'étais à leur merci et je devais subir.

Ils m'emmenérent dans leur chambre et m'installérent sur le mur face à leur lit.

Pour rester debout, l'anneau supérieur de la cagoule fut attaché à une corde qui pendait du plafond.Elle fut rapidement ajustée pour que je me tienne bien droite, mon équilibre tenait simplement à cette cagoule et le collier m'étranglait à chaque faux mouvement.

Cette position d'esclave les excitait et je les entendit faire l'amour de noubreuses fois ,Agnés hurlait tellement fort à chaque orgasme.Elle s'occupa de moi pendant la nuit en me sucant le sexe qu'elle me fit exploser à chaque fois.

 belle-vue-le-matin.jpg

Au petit matin, aprés m'avoir détachée épuisée,ils m'emmenérent voir Isabelle qui pendait inerte au bout de ses chaînes,la tête retombée en arriére, sans force d'avoir gémie la nuit durant.

On entendait l'air siffler par les deux petits orifices de la cagoule réservés pour la respiration..La cyprine avait coulé de façon abondante de son vagin distendu et martyrisé,ses cuisses en étaient couvertes .

Je lui ai détaché les mains de la barre pour les attacher à la taille de la statue.

Mes maîtres aimaient pendant leur petit déjeuner contempler Isabelle embrasser la statue comme ils disaient

Réveillée elle remuait sans bruit sa tête cagoulée dans l'attente de la délivrance s'agrippant vainement à cette statue pour s'en dégager.

Je les aidais finalement aprés leur petit déjeuner à la sortir de sa position.Un bruit de suçion accompagna cette manipulation lorsqu'on la souleva.Adorant cela ils la laissérent par plusieurs fois retomber pour s'empaler sur ce sexe provoquant à chaque fois un gémissement étouffé par le baillon de la cagoule.

Le raidissement du corps et un hurlement étouffé marquérent le passage définitif du gland qui sortit enfin du vagin tout dégoulinant de cyprine avec de longs filaments vitreux.

5e2d85.jpg GE075.jpg fet-20-19-_edited.jpg

Une autre de leurs inventions sadiques était le supplice en chambre de l'araignée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

à suivre

Par pamela - Publié dans : travesti
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Samedi 8 septembre 2007 6 08 /09 /Sep /2007 15:07
De mes rencontres de travesti une expérience humiliante d'un couple sadique  venu à la maison pour me Intimit--s-10-12-2006-109.jpg dresser.
Mon salon était transformable en donjon.Le lustre cache une chaine attachée aux poutres du plafond et sous le tapis 4 douilles disposées en croix permettent de visser des attaches.Le principe est d'enchainer une soumise au milieu du salon dans diverses positions offertes à la vue des invités.
Cette disposition avait plu au couple suisse rencontré sur le net.Elle maitresse et lui travesti soumis.
Pour notre rencontre d'un week end elle demanda de me mettre en tenue.J'obéis à ses ordres un peu anxieuse de me livrer  ainsi sans défence.
Je passais 2 heures en début d'aprés midi du vendredi à me préparer,m' épiler complétement  ensuite cat-suit en voile,string noir bien tendu,serre taille vinyl ajusté au maximum pour mettre les fesses en valeur,soutien gorge pigeonnant assorti avec mes seins silicone 90 C et bottines vernies à hauts talons.Je choisi une perruque avec des longs cheveux blonds que je réglais avec des pinces pour bien les tenir.Un maquillage soigné mettant en valeur les yeux avec un eye liner ,les pommettes poudrées,un rouge à lévres humide et une touche de parfum acheva ma préparation.L'aspect me plaisait et me rendait excitante
Je disposais dans le salon les barres d'écartement,les menottes et fixais la chaine au plafond et les attaches au sol.Et j'attendais l'estomac noué
Intimit--s-2007-10-26-033.jpg  

Un coup de sonnette vers 4 heures m'avertit de leur arrivée.Je m'avançais dans l'allée du jardin pour ouvrir le portllon.Je regardais autour de moi si des gens étaient dehors car dans cette tenue en me déhanchant sur les hauts talons je passais pour une pute.
Lui était à la porte avec une laisse, un collier et des bracelets de cuir doublés de métal chromé.
"Je te prépare pour Sonia"dit-il,"tourne toi"
Il me ramena les mains dans le dos et me fixa les menottes.J'entendis des bruits des fixations qui se refermaient sur mes poignets.J'étais à leur merci.Il me retourna et me mit le collier avec la laisse qu'il fixa dans le cou aprés avoir écarté les cheveux.
"Sonia veut avoir ainsi ses soumis".Puis il me tira par la laisse à la porte de la voiture pour me présenter à ma maitresse.De ce fait,involontairement je me trouvais propulsée sur le trottoir dans la rue devant chez moi.J'étais affolée d'être vue ainsi.
Sonia ouvrit la portiére toute de cuir vêtue,superbe,cheveux coupe carrée parfait noirs,cuissardes moulantes noires avec mini jupe et veste dont le décolleté laissait entrevoir la rondeur de ses seins bien dressés certainement par un soutien gorge push up.
Elle prit la laisse et aprés m'avoir jetée un coup d'oeil pour me juger ,entra dans la propriété en me tirant derriére elle.
"Des beaux arbres,dit elle,tu en feras connaissance .J'aime réserver de belles surprises à des salopes comme toi"
Je commençais à apprehender les séances de supplices promises car son mari sortait de la voiture un sac d'accéssoires qui m'étaient destiné.
Elle alla dans le salon pour controler le systéme d'attaches
"Trés bien ,dit-elle,viens ici salope que je t'enchaîne le temps de me préparer"
Elle sortit des entraves de bras qu'elle me fixa dans le dos en me resserant les coudes,puis détacha mes menottes me ramenant les mains serrées à la taille et refixa la chaine de liaison sur mon ventre.Elle prit la chaine qui pendait du plafond et me la fixa d'abord au collier trés haut ,m'étranglant à moitié,puis aux entraves des coudes et la ramena entre mes cuisses pour mettre un cadenas sur le ventre à la chaine des menottes m'écrasant mon sexe.Je tournoyais ainsi pendue au bout de ma chaine sans défense.
Elle se recula pour juger du résultat et m'enchaina pour finir les pieds à une fixation ausol.
"Tu vas m'attendre ainsi ,petite pute,que je me prépare.Je te préviens je suis longue.Tu auras le temps de méditer ta condition d'esclave sexuel et d'imaginer tes futurs sévices.Tu me plais.Je veux te faire hurler de plaisir et de souffrance.Tu vas cracher ton sperme"
Sur ces parole elle m'abandonna.Je me maintenais le souffle court sur la pointe de mes bottines,seins dressés et cambrée comme une pute.La position était horrible ,indépendamment que j'offrais mon corps sans défense à mes bourreaux.
Au bout d'un temps trop long ,pendue par la chaine qui m'étranglait,j'entendis ses hauts talons dans le couloir.Elle revenait pour me faire quoi?J'engoissais un peu en me tournant un peu dans sa direction mais le collier ne m'autaurisait pas beaucoup de mouvement et je ne pouvaitpas baisser la tête .
Elle était en short court de cuir mettant ses fesses en valeur perchée sur des cuissardes vinyl.Un chemisier noir légerement transparent laissait deviner des beaux seins mis en valeur par un soutien gorge push up.
Elle trainait à quatre pattes son mari tout vêtu de latex la taille comprimée par un serre taille en satin rouge.Ils étaient superbes.
"Avance toi et suce cette salope"lui dit-elle
Il me dégagea le sexe par l'espace du cat suit et s'executa.Je me pâmais de jouissance contenue tellement il me suçait avec force . Je gémissais puis au bout d'un moment sentant la séve monter irrésistiblement je criais que je n'en pouvais plus.Dix coups de fouet répondit à ma supplique pour bloquer par la douleur la montée du sperme,.Le répis fut de courte durée car la douleur de mes fesses rougis et la pipe effectuée consciencieusement par son mari sans arrêt me fire de nouveau supplier d'arrêter.Elle ordonna à son mari de se retirer .Mon sexe était congétionné.Elle se recula ,prit son fouet et me flagella
"Tu vas voir comme il va devenir plus petit,c'est ma méthode pour des putes de ton genre"
Au fur et à mesure que la laniére tracait des sillons rouges la douleur devenait intense et mon sexe se dégonfla pour entrer à nouveau dans mon string.
Elle arrêta à ce moment.Je n'en pouvais plus.Je tournoyais au bout de ma chaine la tête renversée à moitié inconsciente offerte comme une esclave sans défense.
"Tu es une bonne pute,tu vas voir ce WE ce qu'on peut te faire.Lundi tu seras brisée de souffrance le sexe en feu.J'ai des projets pour toi"
"Attend le WE sera long,on aura le temps d'en profiter"
Elle décrocha la chaine du collier et je m'écroulais sur le sol les mains entravées toujours à la taille,les pieds reliés à la fixation du sol qui ne me permettait pas de m'échapper.
"Laisse-la,on attend un peu avant de la torturer.Va me chercher la barre,j'ai envie de la voir souffrir cette salope"
J'entendis un bruit métallique dans l'entrée et son mari revins avec un tube métallique assez gros de 2 métres équipée d'attaches en son milieu et aux extremités.
Elle me mis sur le ventre ,détacha la chaine reliant mes pieds au sol et avec deux cordes me ramena derrière mes cuisses les chevilles qu'elle attacha ainsi .Je me retrouvais privée de mes pieds.Je me demandais ce qu'elle me réservais.
Elle me délivra les bras et entrepris de me les attacher bien étendus sur cette barre au niveau des poignets,des coudes et des épaules.J'étais comme crucifiée.Puis elle fixa la chaine pendant du plafond à l'attache centrale et me hissa.Je comprenais avec horreur ce qu'elle voulait.Je me retouvais face à elle asssise dans le canapé crucifiée reposant à peine sur mes guenoux,soutenue seulement par mes bras .
"Je vais te mettre la poire d'angoisse car je ne veut pas t'entendre gémir ou hurler"
Je m'exposais à elle sans défense.Elle me sortit le sexe et commença de jouer avec la pointe de ses hauts talons.Je gémissais et ne tardais pas à bander dans cette situation.
"Tu recommences?"Elle fit un signe à son mari qui me flagella.Je me tordais pour échapper à la douleur,ce qu'elle cherchait.Elle sortit son sexe devant moi et commença à se masturber.La vue m'excitait d'autant que j'étais impuissante.Puis la crucifiction fit son oeuvre.Les bras s'engourdissaient et mon corps s'affalait doucement vers l'avant.La respiration se faisait plus douloureusement tirant sur les muscles.Je me redresssais réguliérement mais avec le temps je n'y arrivais plus.
Je perdis la notion du temps tandis qu'ils s'amusaient devant moi, impuissante, se faisant prendre par son mari.Elle était trés sensible du clitoris, sa masturbation lui faisait pousser des gémissements qui emplissaient la maison.Puis elle se mit à crier sans interruption quand le clitoris turgescent sortit de la gaine de chair.Elle ne se controllait plus,se convultionnait sur le canapé.
J'étais haletante quand enfin aprés sa longue jouissance ella consentit à me détacher.Je restais affalée par terre de longues minutes avant de me remettre sur mes hauts talons.
A suivre



A suivre
Par pamela - Publié dans : travesti
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Jeudi 26 juillet 2007 4 26 /07 /Juil /2007 21:12

                                                                           dress-07.jpg
J'avais fait la connaissance d'un ami qui aimait les travestis et le bondage.Il passait réguliérement des annonces et un jour il m'appris qu'un couple avec une japonaise venait passer la soirée.Son mari nous l'offrait affirmant qu'elle était résistante aux supplices et trés docile.Cela l'excitait de la soumettre ainsi et il filmait les rencontres.Rendez vous est pris pour une fin de journée.
Je m'habillais en maitresse avec cuissardes vernis,gaine culotte avec short moulant en vinyl noir,soutien gorge 90 c avec seins silicone bien dressés,et longs cheveux blonds sur haut en dentelle noir transparent.La tenue me plaisait et je me maquillais trés longuement pour accentuer le regard avec un eye liner noir et les lévres rouges pulpeuses.
Quand mon ami arriva en premier il me dit être superbe et m'entrepris en me caressant le sexe.Il était déja bien excité et moi aussi.Il m'aida à sortir les cordes,bracelets de métal et de cuir et harnais de contrainte.Le portique du donjon était pret pour la scéance de supplices de notre japonaise.
Vers 19 heures la voiture du couple arriva.Je le reçu à la porte de la propriété et alla ouvrir le portail pour entrer le véhicule dans l'allée du garage.
Il descendit du véhicule et m'inspecta en me caressant le short et souhaitant que l'on passe une bonne soirée.Je m'inquiétais de ne pas voir sa compagne.Il me dit d'aller la chercher en me tendant des clés.J'étais intriguer et excitée.Effectivement elle était attachée par des menottes au siége et attendait que l'on vienne la prendre.Il me dit qu'elle voyageait toujours ainsi,l'ayant dressée en conséquence.
Je la délivrais.C'était une belle asiatique,assez grande,cheveux noirs au carré impecable,en tailleur rouge avec mini jupe dévoilant de belles jambes.Elle avait un collier métallique avec un anneau.Je lui fixais la chaine et lui remettais les menottes dans le dos.
Nous partimes ainsi pour la maison tout en parlant ,elle derrière moi maintenue en laisse les bras dans le dos.J'allais dans le donjon lui montrer son lieu de "plaisir".La vue des poutres desquelles pendaient des chaines et des menottes la firent frémir.Elle essaya de me dire quelques mots mais je sus aprés qu'elle parlait peu le français.
Nous repartimes pour la maison  ells toujours en laisse derriére moi.Elle se mit  arrivée dans le salon de suite à genoux prés de son mari qui nous fit remarquer la qualité de son dressage.Il lui signifia que cette tenue ne convenait pas et je l'emmenais pour la préparer.
Dans la chambre je lui dégrafais sa jupe qui tomba à ses pieds.Elle apparut en porte jarretelle noir en dentelle bien gainant avec 8 jarretelles qui tendaient bien ses bas couture.Son string bien au creux de la raie des fesses les mettait merveil 3503d.jpg leusement en valeur. 
Je sortis un harnais en forme de gant unique muni de courroie pour immobiliser ses bras dans le dos.Elle recula et me dis "non,non,je ne veux pas,trés mal"dans un mauvais français.Je ne l'écoutais pas et aprés lui avoir ramené ses bras dans le dos je lui enfilais le gant bien à fond.Puis je lui passais les courroies autour des épaules et j'achevais en terminant par un laçage trés serré qui lui rapprocha les coudes.Je bouclais pour terminerles courroies des coudes  puis celles des poignets.
Elle étais trés désirable cette japonaise bien immobilisée avec ce gant.Son ami avait dit qu'elle était trés résistante à la douleur hahituée depuis sa jeunesse à des sévices de ses parents.
Elle me regarda dans l'attente de ma décision.Je la sortis de la chambre pour l'emmener à la salle à manger lui donner son repas de soumise avant d'autres supplices pour la soirée et la nuit.

A suivre 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Vendredi 20 juillet 2007 5 20 /07 /Juil /2007 21:13

 

 



J'avais laissé des adresses sur des sites de travesti en indiquant ma recherche de bondage.Un militaire était venu me voir déjà 2 fois pour me dresser.
Ce soir là le téléphone sonne vers 22 h et il me demande de me préparer.J'étais au lit en sous vêtement comme d'habitude(soutien-gorge pigeonnant,string et nuisette courte transparente, le tout noir),seins silicone et longs cheveux blonds.Je lui fis ma description ,cela lui convenait à l'exception que je ne devais pas avoir de nuisette mais  mon corset  de satin noir serré à 67 cm de tour de taille ainsi que je l'avais reçu la première fois .Il me dit de l'attendre dans cette tenue avec des bas couture noirs et hauts talons vernis pour être une vraie salope.Je lui obéis toute excitée.
Un coup de sonnette une demi heure après et je lui apparue dans cette tenue à la porte de l'appartement.Il me glissa sa main dans mon string et me caressa le sexe et les seins siliconés,les tétons pointant dans les bonnets du soutien gorge.Mon sexe se mit immédiatement en érection.
Puis il me demanda de sortir mes chaînes et menottes car il voulait disposer de moi dans cette tenue dans le hall de l'appartement  pourvu d'attaches pour permettre un écartèlement.J'avais déjà longuement utilisé cette possibilité seule en self bondage, restant attachée de longues heures certains jours.


Les chaînes furent mises rapidement dans les anneaux prévus à cet effet .Il me mit les bracelets de cuir aux poignets et chevilles. 


Il me poussa au centre du hall,tendit les chaînes supérieures et cliqueta les bracelets de cuir des poignets aux attaches rapides sans que j'ai eu le temps de dire mot.Mes bras se trouvaient assez relevés,j'étais les bras écartelés;je lui dit de m'attacher moins haut un peu affolée car je savais que cela m'empêcherait de me dégager si besoin face à un inconnu qui voudrait me torturer .Mais il ne me répondit pas et pour réponse entrepris de m'écarter les pieds pour relier mes bracelets de chevilles aux chaînes du sol.Cette opération eut pour effet de me descendre le corps légèrement et ainsi de m'interdire toute possibilité de me dégager les poignets comme je faisais lorsque j'étais seule lors de mes self bondage.


Cette constatation m'angoissa car je ne connaissais que peu ce militaire.Dans le même temps je mouillais à cette idée de lui appartenir,d'être à sa merci.Je me disais qu'il pouvait me tuer ou m'abandonner ici et que l'on me retrouverait enchaînée dans cette tenue obscène


 Il trouva le fouet dans mes affaires et me fis subir une flagellation de 20 coups sur les fesses et le devant.J'étais ruisselante de sueur aprés cette épreuve car je m'étais efforcée de ne pas crier pour les voisins,il y avait seulement les claquements sur la peau.

 

Je l'avais excité en me tordant devant lui en lingerie. Alors il me pris mon sexe et j'eu droit à une masturbation en régle ,se régalant de mes râles de plaisir, variant le va et vient pour prolonger l'échéance, il accentuait les mouvements, je criais que ma séve montait ,puis il s'arretait laissant mon cvlitoris se dresser par saccades sans atteindre l'orgasme attenu.Un liquide blanc s'écoulait alors du gland torturé.Il me pompa comme il dit pendant prés d'une heure,je devenais folle de désir, mon clit était d'une sensibilité extreme.A un moment il ne s'arreta pas..... je criais ma délivrance et je m'affaissais dans mes chaines en éjaculant violemment par convulsions successives qui me laissérent sans force.

 

J'ai cru aprés cela qu'il allait me délivrer.Mais il me dit que j'étais une bien trop belle salope pour s'arrêter de suite de me travailler. Il me promis de me reprendre plus tard et me laissa pantelante au bout de mes chaînes le sexe gonflé, douloureux de l'éjaculation violente entraînée par cette position de bondage cuisses écartées et encore parcouru de frissons qui le faisait se dresser par instant.


Il trouva mon bâillon boule et me le fixa soigneusement en soulevant mes longs cheveux puis il me mis ma cagoule de contrainte en cuir avec juste deux petits trous pour respirer. Je la connaissais pour l'avoir mise parfois mais c'était horrible de rester ainsi prisonniéres avec une respiration contrainte.Je ne pouvais plus le voir et les sons était trés sourds.

 

Il me dit qu'il voulait se reposer sans m'entendre gémir la nuit dans mes chaînes.Trois coups de fouet cinglants conclurent ces mots.Je me tordis de souffrance en gémissant dans mon bâillon et ma cagoule.J'essayait de l'implorer de la tête de me délivrer mais il ne voulut pas le comprendre.Ma longue nuit de contrainte allait commencer.


Puis content du spectacle que je lui offrais il partit dans la chambre se reposer dans mon lit .Il s'y endormi,et moi vacillante sur mes hauts talons,les fesses en feu, à moitié nue que faire?Rien car j'étais incapable de défaire mes bracelets de poignets et les heures de la nuit s'égrenèrent ainsi.Je ne pouvais pas crier pour l'appeler à cause du baillon qui me faisait sortir des sons étouffés et incompréhensibles.


DSC 02550Contrairement à ce que pensais je bandais régulièrement dans mon string de nylon qui contenait les efforts de mon sexe à se dresser.Dans la lueur de l'éclairage public qui éclairait faiblement le hall par la porte fenetre du salon dont le rideau était tiré, un piéton dans la rue pouvait me distinguer et me prendre pour une femme avec ma taille serrée dans le corset  de satin. Cette vue et cette idée m'excitaient.


Au fur et à mesure l'engourdissement me gagnait.D'abord les pieds que je bougeais un peu ,juste ce que m'autorisaient les chaînes.Puis mes cuisses se mirent à trembler de façon épisodique au bout d'une heure.Je les soulageais en me tirant le corps par les bras.Mais au bout de deux heures les forces me manquaient.Mes cuisses puis mon corps furent pris de convulsions régulières incontrôlables que je n'avais jamais connues toute seule.Le bâillon me distendait la mâchoire et m'empêchait d'appeler.J'ai du m'étourdir plusieurs fois cette nuit là  de longs moments car je reprenais conscience à chaque fois la tête penchée en avant le corps soutenu par mes bras comme l' esclave que j'étais devenue .


La position de soumission à laquelle j'étais soumise allait au delà de ce que je faisais seule car cette fois ci je ne pouvais interrompre le supplice.J'étais livrée à la volonté d'un autre.Cette idée me faisait bander réguliérement tout en me faisant horriblement souffrir des membres qui se distendaient

 

A la fin épuisée je pendais dans mes chaines soutenue seulement par les bras, les épaules me faisaient souffrir;mes jambes tremblantes ne pouvaient plus me porter.


Finalement vers sept heures il se réveilla et constata être en retard. Il me retira ma cagoule et prit le temps de me masturber.Malgré mes douleurs j'éjaculais, gémissante dans mon bâillon.Il me dit qu'il repassera dans la matinée pour me détacher.

 

Il me retira le bâillon.Je ne pus articuler des mots pour le supplier de me détacher car j'étais épuisée. Je ne pus remuer la mâchoire qu'après son départ, trop tard.Trois coups de fouet marquérent mes fesses et son départ et il partit en me regardant à nouveau me tordre et ferma la porte avec mes cles.


J'étais horrifiée à l'idée d'être ainsi abandonnée et découverte par d'autres auxquels je devrais faire appel pour me délivrer s'il ne revenait pas.Ma pensée était brouillée par mes bras et mes cuisses douloureuses.L'attente fut longue,trés longue.Je perdis à nouveau connaissance dans la matinée.


Une clé dans la porte me réveilla et me fit sursauter. Il était enfin de retour vers midi et entrepris de me détacher. D'abord les pieds,je ne tenais plus debout sur mes hauts talons.Il me soutint pour détacher les bras et me porta au lit épuisée.

 

J'ai un peu de temps et j'ai envie de jouer avec toi petite salope car je ne t'ai pas vu te tordre cette nuit.


Il alla fouiller dans mon armoire et ressortit avec des menottes métalliques pour mains et pieds reliées entre elles par des chaînes.Je compris qu'il voulait me menotter mais je n'étais pas de taille à lui résister surtout après cette nuit.


Il me mit sur le dos et fixa les menottes rapidement.J'étais entravée ,impuissante,mes mains ramenées dans le dos et reliées par chaîne aux chevilles. "Repose toi bien salope car je veux te voir souffrir,Je vais te préparer " 

 

J'ai du m'évanouir de douleurs.Je me suis réveillée car on me soulevait.Quand je reprenais conscience je me trouvais les avants bras ramenés dans le dos avec les poignets attachés croisés au niveau du cou pratiquement.

Il était en train de terminer un harnais de cordes du buste avec des cordes qui me maintenaient les bras plaqués au corps et me mettaient les seins en valeur.J'étais dans l'impossibilité de faire un mouvement.Je ne pouvais plus me défendre ni protéger mon sexe ou mes fesses.Il admira son travail."Te voila bien attachée salope,je veux te voir souffrir"

 

Il me forca à retourner dans le hall dans lequel les chaines de la nuit pendaient toujours.Il en pris une pour me mettre un collier large et m'installa pendue par le collier trés haut attaché au milieu du hall.J'étais prise au piége car je savais que l'on ne pouvait se sauver de cette position réservée à l'exposition lors de la vente des esclaves blanches.

 

Je tournait sur moi même perchée sur mes hauts talons,.Il m'avait habillé avec un ensemble de lingerie noire en dentelle,string,porte jarretelle 6 attaches et soutien gorge push up.mes longs cheveux blonds retombaient sur mes épaules.La scéne devait l'exciter car il bandait fort.Pour l'instant mes pieds étaient libres mais je savais que ce ne serait pas pour bien longtemps s'il voulait me torturer.

 

Il m'attacha les pieds et les cuisses avec des cordes et sortit un gode vibrant. Son application sur mon sexe le fit se dresser de suite. Il ne fallut pas longtemps pour qu'un nouvel orgasme monta. Il ne l'arretat pas et j'éjaculais à nouveau comme une folle en m'étranglant à moitié avec le collier qui me forçait à me tenir trés droite.

 

"Hummmm j'aime bien comme tu jouis salope. Je vais partir je te retire le collier mais je vais te mettre le monogant que j'ai trouvé dans tes affairesJe te met des chaines courtes aux pieds pour t'obliger à te dépacer lentement sur tes escarpins.je te laisse les mains attachées mais libre reliées à la chaine des chevilles Je te la raccourcis  pour t'obliger à rester à guenoux ou sur le ventre en position hogtied. Maintenant je mets les clefs dans une enveloppe à ton adresse.Tu devra aller les chercher aprés le passage du facteur dans la boite aux lettres de ton ton jardinet qui donne sur la rue . Tu devras  aller les chercher en te trainant comme une pute pour te détacher. La clé de la porte arriére de ta boite est ur la table de la cuisine. Avec la chaine ainsi raccoucie tu devras te déplacer accroupie lentement. Tu voulais etre une femme tu vas l'etre contrainte pendant un jour ou deux selon la poste.Ton attente  sera longue ma salope avant que tu te délivres.Fais attention car pour acceder à ta boite tes mains étant enchainées dans le dos tu devras de nuit trainer une chaise pour pouvoir monter dessus et de dos ouvrir la porte de la boite et saisir l'enveloppe de la délivrance.Beau spectacle pour le voisinage de te voir te contortionner ainsi avec les fesses offertes. Ne la fais pas tomber.... Je passerai en fin de semaine pour voir si tu as pu te délivrer.Sinon tu restes 1 semaine attachée"

 

soumise-suppliante.jpg La situation lui plaisait pour terminer ma soumission.Puis il partit en riant après m'avoir réajusté le mono gant, mes sous vêtements ,ma perruque et mes seins.

 

Je me traînais à guenoux jusqu'à la fenêtre et observais comment m'y prendre pour me délivrer.De jour,sauf de faire de l'exhibition ,cela était impossible.A l'évidence je devais rester enchaînée  et attendre le facteur et la nuit qui suit.


L'attente fut pénible,j'étais impatiente de récupérer ces clés d'autant que le corset me comprimait horriblement bien que j'étais habituée à le porter tous les jours ,mais cela allait faire plus de vingt quatre heurs que je souffrais .Je retournais au lit et m'endormis toute enchainée sur le ventre, je n'avais rien d'autre à faire .Je me suis réveillée vers l'aprés midi et je suis aller laper l'eau dans la gamelle qu'il m'avait laissé. J'ai mangé ensuite des croquettes comme une chienne ,je n'avais pas le choix.

Puis je suis allée au wc faire mes besoins assis comme une femme 


Vers minuit quand je jugeais l'immeuble calme et la circulation de la rue faible je me tortillais de dos pour ouvrir la porte-fenêtre.Mon sang ne fit qu'un tour car aussi je ne pouvais atteindre la poignée à cause de la chaîne courte qui reliait les menottes des mains à celles de chevilles.J'allais péniblement chercher une chaise pour l'amener prés de la fenetre et après des contorsions montais dessus pour ,de dos ,enfin manoeuvrer la poignée.Cela m'avait pris prés d'une demi heure en évitant de tomber enchaînée tout en montrant mes fesses à la fenêtre pour y arriver.

 

J'entrepris d'aller ensuite à la boite à travers le jardinet. Cela me pris prés d'une heure, tremblante de peur et de la fraicheur de la nuit pour ne pas trouver l'enveloppe attendue. Je me mis à pleurer tellement j'attendais la fin de cette soumission.Je rentrais dans l'appartement en laissant la chaise pour la prochaine nuit.Puis j'allais au lit et m'effondrais en sanglotant .J'étais enchainée comme dans mes reves les plus fous mais la réalité m'avait rattrapée et je vivais cette expérience douluoreusement.Mes bras me faisaient atrocement souffrir et j'avais peur d'un engourdissement des mains qui ne me permettrait plus de saisir la clé.

 

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Le deuxieme jour fut moins pénible ;je m'habitais à ma condition d'esclave.

Je me trainais dans l'appartement du lit à la fenetre pour surveiller le passage du facteur qui passa vers 11 h.Il avait mis une enveloppe et une émotion me gagna en me faisant mouiller comme une salope, enfin la délivrance la nuit suivante.L'attente fut longue du fauteuil au lit.

 

La deuxiéme nuit je me trainais lentement à la boite aux lettres.

Un regard et j'ouvre la porte fenêtre,je frissonne car l'air est froid en lingerie.Je me dirige vers la boite et commence à essayer de monter sur la chais.J'ouvre de dos la porte et parmi la publicité je trouve ce qui semble etre l'enveloppe tant attendue.

Je me contortionne pour descendre en évitant de tomber.

A ce moment une voiture arrive devant la porte de l'immeuble m'obligeant à me mettre à plat ventre pour ne pas etre vue.Des jeunes rentrent de boite et discutent un temps pour moi infini.La fraicheur me fait monter une envie folle d'uriner ,Je ne peux me retenir et fais mes besoins dans le string sous mon ventre en position hogtiedL'excitation de la position et la peur d'etre vue la jouissance monta et un orgasme contenu depuis plusieurs jours me traversa le corps .Je me mordis les lévres pour ne pas crier.

 

Enfin aprés un quart d'heure ils partirent et je pus me redresser toute humide de sperme et d'urine.Je déchirais de dos l'enveloppe et trovais la clé.Je commencais par les cadenas des pieds. Les contortions sur le coté pour les atteindre avec le corset me laissait le souffle court. Je devais réguliérement m'arreter pour reprendre mon souffle.Aprés une demi heure d'effort j'avais réussi à ma liberer des chaines des pieds.

 

Mais le mono gant était bien ajusté et malgré mes contortions je ne pouvais sortir mes bras.La peur m'envahis et je me demandais combien de temps j'allais ainsi rester prisonniére. C'étais un pervert .Maintenant je pouvais me déplacer debout et saisir les objets de dos avec mes mains libres mais rien de plus.....

 

 

 

 

A suivre

 

 

 

Par pamela - Publié dans : travesti
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Vendredi 1 juin 2007 5 01 /06 /Juin /2007 14:23

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FEMME DANS L'AME 

 Depuis mon enfance,j'ai toujours aimé porter d'abord des sous vêtements puis des vêtement de femme.J'étais fascinée par des situations d'héroines attachées et livrées nues à leurs bourreaux auxquelles je m'assimilais et dont la vue me portait jusqu'à la jouissance.
J'ai eu en cachette soutiens gorges,slips,strings,porte jarretelles et bas.Puis pour mieux paraitre une femme j'ai acheté des jupes,robes,hauts,perruques et haut talons afin d'avoir une petite garde robe qui m'a longtemps suivi.
Ma stature fine m'aidait à bien me faire passer pour une femme.
Aprés des évenements personnels je me suis trouvé en 1992 dans la possibilité de vivre l'essentiel de mon temps en femme.J'ai saisi cette occasion qui se présentait.
J'ai donc à partir de là soigné ma présentation,fitness et épilation intégrale avec seins silicone 90 C adhésif qui me donnait une poitrine naturelle superbe .Mes jambes étaient parfaites et je m'entrainais à marcher en hauts talons constamment à la maniére des manequins avec grace.

  Aimant le lebondage,j'ai acheté également menottes et harnais de containtes.

Comme les esclaves ,je dors dorénavent en femme chaque nuit enchainée soit écartelée sur le lit soit les mains et pieds entravés.Les premiers temps ont été difficiles mais aprés je m'y suis habituée et maintenant j'aime toujours encore cela.

Au début j'avais des bracelets métalliques reliés par des chaines pour les mains et les pieds fermant à clé.J'allais cacher la clé sur le balcon de la résidence bien en évidence de la rue et des autres fenetres des immeubles voisins à un clou afin me forcer à monter sur une chaise avec mes mains entravées dans le dos pour la récupérer le moment venu.Cela ne pouvait se faire que de nuit lorsque tout était calme et m'obligeant à rester entravée des journées entiéres ou un WE.

Puis je m'habillais en femme souvent le matin mais avec seulement des sous vetements,bas,hauts talons,perruque et bien maquillée.
Les bracelets refermés sur mes poignets et mes chevilles ,j'étais dépendante de la clé pour ma délivrance.L'attente était trés longue et durait prés de douze heures dans l'appartement car je ne pouvais pas m'exposer en plein jour en sous vetement ,d'autant que ma chaine aux pieds trés courte m'obligeait à faire des petit pas, m'exposant encore plus longtemps sur le balcon pour le parcourir.
Je l'ai faite plusieurs fois morte de peur au milieu de la nuit,me mettant accroupie lorsqu'une voiture se présentait pour ne pas etre vue en lingerie.
Puis je me suis enhardie et je suis sortie dehors en femme.Je me suis achetée un tailleur noir chic,vernis hauts talons,bas noirs tendus hauts sur les cuisses pour ne pas être trop vus sous la jupe courte et perruque coupe carrée noire avec sac et bijoux fantaisie.Dans cette tenue BCBG,bien maquillée, j'ai commencé à sortir en voiture et m'arrêter au gré de mes envies en divers lieux.D'abord pas trop loin de la voiture puis mon assurance aidant faire les rues et les magasins de Colmar et Mulhouse, ce qui me comblait .C'était excitant d'entendre le bruit des hauts talons résonner sur le bitume ou les pavés des trottoirs et avoir l'air passer entre les cuisses gainées de nylon. 
Je me suis fait draguer dans cette tenue et même arrêtée par des touristes pour des renseignements.Il est vrai que je faisais attention à mon attitude,ma façon de marcher et mes mouvements pour être la plus femme .
J'ai fait aussi l'expérience en voiture de m'arrêter en femme pour aller aux toilettes. C'est effectivement plus compliqué de trouver un petit coin adapté pour se soulager décemment sans montrer sa chatte ou ses fesses.
                                                                  
                                                                                                                   
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Ma garde robe tant en vêtement qu'en sous vêtement est importante au fil des années.

J'aime le corset et les gaines ou panty que je porte quotidiennement pour m'affiner la taille.
Ainsi sous mes vêtements masculins je suis toujours en sous vêtement féminins,gaine culotte,panty ,serre taille,string ou slip,bas avec ou sans porte jarrtelle depuis de nombreuses années pour maintenir la silhouette,de même la nuit avec des corsets style victorien trés serrés.
Je réduit ainsi ma taille à 64 cm grace au corset ou au serre taille vinyl.J' ai l'habitude de les porter trés souvent la journée et toujours la nuit serrés au maximum pour accentuer ma ligne de femme.
Le début a été dur jusqu'au serrage maximum.Puis le corps s'habitue,les organes se mettent en place et l'habitude se prend.

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Je trouve maintenant bizarre lorsque je ne suis pas en gaine ou en corset.

J'aime en porter car il donne par le serrage une taille fine.

Si je ne suis pas en corset j'ai toujours la journée sous ma robe ou jupe une gaine culotte,gaine ouverte ou gaine haute.

A part en été je porte toujpurs des bas soit avec jarretelles ou auto fixant.

 

Ma féminisation continue actuellement avec ma maitresse.
Elle m'impose désormais de dormir en sous-vetements, soutien gorge avec string,corset  satin noir trés serré avec les bas tendus sur les 8 jarretelles et longs cheveux.
Comme cela ne suffisait pas pour sentir ma condition d'esclave je dois porter des bottines ballet-boots qui me martyrisent les pieds.
Je suis de plus enchainée avec des menottes aux pieds et aux mains reliées entre elles et je porte une cagoule en cuir avec juste un petit trou au niveau de la bouche pour respirer.
Les nuits de la premiére semaine ont été horribles, mal au ventre du au serrage du corset ,aux pieds du fait de leur mise en extention et de la respiration contrainte.
Des orgasmes m'ont secouée par le fait de ce bondage,impossible de me délivrer sans ordre.
Maintenant cela fait 3 semaines et je dors mieux .Je ne sais le temps que cela durera......
J'ai pu mettre maintenant une jolie nuisette noire de chez Etam avec volants à la base façon petite robe.Elle épouse bien les formes de mon corps avec ma poitrine et ma taille serrée.
C'est trés féminin et j'adore ,ça récompense des efforts.
Je porte des hauts talons la journée (environ 10 cm) depuis de nombreuses années sans difficultés.
Dernier achat cette petite robe fleurie portée avec des hauts talons noirset dessous en lingerie noire et blanche de dentelle
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Par pamela - Publié dans : travesti
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