soumission

Vendredi 11 juillet 2014 5 11 /07 /Juil /2014 15:06

torturée palCela fait huit mois que je dispose d'une soumise désirant etre traitée en femme ,esclave domestique et sexuelle.

Je dois dire que ses progrés sont importants et ses habitudes ont changées ainsi que sa résistance.

J'ai un donjon aménagé pour les punitions et au sous sol une cellule barreaudée avec des chaines qui lui est résevée.

Repérée sur un site où elle voulait s'abandonner en esclavage je contactais le travesti trés fin et féminine comme je voulais.

Aprés quelques discussions je la rencontrais et étais séduit par sa recherche et moi de disposer à volonté d'une esclave travestie.

Elle arriva enfin un jour avec ses bagages et ses tenues féminines.

Elle signa un contrat de soumission ,esclavage et féminisation totale.

Aussitot je lui demandais de se débarrasser de ses habits masculins qu'elle brula sur le terrain.Elle était femme maintenant et à ma disposition.  

Sa féminisation et son esclavage pouvait commencer.

La premiére semaine elle fit connaissance du donjon et de ses appareils de torture puis de sa cellule.

Attachée nue au début constamment jour et nuit elle subit des tourments douloureux et de multiples orgasmes forcés qui la laissérent épuisée et trés obéissante.

Pendant 2 mois elle fut torturée sexuellement .J'aimais l'avoir en face de moi la nuit dans ma chambre écartelée sur sa croix une piéce de bois entre les cuisses pour la maintenir doulourement en place les jambes pendantes .son sexe dressé d'excitation je la masturbais réguliérement pour la voir cracher son sperme épais et raler de plaisir cabrée sur soa piéce de bois.En général elle retombait sans connaissance à la longue pendant plusieurs heures retenue par ses bras solidement fixés par des bracelets métalliques et des chaines à la poutre horizontale.

 

 

 

 

 

 

 

A suivre

Par pamela - Publié dans : soumission
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Mardi 14 septembre 2010 2 14 /09 /Sep /2010 09:40

 

 

 

 

    La pluie battait fort dans cette soirée d'été sur cette route isolée. La pluie était cependant chaude.Mes deux filles et moi étionsPam femme en cellule épuisées car on s'était perdue au cours de cette randonnée en montagne.Enfin j'aperçus les phares d'une voiture.Je me levais toute mouillée pour faire signe,mon tee shirt me collait et devait dessiner mes courbes et mes seins aux tétons dressés par la fraicheur, ma petite jupe me collait aux fesses.Le conducteur allait avoir une surprise de trouver en ce lieu trois femmes épuisées demandant du secours.

C'était en fait une camionnette conduite par une femme qui s'arrêtât aussitôt en nous voyant.

Nous ne devions pas être trop belles à voir toutes les trois avec cette pluie qui nous avait surpris et mouillées nos vêtements légers.

 

                                                                           I/ LA RENCONTRE

 

La blonde très jolie sortit aussitôt pour ouvrir les portes du véhicule.Je remarquais dans son dégagement gracieux de son siége ses jambes superbement galbées ,elle portait des hauts talons vernis noirs avec un tailleur noir trés strict mais chic dont la jupe droite courte mettait ses courbes en valeur.

"Venez ,dit-elle,j'habite avec des copines dans un château à quelques kilomètres"

Je ne demandais pas mon compte et acceptais trop heureuse de trouver de quoi nous abriter et nous changer.


Je ne savais pas que cela allait changer notre vie à moi et mes deux filles de nous retrouver prisonniéres pour les vingt années suivantes dans ce chateau.

 

Nous allions connaitre toutes les tortures réservées aux femmes.Je ne savais pas que la résistance physique d'une femme permettait de supporter les pires sévices surtout sexuels inventés par les hommes pour satifaire leurs bas instincts.


LA VENTE AUX MARCHE AUX ESCLAVES BLANCHES

 

Depuis aprés notre dressage nous avons été vendues comme esclaves depuis quelques années, moi et mes filles, dans un marché aux esclaves blanches en arabie à un maître.

pamela esclve 01Notre nouveau maitre est trés exigeant.Nous sommes continuellement enchainées jour et nuit sauf en quelques circonstances définies par notre maitre.

Les lévres de nos clitoris ont grossi ainsi que nos seins qui ont augmenté de volume pendant notre captivité à la suite de tous nos supplices et sévices sexuels.

Nous faisons toutes maintenant du 90 C.

J'étais si pudique avec mes filles avant notre captivité.

Maintenant nous n'avons plus de pudeur à la suite des traitements qui nous étaient infligés nues.

Je connais toute l'intimité de mes filles et elles aussi.Elles m'ont sucée,nettoyée ma cyprine qui coulait entre mes cuisses pendant les supplices.

Elles savent me déclencher avec mon clitoris turgescent des orgasmes foudroyants qui me raidissent le corps pour le plus grand plaisir de notre maitre.

0010aNos bras sont déformés par les monogants que nous avons portés de longues années,coudes serrés dans le dos et mains liées ensemble avec collier de soumission et souvent un baillon boule pour étouffer nos cris.

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Les corsets portés depuis des années nous ont affiné nos tailles et effacé nos ventres.

Mais au prix de douleurs infernales.Mes filles et moi nous nous tordions sur le sol de notre cellule à chaque resserrage.

 

Aucun répit ne nous a été accordé la premiére année jusqu'à ce que Pamela juge nos tailles, nos seins et nos fesses à son goût.

 

Je doit dire que le résultat a été atteint et nous étions devenues trois belles salopes. aux seins généreux et saillants avec une taille fine et des fesses rebondies.


Mon maitre aime m'attacher par les bras, spécialement retournés dans le dos, pour que je ressente comme il dit ma condition d'esclave.Je suis souvent ainsi attachée dans l'une des piéces de la vaste demeure lorsqu'il sort en ville.

C'est infernal les attentes de son retour.Je n'ai jamais pu me libérer de cette position.

Tous les jours il empale l'une d'entre nous dans la salle des tortures.Un gode de taille importante est fiché dans le sol et nous devons le satisfaire en nous mettant au dessus.Il le régle ensuite pour s'enfoncer dans nos vagins d'une vingtaine de centimétres, excluant toute possibilité de s'en dégager en levant les jambes ou s'appuyeant sur nos pauvres  bras rendus déja douloureux par cette position.Nous n'en avons jamais eu le courage.

Perchées sur nos hauts talons nous tournoyons de souffrance autour de ce pieu enfoncé dans notre corps, les bras retournés dans le dos la jounée en attendant la délivrance.

Nous ne devions surtout pas fléchir les jambes car en baissant le bassin le gode s'enfonce plus profondément  touchant le fond délicat de nos vagins.Cela déclenchait des douleurs infernales dans nos ventres.

S'il jugeait en plus que nous avions désobéi, la torture était augmentait en nous mettant un collier  à notre cou relié par chaine au sol pour nous tirer le corps paralléle au sol .Nous sortions brisées de ce supplice qui nous courbait le dos,tirait nos bras tendus vers l'arriére sans espoir de s'en dégager, tout en faisant des efforts inhumains pour éviter de s'empaler plus profondément par la fatigue imposée.La tension dans les jambes que nous devions maintenir bien droites perchées de plus sur nos hauts talons entrainait des tremblements incontrolés des muscles.

Nous hurlons de souffrance en suppliant  d'arrêter le supplice mais il attend comme Pamela souvent trés longtemps avant de nous détacher par sadisme.

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Il aime m'avoir dans le salon à sa vue et me regarder me tordre devant lui pour son plaisir dans des tenues sexy et fétichiste.

 

Quant à mes filles il les attachent souvent ensemble et elles doivent s'exciter jusqu'à lorgasme en se frottant les clitoris.

Cela dure le temps pour notre maitre de jouir en nous regardant moi  de raler de douleur dans les épaules et mes filles de se convulser dans des orgasmes à répétition.

 

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Notre vente au marché aux esclaves a rapporté une belle somme d'argent à Pamela car beaucoup voulait m'avoir avec mes filles


Il faut dire que Pamela m'avait exposée en corset serre-taille avec string, bas, soutien gorge seins nus ,hauts talons vernis noirs et baillonée écartelée par les bras à la poutre du portique.


Ma premiére fille se tordait écartelée nue pendue au bout de ses chaines,un collier lui rejetait la tête en arriére la forçant à mieux dévoiler ses seins et son sexe aux acheteurs.

 

 

 

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Mon autre fille était exposée comme les autres esclaves,en serre taille, comme moi, mais sexe nu avec armbinder.

Le raffinement constituait à offrir la vue du vagin aux acheteurs par "le pont d'amour" constitué de pinces aux grandes lévres maintenuesécartées par un bois trés ffexible.Pendue par ses cheveux elle tournoyait en vain sur elle même cambrée sur ses hauts talons pour essayer d'échapper aux douleurs de la position ainsi qu'à la tension sur les mamelons exercés par les poids.

 

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        Le "pont d'amour"diabolique ouvrant les grandes lévres pour découvrir les petites lévres et l'entrée vaginale chez l'esclave pour les acheteurs ainsi que le clitoris et l'uretre.                                                                       

 

 

 

 

   

 

Le spectacle de nos corps ainsi exposés pendant toute une journée excita beaucoup les acheteurs et les enchéres le soir montérent trés hauts à la satisfaction de Pamela.

  

 

 

 

 

                                                                                               II  LE CHATEAU

   

L'arrivée au château fut rapide.C'était un style médieval assez austére avec encore son pont levis et ses murs défensifs.

Un coup de klaxon fit s'ouvrir la lourde porte et le pont s'abaissa dans un bruit de chaines.Deux blondes,ce qu'il me sembla apparurent aussi glamour que notre conductrice.Je me demandais ce qu'elles faisait toutes là.Mais j'étais trop fatiguée  pour y répondre.Nous entrames dans la grande cour dominé par une tour qui devait etre le donjon.je me souviens avoir vu comme dans les images du moyen age des estrades,avec des portiques,des poteaux et piloris avec des chaines pendantes;j'en frissonnais.Mais Pamela notre conductrice nous rassura en disant que cela faisait parti du décor...Nous nous dirigeâmes dans une petite salle à manger et l'une des blondes nous servit une grande assiétte de soupe qui était la bienvenue .

 

Pamela nous dit qu'elle nous mènera vers nos chambres après notre repas.

 

                                                                                     III  LE REVEIL

Après je ne me souviens plus de rien mais je me réveillais avec mes deux filles dans une cellule attachées toutes les trois nues.

Dans le couloir des bruits de hauts talons,de chaînes et des cris parfois résonnaient sous les voûtes.

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Ma cadette,Isabelle,attachée,baillonnée et engodée             Mon ainée,Ursula, mains liées dans le dos.                                                                                                                       

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Moi,Florence,offerte attachée avec mon buttplug

 

J'étais offerte cuisses écartées,attachée par des cordes à une petite croix ,les bras tirés en haut et mains attachées au dessus de ma tête,bâillon boule dans la bouche et cuisses maintenues relevées par des cordes fixées aux genoux et aux chevilles aux extremités de la poutre horizontale de la croix.On m'avait mis un buttplug de bonne taille qui m'écartelait mon anus et appuyait sur mon utérus.

 

Isabelle était en face de moi, attachée de façon sadique,elle pouvait se trémousser et ramper sur le sol mais restait prisonnière de ses liens.Un bâillon lui interdisait de parler et je s'aperçut avec horreur pendant qu'elle se tordait d'impuissance au sol,qu'elle avait aussi deux godes ,un dans le vagin et l'autre dans l'anus, maintenus en place par des cordes passées à la taille .


 Ursula était elle pendue à coté de sa soeur, les poignets attachés dans le dos et reliés à une chaine fixée au plafond.Elle était perchée sur un billot de bois qui l'obligeait à rester immobile sinon elle se retrouvait pendue douloureusement par les bras retournés dans le dos.Elle avait un bandeau sur les yeux.


"Maman pitié j'ai mal,délivre moi,je t'en supplie.C'est horrible je suis nue sans défense"me disait Ursula

Je ne pouvais lui répondre que par des sons inaudibles.Je pensais que nous devions être prisonnières d'un sadique certainement et que nous ne pouvions qu'attendre ce qu'il nous réservait.

Moi qui était trés pudique comme mes deux filles j'étais affolée de notre condition.

Dans un angle obscur de la cellule j'entendis un gémissement.

Je m'aperçus de la présence d'une femme dans une cage.Elle était recroquevillée,enchaînée aux pieds et aux mains.

 

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"Oh ma pauvre vous êtes dans un château maudit.Cela fait 10 ans que je suis retenue ici avec 7 autres femmes.On est prisonnière de 4 transsexuelles qui se livrent sur nous à des sévices régulièrement et nous traitent comme des esclaves sexuelles.Mon corps est devenu d'une sensibilité extrême.Je ne savais pas que mes seins ou mon sexe me feraient réagir comme cela,c'est infernal d'être une femme ici.

  Je vous plains car la première année est très dure.Vous allez être nue ou en sous vêtements uniquement et hauts talons pour vous déplacer.Vous devrez constamment exposer vos corps avec des contraintes diaboliques.Vous les découvrirez suffisamment tôt.Vous êtes belles toutes les trois,elles vont s'occuper de vous mes pauvres.

Les cris que vous entendez sont ceux de la jeune Constance peut-être de jouissance ou de douleur.Elles la punissent depuis plusiers jours pour désobéiance."

Je ne pus répondre que par un grognement,affolée à ce qu'elle me disait;mes deux filles pleuraient en se tordant dans leurs liens.

 

                                                                          IV  LA VISITE DE PAMELA

 

La clé grinça dans la serrure et Pamela entra.Elle était vêtue d'un soutien gorge bandeau léopard qui lui faisait saillir ses beaux seins,d'une gaine ouverte assortie noir et léopard avec string noir,8 jarretelles tendaient des bas noirs couture.Elle marchait avec grace sur des escarpins à hauts talons noirs vernis qui lui faisait flotter ses longs cheveux blonds.Elle portait un fouet roulé dans la main droite et tenait en laisse de la main gauche un beau berger allemand.

"Alors mes belles vous avez passé une bonne nuit.Vous êtes maintenant mes prisonnières.J'ai toujours rêvé d'avoir une mère et ses filles.On va pouvoir faire des expériences....."dit-elle avec un sourire narquois.

J'en frissonnais et mes filles commencèrent à pleurer et supplier tandis que le chien allait de l'une à l'autre en humant nos parties génitales.

"On va déjà voir qui est la plus résistante"

Elle déplia le fouet et l'abattit avec force sur Ursula qui surprise poussa un hurlement atroce.Jamais ma fille n'avait hurler de douleur de cette façon.Je me tordais d'impuissance dans mes liens cherchant à me protéger sans résultat car mon cri fut étouffé par le baillon dans lequel j'enfonçais mes dents .Isabelle se tortillait sur le sol pour s'échapper mais le fouet lui zébra le ventre et la douleur la fit se raidir dans ses liens et elle roula sur le sol pour se calmer,ses cris étouffés par le bâillon.

"C'est bien,dit Pamela,vous criez bien,je vais vous dresser.Mais j'ai un petit problème de place dans les cachots.Une femme doit mourir,eh oui,ce sera toi Florence qui la choisira au cours du repas.Vous assisterez toutes à sa longue agonie.La dernière a mis prés de deux mois pour mourir dans des souffrances extrêmes.Je vous laisse avec Rex qui adore les femmes.Vous allez le faire bander,c'est un bon "amant" vous verrez quand il vous possédera.Vos orgasmes seront sans pareil....."

Pamela repartit avec grâce en balançant son bassin de façon languissante.Je pleurais avec mes filles impuissante et affolée de ce qui allait se passer.

Le chien tourna dans la cellule puis s'intéressa plus à moi qui était cuisses ouvertes.Il commençait à bander en me léchant le sexe.Il mordillait mon clitoris pour le faire se raidir et se gonfler.Sa queue devenait semblable à celle d'un homme.

Une fois que j'étais excitée,ma chatte bien mouillée de cyprine,il se dressa et mis ses pattes avant sur mes épaules,je sentais son souffle et bientôt sa queue à l'entrée de mon vagin.Il commença son va et vient..Mon dieu ,me dis-je,ce n'est pas possible.

Je gémis dans mon bâillon quand il s'enfonça d'un coup.Il était tellement excité que nous étions soudés par ses boules qui avaient gonflées dans mon vagin et empechaient de sortir.Je fus submergée d'un orgasme incontrôlable.

Je sentis des giclés de sperme pendant que je jouissais en continu ainsi offerte et attachée.Je perdis connaissance devant l'intensité des orgasmes.

Pamela revint au bout d'un temps infini pour me séparer de Rex.Il y eut un bruit de succion et aussitot un mélange de sperme et de cyprine s'écoula de mon sexe ouvert.J'étais épuisée.

"C'est bien,dit Pamela,il t'adore,il en tremble encore sur ses pattes"

Puis elle nous détacha en prenant la précaution de nous entraver les mains dans le dos et les pieds par des chaines reliées entre elles.Nous ne pouvions faire que des petits pas avec mes filles.Nous mettions en final les escarpins à hauts talons apportés par Pamela.

"Je vais vous faire visiter votre nouvelle demeure" nous dit-elle en riant.

 

                                                                          V  VISITE DES CELLULES

 

Elle nous fixa un collier métallique autour du cou et nous tira comme des chiennes toutes les trois hors de la cellule dans le couloir du château.

 Une quinzaine de porte s'ouvraient sur ce couloir.Des gémissements et parfois de longs cris résonnaient sous les voutes.

"Elles s'éveillent,dit pamela,elles attendent....."

Elle ouvrit une porte et on eut un mouvement de recul.

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Une  jeune femme nue était écartelée entre des poteaux devant sa cage,un baillon lui remplissait la bouche déformée.

Son corps était superbe,zébré cependant sur le ventre et haut des cuisses de traces de coups de fouet.

Elle essaya en vain de parler,des larmes de douleur coulaient sur ses joues.

"Douce nuit,n'est ce pas, Catherine"dit Pamela à la suppliciée qui l'implorait du regard de la détacher.

"Tu sauras comme cela qu'il faut m'obeir,courage encore deux nuits de punition.Tu vas avoir ton petit déjeuner avec ta maitresse"en lui montrant le seau dans lequel la pauvre avait uriné pendant la nuit."C'est bon pour le teint hah hah hah......."

La jeune femme remua la tête les yeux appeurés.

"Venez ,laissons Catherine au dressage de sa maitresse.Je vais vous montrer Sylvie qui est à la traite"

Nous n'avons pas sur le moment compris mais dans la salle suivante l'expression a pris tout son sens.

   

Enchainée sur une chaise une femme d'environ 40 ans était  nue.Des suceurs étaient prêts à être fixés sur les mamelons gonflés de ses seins opulents pour lui soutirer du lait.

"Je n'en peux plus Pamela,arrete la machine je t'en supplie,je ferai tout ce que tu voudras"

Pamela nous expliqua qu'elle voulait avoir toujours dans ses esclaves une femme qui allaitait aprés avoir donné naissance à un enfant dans une salle d'accouchement trés spéciale.

Les femmes accouchait dans la douleur pendant des heures attachées à la table,les cuisses relevées et écartées.

Aprés l'accouchement les montées de lait étaient activées par la succion des appareils.L'esclave désignée était bien nourrie pour obtenir pendant deux ans du lait maternel.Elle restait cependant toujours enchainée mais avec moins de tortures que les autres.

"Pamela haaaaaaaaaaaaaah"hurla Sylvie .

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Elle fut prise de convulsions devant nous,un gode enfoncé dans le vagin lui délivrait des décharges élestriques;chaque impulsion  automatique et aléatoire lui déclenchait ces réactions.Un orgasme incroyable lui secouait le corps mais la femme immobilisée hurlait sa jouissance et sa souffrance en même temps.

Pamela nous montra son clitoris turgescent.

Chaque allaitement était précédé ainsi par ses scéances de jouissance qui permettait de receuillir la cyprine intime pour être mélangée au lait féminin donné aux maitresses à leur déjeuner.

Nous partimes mais je ne pouvais m'empêcher de regarder cette femme attachée su cette chaise spéciale se tordre en hurlant dans des convulsions infernales lui donnant ce clitoris gonflé rouge vif et excité à l'extreme;la cyprine jaillissait  maintenant par sacccades à chaque orgasme devenu incontrolable.

"Je vais vous montrer le mur des souffrances et le présentoir à femme dans la salle suivante"dit Pamela

Elle nous indiqua une construction en bois constituée de deux poteaux hauts de 2 métres munis de rails dans lesquelles coulissaient  d'épais madriers munis pour certains de tous plus ou moins gros.Ils étaient espacés d'environ 2 métres.

 

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"J'aime cette invention"dit Pamela"On peux immobiliser un corps en passant dans les trous des parties du corps féminin.Les petits trous sont pour les poignets, les bras ou les chevilles ,le moyen pour le cou et le gros pour la taille.

"Tenez on améne Ursula qui est punie ,vous allez voir"

Ursula arriva, tenue en laisse par une maitresse, chaussée de mules à hauts talons et en nuisette noire laissant voir sa nudité et des formes superbes.

Pamela souleva les panneaux centraux.Ursula se courba et les panneaux se refermérent sur sa taille.Elle avait moitié du corps d'un coté et moitié de l'autre.Pamela souleva des panneaux supérieursen lui ramenant les bras en arriére pour les emprisonner aux niveau des coudes.Pamela termina en lui mettant  un masque à laniére équipé d'un anneau qui arondissait la bouche de la malheureuse.Elle relia ce masque à une corde qui passait sur un anneau du plafond et pour redescendre se fixer à un crochet qu'elle enfonça dans l'anus offert .En tendant la corde elle lui redressait la tête et en même temps elle cambrait ses fesses et ses seins involontairement.

La vue était excitante d'Ursula maintenue sans défense dans ce mur des souffrances.Je mouillais involontairement

La maitresse était revenue avec un fouet.Elle se plaça derriére et lui appliqua une cinglée de 5 coups qui lui marquérent de rouge ses globes fessiers bien cambrés.Ursula hurla longuement sans pratiquement pouvoir bouger si ce n'est ses mains qui se contractaient sous l'effet de la douleur.

"Partons ,dit Pamela, laissons la,sa journée sera longue.Vous entendrez ses cris aujourd'hui.Je me demande qui des filles ou de la mére sera la plus résistante,je suis impatiente de vous y voir,hah hah"

Dans un bruit de chaines nous sortimes angoissées de cette vue en nous demandant comment nous réagirons sous la douleur.

Insex---810-Pregnant6.jpg Dans la cellule voisine se trouvait Monique.La jeune femme enceinte était couchée sur le sol,nue dans des cordes qui lui maintenaient le haut du corps les bras retournés en arriére offrant sa poitrine opulente et son ventre rond à ses maitresses. annoncant une naissance prochaine.

Elle sera destinée aprés la naissance de prendre le relai de Laeticia pour donner son lait maternel à son tour.Ses seins étaient bien gonflés et laissaient supposer qu'elle produirait de bonnne quantité de lait.

 

  Les tortures de Laeticia étaient d'une cruauté extreme.Son lait était  soutiré plusieurs fois par jour dans des conditions Insex---Lactating---Slave-Girl-Tied-Up-Milked8.jpg

Insex - Lactating - Slave Girl Tied Up Milked

                       

trés dures.

Mais Pamela nous tira toutes les trois dans notre cellule pour la préparation de la journée.

"Vous allez être mises au régime pour effacer ces petits ventre.J'ai une bonne recette avec le port de corset qui vous redonnerront une taille de guêpe...."

Pam toilette de soumiseUne maitresse arriva pour la toilette avec une chaise particuliére.Elle me mis d'abord un baillon en forme d'anneau dans la bouche pour la maintenir grande ouverte.

Puis elle serra la base de chaque sein avec une cordelette .Elle fit plusieurs tours pour me les faire saillir trés durs.Puis elle me fit mettre assise en écartant les cuisses pour les fixer dans des supports qu'elle referma et me fixa les chevilles aux montants.Elle fit de même avec le cou les avants bras et les poignets ramenés dans le dos.Elle tira sur les cotés mes seins pour finir ,j'en pouvais plus je hurlais de douleur.J'étais totalement offerte nue sans défense pour la douche.

Mes filles subirent le même sort .

       

Pamela aimait les blondes aux gros seins.J'allais le savoir à mes dépens ,torturée devant mes filles ou les autres esclaves.Les pendaisons et les écartelements souvent nue était ses prélidections.

Je me suis apperçue qu'Il faut peu de choses pour immobiliser une femme,des barres aux pieds et aux mains ,une poulie sous une poutre et vous étes sans défence,soumise au fouet ou masturbée.

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                                                                             VI  LES REPAS

 

Les repas étaient pris dans la grande salle du chateau.Une table épaisse en chêne tronait au milieu avec au pourtour 10  chaises trés spéciales constituées d'un poteau d'environ1.50 m comme dossier et de deux tubes carrés écartés à angle droit avec des pietements reposant au sol.Divers anneaux étaient soudés et fixés sur les tubes et le poteau avec des sangles prêtes à fixer des corps.Le poteau disposait d'un large collier métallique qui pouvait se serrer à volonté autour du cou d'une suppliciée à l'aide d'une vis munie d'un volant.

A chaque extremité se trouvait de plus un crucifix d'un coté et une croix de saint andré mobile autour de l'autre qui attendaient leurs suppliciées.

Nous avons été effrayées mes filles et moi par cette salle lugubre,je mouillais de peur.On allait effectivement la connaitre à nos dépens au cours de ces longues années

Chaque soir était choisie une femme pour être mise en croix.

Le rituel était le même impitoyable:une fois désignée on devait se présenter nue en hauts talons parfaitement épilée,baillonnée pour le petit déjeuner du jour suivant.L'une de maitresse nous mettait alors une épaisse cagoule en latex munie de juste deux petits trous pour respirer.Nous n'avions plus aucun contact avec l'extérieur.Pamela nous poussait sur la place de notre supplice.

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La fille précédente était d'abord descendue de la croix,en général évanouie de douleur.Les maitresses nous mettaient des bracelets de cuirs aux poignets et aux chevilles et nous fixaient sur la croix.Nos pieds reposaient parfois sur des petits reposoirs pour nous permettre un appui précaire qui augmentait l'horreur de notre supplice.

Des sangles aux guenoux,à la taille,aux épaules et à la taille achevaient de maintenir notre corps pour que malgré l'épuisement nous restions bien en place.Cette position durait toute une journée et une nuit, souvent réveillée par les coups de fouet qui nous zébraient les hanches ou le ventre.Au bout d'une journée nous étions épuisées et l'évanouissement était notre salut pour quelques instants.J'ai cru mourir à chaque fois,impuissante,souffrant le martyr sans pouvoir crier ou supplier du à l'étouffement progressif lié à l'étirement des bras.

 

                                                                            V LE CHOIX

 

Une semaine aprés notre arrivée Pamela nous annonça lors d'un repas que l'une des filles devait nous céder sa cellule.

Elle précisa que j'allais tirer au sort laquelle serait choisie et mise à mort au cours de longues séances de supplices.

J'étais terrifiée et glacée de la situation; les autres filles suppliérent Pamela de ne pas réaliser ce projet.

Mais rien n'y fit.Pamela amena une boite avec tous les noms et me fit signe de tirer un nom.Je me mis à pleurer et à refuser.Pamela alla vers ma fille Isabelle qui était immobilisée sur sa chaise et commença à serrer le collier de son cou.

Elle me regarda effrayée essaya de crier mais le serrage était déja assez fort et aucun son ne sortit de sa gorge.Je devais choisir si je ne voulais pas assister à l'étranglement de ma fille.

Finalement je pris un nom dans la boite et je désignais Agnés pour ce supplice à mort, une belle brune aux longs cheveux.

Bien qu'attachée sur son siége comme nous toutes sa réaction fut violente suppliant Pamela de l'épargner.

Sur un signe les maitresses vinrent la prendre lui enlever son soutien gorge et son string mais lui laissérent ses bas jarretiére et ses escarpins à hauts talons qui lui cambraient magnifiquement ses reins.

Elle fut attachée par les poignets au dessus de sa tête à une chaine pendante du plafond pour la nuit.

arton308-copie-1.jpg Pamela lui mis un baillon boule pour étouffer ses cris et ses pleurs ainsi que des pinces avec des poids aux seins pour la préparer aux prochains supplices des semaines à venir.

Nous regardions toutes fascinées Agnés se balançer nue en tournant sur elle même  au bout de ses chaines cherchant un appui précaire perchée sur ses escarpins, la peur au ventre pour nous toutes d'etre à sa place la prochaine fois.

Agnés ,elle, savait qu'elle ne regagnerait jamais plus sa cellule,la période de ses souffrances allait commencer en nudité intégrale comme l'exigeait Pamela.

Son souhait est que Pamela lui abrége les souffrances lors de sa crucifiction.

Pamela prit un fouet et commença une flagellation de ses cuisses et remonta vers son sexe,ses fesses, son ventre et termina par les seins.De fines striures qui perlaient de sang apparaissaient sur la peau d'Agnés;ses cris étaient étouffés par le baillon mais au vu de ses réactions violentes la douleur devait être intense.

Au bout d'une vingtaine de coups de fouet Pamela l'abandonna toute pantelante,ses jambes ne la supportaient plus,seuls ses poignets la tenaient debout.

.Elle allait rester ainsi toute la nuit.

Je repartais toute frisonnante dans ma nouvelle cellule abandonnée par Agnés avec mes filles.Nous quittames la salle avec la vision d'Agnés tête rejetée en arriére,salivant abondamment ,les jambes pliées sous elle,sans force,son corps strié des traces laissées par les laniéres du fouet..

Son calvaire ne faisait que commencer et se terminerait avec sa mort plus ou moins rapide selon sa résistance à la douleur des supplices que lui préparait Pamela.

Les autre filles me dirent dans l'aprés midi que cela pouvait durer des semaines comme pour les autres suppliciées qui demandaient à la fin de les faire mourir rapidement, ne supportant plus les souffrances.

C'était horrible à voir et entendre car Pamela nous obligeait lors des repas à manger en assistant aux supplices de la condamnée sur l'estrade en bout de salle. .

 Agnés a été clouée vivante devant nous dans la salle des repas sur la croix et elle est morte aprés une semaine de souffrances extremes et une agonie lente sans que ses suppliques pour la tuer ne soient exhausées.Les autres esclaves souhaitaient sa mort rapide car le chateau résonnait de ses cris par moments inhumains.

J'étais chargé avec mes filles de donner à manger et à boire à Agnés pour lui prolonger le supplice.

Pamela par sadisme pour faire durer ses souffrances avait installé sur le poteau un reposoir incliné sur lequel les pieds ensemble étaient cloués.Mais un autre reposoir supportait deux godes de belles dimensions sur lequel Agnés s'asseyait par épuisement, s'empalant à la fois le vagin et l'anus.

Ces dispositifs diaboliques lui évitait l'étouffement trop vite.Ainsi elle tirait sur ses bras et se repoussait avec les pieds pour respirer provoquant une sortie de 10 cm des godes puis la douleur insupportable provoquée par les clous enfoncés dans ses poignets et ses pieds iradiait son corps pris de tremblement et elle retombait en s'empalant de nouveau sur les godes.

Ce va et vient provoquait réguliérement des orgasmes de douleurs et de plaisir sadomasochiste  à Agnés.Mais les jours passant Agnés avait de moins en moins de force s'étouffant progressivement.Du fait de ses repas elle urinait réguliérement de sa croix ainsi que des selles difficile à sortir du fait du gode dans l'anus augmentant ses douleurs dans le ventre.Elle les soulageait en tirant sur ses bras au début pour faire sortir les matiéres fécales car le gode avait une forme conique.A la fin elle gémissait continuellement ponctué de hurlements atroces.

Elle s'est affaissée une nuit  au bout de 10 jours de souffrance et est morte au petit matin quand je lui apportais le petit déjeuner.Je me souviendrais toujours de son regard tandis qu'elle essayait de me dire des paroles en se soulevant une derniére fois mais les forces l'ont abandonnée et elle s'est retrouvée la tête sur le coté ,bouche grande ouverte,ses longs cheveux blonds couvrant un de ses seins,le corps en avant retenue par ses bras retournés cloués en arriére sur la poutre au dessus d'elle.

 

 

                                                                VI LE SOUS SOL INTERDIT 

  

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.

     

      


                     

Le chateau possédait une annexe réservée à Pamela et aux maitresses pour pratiquer des supplices sexuels raffinés de cruauté sur les prisonniéres soit par simple motif de désobéissance ou par pur sadisme.

 

Les femmes en parlaient à demi mots en frissonnant à cette idée tant elles avaient souffert et en même temps joui dans les cachots et les salles de torture.

Tous les instruments de l'Inquisition y étaient représenéts: les croix, les piloris, les bancs d'étirement, les chevalets, les portiques, les roues, les poteaux et bien d'autres accessoires.   arton984.jpg

Toutes nous allions à l'annexe à un moment ou un autre selon les humeurs de Pamela pour des temps plus on moins longs.Parfois certaines y sont restées plusieurs années.

Le raffinement des supplices faisaient frissonner toutes les femmes tant elles souffraient tout en jouissant à l'extreme dans des jeux trés pervers.

J'y suis restée un an la premiére fois  et deux ans la seconde fois toujours avec mes deux filles car Pamela voulait savoir qui résistait le mieux aux tortures ou qui jouissait le mieux.

Mainenant nous ne pouvons plus faire l'amour normalement.J'ai besoin d'être entravée et mieux d'être torturée avant.

 fem4.jpgNous avons été écartelées entre des poteaux, pendues par les poignets et les pieds jusqu'à l'évanouissement.

Le pire était la pendaison par les pieds.Pamela aimait manger avec une de ses esclaves ainsi torturée.

Pour ne pas nous voir et étouffer nos cris elle pouvait nous mettre une cagoule fermée.

Elle jouisssait du spectacle des corps nues de ses esclaves se tordant par les pieds.

Parfois nos mains étaient enchainées et reliées à un anneau au sol pour nous empêcher de nous servir de nos bras et de détacher la cagoule.

14m.jpgParfois nos bras étaient ramanés dans le dos les poignets tirés vers la nuque,des cordes serraient nos bras et faisaient saillir nos seins.

Notre corps était ainsi mieux mis à sa disposition et son "dessert" consistait à nous masturber et provoquer des orgasmes qui nous convulsaient.

  

L'essentiel du temps dans l'annexe nous étions simplement en hauts talons et bas jarretiéres,parfois en corset sans soutien gorge ni string mais toujours nues pour les supplices .

 

 

 cruci2-copie-1.jpg Les crucifictions étaient longues et douloureuses.A l'exception des condamnées à mort,nous n'étions pas clouées vivantes sur la croix.

Des sangles en cuir reliées par des chaines nous maintenaient sur la croix.

Nous pouvions prendre appui sur les chaines des pieds pour nous soulever et soulager la tension dans les bras, facilitant la respiration.

Ces contortions de nos corps nus excitaient beaucoup nos maitresses qui se masturbaient en nous regardant

    Le supplice était accompagné souvent d'une flagellation de notre corps surtout les seins ,le ventre et le sexe.J'ai uriné d'excitation sur la croix suite à ces douleurs devant mes maitresses ce qui a provoqué des punitions supplémentaires. 

J'ai hurlé, comme mes filles qu'elles me forçaient à regarder, de douleur de ces brulures qui s'ajoutaient à celles de la crucifiction.

Indépendamment de notre volonté dans ces contortions on présentait nos seins en saillie comme notre ventre en écartant nos cuisses dans nos efforts désespérés pour respirer.

Ces séances duraient  de longues heures.Pamela voulait connaitre notre résistance à la douleur.

Personnellement j'ai résisté deux jours avant de m'évanouir tremblante de tous mes membres tétanisés; mes filles à peine une bonne journée.

J'ai jamais vu pendant mon esclavage au chateau aucune femme pouvoir s'échapper de ce supplice.On devait l'endurer selon le bon vouloir de Pamela ou des autres maitresses.

Descendue de la croix je ne pouvais pas marcher pendant plus d'une journée du fait des muscles endoloris

 

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Pamela aimait nous supplicier toutes les trois.Elle m'écartelait entre mes filles pendues par les pieds.Lors de ma flagellation en me contractant de douleur je tirais sur les corps de mes fillesce qui les faisait se balancer et acroitre leur douleur ainsi que les miennes quand le balencement des corps me distendaient encore plus.

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                                                                                       VII NOS TORTURES

 

Nous étions toutes attachées pendant notre séjour parfois dans des conditions trés dures et humiliantes.

Pamela inventait des supplices diaboliques surtout avec mes filles.

 

La table de soumission.

Elle nous mettait en catsuit de résille noire avec des balletboot .Nous avions les jambes largement écartelées bien attachées par des cordes à la table .Pour durcir la punition elle nous attachait les coudes ensemble dans le dos avec les mains tirées vers le haut forçant la suppliciée à se courber.Par sadisme elle nous mettait un baillon boule pour étouffer nos cris et par humiliation finale elle nous maintenait la tête fixée par une corde à la table rendant impossible à la suppliciée de se soulager les bras ou les jambes.

Beaucoup de suppliciées s'évanouissaient de douleur sans un mot.

Descendue de la table nous étaions emmenées dans notre cellule incapable pendant une journée de se tenir debout car les articulations étaient endolories à l'extreme.

Je ne sais comment j'ai pu supporter ces supplices pendant toutes ces longues années ainsi que mes filles dont l'adolescence et leurs jeunes vies de femme ont été cruellement marquées pour toujours par ces supplices sexuels.

 

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Pamela aimait nous travailler toujours toutes les trois ensemble.

Elle nous laissait de longues heures ainsi attachées en position hogtied ,mors dans la bouche ,têtes relevées et enchainées au mur dans l'attente de nos supllices.

 

                                                                                  VII LA PESEE

 

Le moment de la semaine que nous toutes angoissions étaient la pesée des soumises.

Dés le dimanche soir nous nous préparions car Pamela exigeait que nous soyons les plus séduisantes et sexy possible.Bain,coiffure,manucure épilation et maquillage nous occupaient longuement.

 

Infernalrestraints--09-01-16--Kali-Kane---HUMILIATION-SLUT0.jpgNous devions nous présenter nue devant Pamela,simplement perchée sur des hauts talons.Les autres maitresses nous menottaient les mains dans le dos avec des chaines aux pieds  pour sortir de nos cellules.Dans une grande salle une dizaine de chaines pendaient des voutes avec des larges colliers de cuir qui nous étaient mis trés tendus autour de nos cous.L'efficacité était terrible car nous étions toutes cambrées sur nos hauts talons pour ne pas s'étrangler. Pamela nous passaient en revue en nous palpant les seins,passant sa main entre nos cuisses pour voir l'état de notre sexe.

 

Le pire était réservé aux poney girl de Pamela qui se trouvaient dans une aile spéciale du chateau.Quand nous arrivions les jeunes débutantes étaient déja présentes sur le sol sévérement corsetées avec cagoules, baillons,sangles de cuir aux chevilles et guenoux, armbinder qui leur ramenait les bras serrés aux coudes dans le dos et balletboots.On ne connaissait pas le visage de ces femmes aux corps superbes qui gémissaient faiblement et réguliérement de douleur.Elles se tordaient en roulant sur le sol  tout en raidissant vainement leurs jambes dus à des décharges électriques aléatoires de godes certainement enfoncés dans leurs orificesInfernalrestraints---Claire-Adams---Bound-thing-022---16.12.jpg

 

Au milieu de la piéce pendait du plafond une "balance" constituée d'un crochet attaché à un ressort.

Pamela avait eu cette idée diabolique et humiliante de nous peser comme des bêtes pendue par les pieds.

Pamela prenait son temps,souvent prés de une demi heure pour le plaisir de nous voir nous tordre au bout de ce crochet et pour nous vérifier sous tous les angles,les seins palpés, les lévres du sexe écartées,le clitoris excité pour une belle saillie rouge.

Si le poids était stable nous recevions 10 coups de laniére de cuir qui nous laissaient des traces rouges plusieurs jours sur les cuisses, le ventre et les seins.Nous hurlions toutes de douleur. On se raidissait et se tordait, excitant encore plus nos maitresses.

Le pire était réservé pour celle d'entre nous qui avait grossi.D'abord elle recevait 25 coups de laniére de cuir qui la laissaient souvent inanimée aprés avoir hurlée sa douleur à l'extreme dans des contortions désespérées pour échapper à la morsure du fouet.Infernalrestraints--09-01-16--Kali-Kane---HUMILIAT-copie-2.jpg

Ensuite dépendue elle était emmenée ainsi nue le corps zébré de sillons rouges pour la pose des fers aux poignets,aux mains et au cou.

Pamela lui mettait un corset qu'elle serrait avec délice laissant la suppliciée le souffle court.

La taille ainsi étrangléE,elle lui faisait porter des hauts talons pour améliorer sa cambrure.

Reconduite dans sa cellule la chaine du cou était ensuite fixée à un anneau scellé au mur ne laissant que 2 à 3 métres de liberté pour le coucher.

 

 

 

 

 

 

Le régime ensuite était ignoble ,je l'ai subit plusieurs fois pendant ma longue captivité.J' étais nourrie au sperme de Pamela et des maitresses qui venaient à tour de role dans la cellule.

Infernalrestraints--09-01-16--Kali-Kane---HUMILIAT-copie-1.jpgJe devais les recevoir à guenoux et les masturber aves ma seule bouche,mes mains toujours enchainées dans mon dos, pour receuillir le sperme qui était ma seule nourriture.

J'arrivais au bout de plusieurs jours à attendre cette "nourriture" avec impatience tant j'avais faim.

Je masturbais bien mes geoliers car je devais tout receuillir.Avec l'expérience je sentais la montée du sperme dans leurs "clitoris"qui se raidissaient dans ma bouche.Le sang battant les verges, là je titilais rapidement l'extrémité du gland pour l'explosion finale.Trés vite j'engouffrais le clitoris en l'aspirant pour avaler les jets de sperme tout chaud.

Ma boisson était constituée de ma propre urine et de celles des autres soumises qui venaient à tour de role me satisfaire.

Je collais ma bouche à leurs sexes et elles m'envoyaient par giclées successives leurs précieux breuvages.

Souvent par sadisme ils ajoutaient à l'horreur de me pendre par les pieds avec mes chaines afin de les sucer la tête en bas.

C'était trés difficile d'avaler ainsi le sperme et je restais souillée  autour de la bouche et sur le corps jusqu'à la toilette de lendemain.

Les périodes des régles ajoutaient à l'horreur de la situation car je n'avais pas droit à des protections.

Infernalrestraints [09-01-16] Kali Kane - HUMILIAT-copie-3Pour éviter d'avoir des traces de sang dans la cellule, la journée un baillon ignoble en metal fixé au mur était enfoncé dans ma bouche m'obligeant à rester collée au mur de la cellule mains et pieds enchainés.

Les geoliers pouvaient m'attacher l'une des jambes latéralement pour mieux me pénétrer si l'envie leur en prenait....ou voir mon sang s'écouler.

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La nuit les geoliers m' enchainaient les pieds et les mains dans le dos dans un lit en forme de bac métallique afin de laisser le sang s'écouler.

 

La tête était prise dans un collier rigide interdisant tout mouvement.Il était réglable soit au niveau du lit la nuit, soit pour" l'alimentation" le matin à 80 cm de haut pour sucer le "clitoris" de Pamela ou des autres en guise de petit déjeuner.

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Le régime était terrible.Les femmes perdaient vite des kilos. Car le sperme n'apportait pas beaucoup de calories.Avec cela les souffrances réguliéres et le port du corset trés serré pour éviter d'avoir faim contribuaient à la perte rapide de poids attendue.

Pamela savait déclencher mes orgasmes rapidement comme pour mes filles .Cuisses écartelées une masturbation de mon clitoris m'amenait à l'orgasme que je ne pouvais controler.

J'étais prise de convultions tout le temps de l'excitation de mon clitoris qui pouvait durer trés longtemps au gout de Pamela.Elle me laissait inconsciente dans mes chaines aprés sa satisfaction de m'avoir entendue hurler et vue me tordre de jouissance devant elle.

Je restais haletante de longues heures avec des soubresauts périodiques de mon corps ainsi excité, la cyprine de mon sexe palpitant s'écoulant le long de mes cuisses.

 

                                                                                          LES PONEY GIRL

Dans le batiment des écuries se trouvaient les poney girl de Pamela et des autres maitresses.

Elles étaient choises parmi les plus belles filles de la région enlevées souvent  dés leurs plus jeunes ages, vers 18/20 ans.

Une dizaine de filles étaient logées dans ces écuries constituées de boxes juxtaposés constitués de grilles qui ne permettaient ancune intimité.

Pamela m'y a entrainée un jour.

J'ai été réveillée de bonne heure pour être préparée pour cette visite.

Aprés mon bain,maquillée et coiffée, Pamela m'apporta bas noirs ,porte jarretelles 12 jarretelles trés fétichiste et vernis noirs hauts talons à brides.J'étais surprise de ne pas avoir de soutien gorge et de string.Pamela m'a répondu que là où j'allais je n'en avais pas besoin. Mon sexe était lisse bien épilée depuis la veille, les gosses lévres bien gonflées et les petites lévres rosées et huilées comme pour les sorties.Mes seins étaient percés par deux anneaux soudés au niveau des mamelons bruns et saillants.

Puis je fus enchainée par des bracelets et chaines chromés,ceinture ajustée à la taille d'où partait deux courtes chaines pour les bracelets des poignets pour m'empêcher de toucher mon sexe ou mes seins,collier avec attache pour laisse et bracelets des chevilles reliés par une courte chaine entre eux.

Ainsi attachée et les attaches verrouillées je ne pouvais pas me sauver.

J'essayais de suivre le mieux possible Pamela qui m'avait mise une laisse mais la chaine des pieds assez courte m'empêchait de faire des grands pas.

Je marchais comme une esclave tête baissée et voyais mes seins se balancer à chaque pas.L'air frais du matin me faisait frissonner.

Je n'allais pas oublier la visite que j'allais faire ce jour là

Pamela m'expliqua en chemin que toutes les filles dont certaines étaient là depuis plus de vingt ans vivaient pratiquement nues. Elles portaient des hauts talons et suivant les cas pouvaient avoir droit à des bas et strings.Les soutien gorges étaient interdits.

Les plus anciennes avaient droit à être habillée en certaines circonstances.

Le régime était strict: nudité intégrale pendant plusieurs années et port de chaines la journée.

La nuit les femmes étaient attachées dans des positions offrant à la vue de leurs gardiennes leur sexe.

Entrainement physique chaque jour à tirer une maitresse dans un sulky à une ou plusieurs toujours en hauts talons ou cuissades.

Pamela poussa une lourde grille du mur d'enceinte et on pris une allée qui menait aux batiment des écuries.Je frissonnait en voyant des rangées de poteaux équipés d'anneaux et de croix qui étaient certainement destinés aux filles pour les punitions ou les soirées de bondage offertes à des initiés qui venaient admirer les corps de femmes se tordant de souffrance dans des supplices décidés par Pamela.

Des manéges étaient installés composés d'un poteau vertical central sur lequel était fixé un long tube d'où pendait une chaine avec un collier. Les filles, mains liées dans le dos, font de l'exercice en tournant en cercle.

On entra dans le batiment de forme circulaire.La vue me fit mouiller à l'entre jambe.

Au centre se trouvait une salle digne de l'inquisition avec chaines pendant du plafond, chevalet , croix ,...

Une dizaine d'alcoves en pierre donnaient par des grilles sur cet espace central dans lesquelles je devinais maintenant dans la pénombre des formes de femmes nues enchainées.

Certaines étaient attachées à des poteaux,d'autres étaient au sol en hogtied reliées par un collier à un anneau scellé au sol, écartelées sur une croix de saint andré ou à guenoux dans une position ignoble.

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 Certaines avaient  un bandeau sur les yeux pour la nuit et/ou un baillon boule dans la bouche qui les faisaient abondamment saliver. Des femmes pendaient inertes au bout de leurs chaines.

Pamela m'expliqua qu'elles venaient de passer la nuit ainsi et attendaient leur réveil.

Catherine avait été attachée au poteau hier soir et savait qu'elle allait etre flagellée ce matin pour désobeissance les maitresses lui ayant relevées les jambes pour atteidre plus facilement son sexe et la masturber.

Clara, une belle blonde, était restée à guenoux pour la nuit en ballet boots avec un harnais de torse en cordes les cuisses maintenues au sol à méditer car elle avait perdu à la course de sulky hier.Elle est secouée de tremblements car elle a un oeuf vibrant dans le vagin qui la fais jouir réguliérement oute la nuit. Par sadisme elle est obligée de rester droite car sinon ses mamelons attachés par leurs anneaux au poteau sont torturer en étirement si elle redresse la tête. Cette aprés midi elle sera épuisée mais trés docile dit Pamela

"Je vais te montrer une séance de dresssage et de tortures des poney girl,dit Pamela."

Sur ordre l'une des maitresses alla chercher Diane,esclave au chateau depuis plus de dix ans.

J'entendis une lourde porte grincer puis des bruits de chaines et des cris. Diane suppliait de ne pas la torturer à nouveau.

Je vis arriver une superbe femme aux jambes fuselées en escarpins vernis à hauts talons,enchainées aux pieds et les mains ramenées et tirées trés haut dans le dos attachées à une courte chaine descendant d'un lourd collier métallique.Elle avait été enlevée à vingt ans en allant à une discothéque une nuit il y a prés de vingt ans.Depuis elle avait connu la captivité des femmes du chateau. Elle avait été rendue addict au sexe par des séances de bondage sexuels dans lesquels des orgasmes forcés l'avaient rendue folles.Pour ne pas se masturber les maitresses ui attachent toujours les mains dans le dos jour et nuit pour controler sa sexualité.Les périodes d'abstinance étaient mal vécues et suppliait les gardiennes de la soulager même au prix de tortures sur les appareils de l'inquisition.

Une jeune fille en lingerie, Emilie, la suivait en pleurant. Elle était en fait sa propre fille née en captivité.Elle avait connu toujours sa mère pratiquement nue et dés son plus jeune age avait participé aux traitements de soumission des femmes de l'écurie et surtout de sa mère.

Diane l'avait allaitée pendant plusieurs années contribuant à lui faire une superbe poitrine bien dressée.Maintenant Emilie participait aux supplices de sa mère et savait la faire jouir sans retenue.Diane se cabrait dans ses liens mais Emilie savait comme aucune autre dégager le clitoris de sa gaine pour le faire grossir avec sa langue et ses petits doigts. Les jouissances de Diane était intense et sans limite de cette façon.

Emilie prenait plaisir maintenant à faire se contracter sa mère attachée à un poteau sans défense et la faire hurler de plaisir et de souffrance comme les maitresses lui avaient enseignée.

 

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Diane était complétement suspendue au poteau,les pieds ramenés avec les mains à l'arriére.

Elle offrit ainsi sa poitrine et son sexe à sa propre fille sur les ordres des lmaitresses.

Ses hurlements étaient étouffés par le baillon boule.Mais les soubresauts de son corps et les contractions des muscles de ses cuisses maintenues écartées traduisaient sa souffrance entre des orgasmes fulgurants qui la laissaient plusieurs minutes sans réactions avant que l'excitation et la douleur la réveille pour un nouvel orgasme qui n'en finissait pas.

Les orgasmes forcés étaient pratiqués constamment dans cette partie du chateau rendant les femmes folles de sexe au bout de quelques semaines, surtout pour les jeunes nouvelles. 

 

 

 

 

 

 

 

  Un groupe de quatre femmes parées d'un gode dans l'anus avec une queue de cheval,de hauts talons et bas noirs était avancé dans l'allée.Les maitresses leur mirent un harnais de tête avec mors dans la bouche qui les faisait baver.

Un gant de cuir pour finir leur emprisonna leurs bras dans le dos fixé par des lanières croisées sur la poitrine pour leur mettre en valeur leurs seins percés d'anneaux. Les cordons du gant furent serrés de façon à faire se toucher les coudes.Deux courroies complétèrent l'immobilisation des bras et les poignets des femmes qui poussèrent un gémissement de douleur étouffé par le mors quand les courroies se fermèrent.

Dans l'attente les femmes furent poussées sous une poutre d'où pendaient quatre chaines avec de larges colliers.Les maitresses les attachérent très serrés à leurs cous pour les forcer à rester bien droites sur leurs hauts talons. Pamela me dit qu'elles resteraient ainsi plusieurs heures avant d’être attelées.

 

Mais Pamela voulait me montrer particuliérement deux suppliciées qui m'attendaient.

La salle ressemblait aux autres, on y entrait par une lourde porte qui grinca de façon sinistre.La vue des deux femmes torturées me glaca le sang.J'en mouillait mon string de façon importante de peur et d'excitation aussi.

Une lourde roue équipée de chaines et bracelets de cuir épais pendants était fixée sur le mur,effrayante, articulée en son moyeu destinée à écarteler et retourner les corps.

Dans deux cages métalliques on pouvait voir les corps de femmes nues en attente de leurs supplices.Deux autres soumises nues arriverent à leur tour derriére nous pour servir d'aide.

Pamela m'expliqua que ce mois ci c'était au tour de l'une des deux soeurs d'etre soumises au fouet, comme toutes les pensionnaires de l'écurie.

La particularité était que l'une d'elle serait le bourreau de l'autre par un tirage au sort. Celle désignée devait appliquer de façon sévére le fouet sur sa soeur sous peine d'etre envoyée au cachot pendant 1 mois.

L'ainée gémissait dans sa cage étroite recroquevillée depuis la veille au soir. Elle avait une barre passée passée derriére ses bras dans le dos,ses poignets enchainés aux chevilles la laissaient reposer sur ses guenoux douloureusement. Elle leva douloureusement la tête et regarda Pamela, ses yeux la suppliant d'arreter son supplice. L'effort avait été trop grand et sa tête retomba sur le fond de la cage,salivant sans un mot dans son baillon boule.

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Sa soeur cadette était simplement enchainée les bras attachés dans le dos aux coudes et les poignets reliés aux chevilles, ce qui lui permettait de se reposer sur le coté dans sa cage.

Pamela ordonna de sortir la soeur ainée de sa cage et de la lui présenter.

Les deux soumises aussitot ouvrirent la cage, la sortirent et la préparérent pour une présentation à Pamela.

Elles lui laissérent la barre de maintien des bras dans le dos aprés lui avoir resserer les liens et lui tirerent la tete en arriéere en attachant ses longs cheveux à la barre dans l'attente du choix.

La position de soumise à guenoux sans défence était exemplaire et j'en mouillait mon entrejambe.

Elles sortirent l'autre soeur et elles attendirent ainsi attachées le tirage au sort décidée par Pamela.

 

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Le tirage au sort désigna la soeur ainée pour subir le fouet. Elle fondit en larmes à la sentence,tandis que sa soeur cadette était détachée.

Les deux soumises la prirent ,lui otérent les cordes qui l'emprisonnaient sur la barre et la porterent vers la croix de saint andré. Elle n'avait plus de force déja.

Les bracelets de cuir lui emprisonnérent rapidement les chevilles, les guenoux,les coudes et les poignets.Un autre lui fut passé à la taille pour mieux etre plaquée sur la croix.

Son supplice allait pouvoir commencer sous les yeux de Pamela qui allait compter les 30 coups de fouet qu'elle devait subir,

 

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  15 coups de fouet sur le dos et 15 coups de fouet sur le devant, les plus terribles pour terminer car elle allait offrir ses seins et son sexe.

Pendant ce temps la cadette fut détachée. Elle eut du mal à se redresser tant la cage pendant la nuit l'avait laissée sans force. Mais elle se remis sur pieds et alla nue chercher le fouet pour flageller sa soeur.

Les coups de fouet furent sévérement appliqués par sa soeur car elles savaient que si elles ne pratiquaient pas le supplice correctement elles étaient mises aux fers dans le chateau dans des fosses horribles.

La soeur ainée hurla longtemps aprés la fin du supplice tellement le fouet lui avait mordu la chair du dos, ses parties intimes et ses seins surtout ses mamelons saignants.

 

 

 

 

 

  Pamela satisfaite laissa les gardes s'occuper des suppliciées.Les soeurs étaient au chateau depuis de longues années et n'avaient plus la force de s'en échapper. Elles avaient vu les tortures infligées aux filles qui avaient essayé. Elles étaient mortes aprés des mois de souffrances devant toutes les femmes à titre d'exemple.

 

Puis on se diriga dans une galerie du chateau appelée le présentoir des femmes.

L'humiliation des femmes esclaves étaient à son paroxisme.Trois appareils constitués d'un U renversé en gros tubes métalliques étaient alignés et  semblaient anodins à voir. On supposait avec les chaines fixés au sol et les courroies de cuir qu'elles servaient à attacher les corps.

Pamela appela une gardienne pour qu'elle m'y attache.Je compris vite l'horreur de la position simple mais efficace. Je fus mise de dos sur le U et mon buste rejeté en arriére avec les jambes pendantes.Les gardiennes attachérent rapidement mes poignets tirés écartelés , de même pour les jambes.J'avais la tête pendante incapable de voir mon sexe. Mais pour mieux immobiliser une chaine fut fixée à mon collier pour me tenir la tête rejeté en arriére

J'étais incapble de voir le supplicece qul'on me préparait .J'avais les cuisses complétement ouvertes et les seins offerts.

Le premier coup de fouet sur mon ventre me fis hurler sans pouvoir bouger..Les autres coups atteignirrent mes lévres et mon clitoris..La douleur devint horrible quand mes seins furent zébrés d'un dernier coup de fouet qui me laissa pentelante.

Toute à mon supplice je ne vis pas dans la pénombre devant moi un corps supplicié d'une transexuelle trés belle. Elle était écartelée pendante nue au bout de ses chaines ,ses longs cheveux blonds couvraient son visage, elle gémissait faiblement Je voyais son sexe d'homme bien gonflé avec ses seins de toute beauté.. Le spectacle m'excitat et involontairement je mouillais malgré mes souffrances dues au fouet.

Pamela dit de me laisser là la matinée.Je pus au bout d'une heure parler avec Isabelle ,prénom de cette transexuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 A suivre

Par pamela - Publié dans : soumission
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Jeudi 15 avril 2010 4 15 /04 /Avr /2010 10:10

Différents supplices et contraintes peuvent être appliqués à une femme soumise en esclavage.

J'ai subis nombre de ces supplices et contraintes au cours de mes dressages en femme dans des jouissances incontrolées et des souffrances aussi.

Le plaisir doit être partagé , l'esclave jouira  selon une fréquence et une durée décidées par le maître

Il est toujours excitant de voir les orgasmes succéssifs d'une femme attachée qui se convulse dans ses liens et que l'on peut prolonger jusqu'à l'extase au milieu de ses cris.

 

 

Les régles de soumission de l'esclave

 

-L'esclave sera dressée pendant un temps soit fixé d'avance ou plus excitant tiré au sort par elle de 1 semaine à 1 an.

-L'esclave aura toujours les yeux baissés

-L'esclave subira sans constestation toutes les décisions de son maître

-L'esclave ne croisera jamais les jambes,elle sera toujours offerte sans pilosité

-L'esclave sera toujours respectueuse envers son maître

-L'esclave subira les punitions et supplices décidés par son maître

-L'esclave se consacrera au bien être de son maître

-L'esclave sera toujours entravée par des chaines ou des cordes, jour et nuit.Le maître procédera à sa toilette  compléte chaque jour,n'ayant pas l'usage de ses mains.De même pour manger où elle disposera d'une gamelle comme une chienne

-L'esclave sera toujours vêtu selon les désirs de son maître,nue au début (1 semaine mini) mais avec hauts talons et bas jarretiéres et ensuite en sous vêtements(1 à plusieurs mois)pour lui faire comprendre sa condition d'esclave et ensuite en tenue sexy et/ou glamour.Les nuits l'esclave est toujours nue voire en corset.

-L'esclave ne devra jamais mentir sous peine de supplices sévéres

-L'esclave acceptera d'être louée ou prétée à quiconque qui en disposera à sa guise

-L'esclave ne refusera jamais l'accés à son corps.Elle portera un butplug toujours dans l'anus.

-L'eclave remerciera son maître de toutes ses punitions ou supplices

-L'esclave sera attachée nue,recroquevillée,chevilles attachées aux mains pendant la durée de ses régles pour en permettre l'écoulement,sans serviette hygiénique.

-L'esclave sera masturbée chaque jour une ou plusieurs fois jusqu'à sa jouissance lors de ses supplices ou selon les désirs du maître de façon à la rendre à son mari ou amant dépendante de sa masturbation pour jouir aprés son départ du donjon..

-L'esclave aura toujours ses orifices (anus et vagin) remplis par des godes,boules de geisha ou butt plug.

 

Pour le retour à la maison le mari,l'amant ou le maitre devra lors de ses absences lui faire comprendre sa condition d'esclave.

Une position trés pratique  consiste à faire pendre une chaine du plafond à laquelle est fixé un large collier de cuir à cadenas.

Fermer le collier sur le cou de la femme en la forçant à être bien droite puis soit lui menotter les mains dans le dos ou les maintenir de chaque coté de la taille par des bracelets cuir pris dans une chaine serrée autour de la taille avec les coudes reliés dans le dos.Ceci a pour avantage de dégager le dos et l'avant pour des punitions.

Les chevilles peuvent de plus être enchainées ensemble, croiséespour rendre instable la position droite de la suppliciée qui doit se retenir avec son collier ou maintenues écartelées sur une barre d'écartement pour des punitions plus sévéres surtout en hauts talons ou plus dur en ballet boots.

La femme est trés résistante à la douleur, elle crie et hurle mais elle supporte des sévices sévéres jusquà l'évanouissement.

La femme peut etre habillée en sous vêtements ou nue ,dans une piéce cachot ou devant une fenetre pour l'humilier.

Elle ne peut se défaire de cette position qui était réservée aux esclaves pour la vente ou les punitions dans les harems.

 

J'ai souvent été mise dans cette position pantelante en sous vetement sur mes hauts talons à attendre le bon vouloir ou le retour de mon maitre,souvent gémissante aprés une flagellation et/ou une masturbation bi-quotidienne.

 

Le matériel

 

Cordes de différentes longueurs                                                                 0010a                                                             BYEyZEBmkKGrHgoH-DoEjlLluCsSBKfspMGPQ 12

Chaînes

Bracelets cuir sécurisés pour cou ,poignets et chevilles

Cagoule cuir avec fermetures complétes pour isolement

Baillon boule,baillon anneau

Barres d'écartement de differentes longueurs

Ballet boots

Godes,butt plug et crochet d'anus

Menottes métalliques sécurisées fermant à clé pour poignets et chevilles                             fet%20(19) edited

Bracelets pour suspension par poignets et chevilles

Carcan pieds mains,carcan tête poignets

Local avec portique,poteau,croix,chaises....

Ensemble de contrainte dorsale avec collier et menottes cuir

Matériel spécifique tels banc d'étirement,chevalet 

Pinces,écarteur vaginal

Ruban adhésif

Un ciseau pour les cas d'urgence

 

Le dressage de l'esclave

 

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 Préparation de l'esclave au portique avant d'autres supplices.


Lui maintenir d'abord les bras attachés dans le dos soit liés aux coudes et poignets soit dans un "armbinder" trés efficace,puis attacher les chevilles et les cuisses ensemble.

Lui mettre un baillon boule dans la bouche et un collier de cuir large.

Fixer une chaîne à la taille qui est fixée sur le ventre ,le reste de la chaine passe entre les cuisses et est attachée trés haut au montant du portique pour obliger l'esclave à se tenir droite sur ses jambes sous peine de s'enfoncer la chaine dans son sexe.

Ensuite attacher une autre chaine au collier en partie basse de l'autre montant du portique en la réglant pour que l'esclave soit courbée.

La laisser plusieurs heures dans cette position inconfortable en gémissant,salivant comme une salope.On peut si elle gémit de trop la fouetter pour la préparer et la calmer.Un corset bien serré est souhaitable avec godes lui fera comprendre sa condition d'esclave.Ce supplice devient douloureux à la longue et il n'est pas rare de voir l'esclave prise de tremblements dans les jambes et s'enfoncer profondement la chaine dans son sexe pour pouvoir relever un peu la tête.Une soumise dans cette position ne peut pas se liberer.

 

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Contrainte au sol à utiliser de jour et/ou de nuit

 

Pour le dressagede l'esclave la contrainte tendant à l'immobiliser est efficace pour lui rappeller sa condition ou la punir.

Le monogant est redoutable pour cela,toutes les femmes le craignent car il est impossible de s'en dégager.

Il doit être bien ajusté et bloqué par des sangles au dessus et en dessous des seins ainsi qu'à la taille,completé par une sangle passée au dessus des guenoux  pour bloquer les cuisses.

Une chaîne passée dans l'anneau de l'extremité du gant est à passer entre les cuisses sur le sexe et à fixer à l'avant sur le ventre de la suppliciée à sa ceinture de taille.On peut sangler de plus les poignets par sévérité.

Il est à completer pour plus de rigueur par un baillon boule avec une cagoule compléte pour la nuit,.Dans ce cas les chevilles seront attachées croisées pour que l'esclave ne puisse se mettre debout.

Avec la cagoule vérifier que l'esclave respire bien,écouter l'air siffler par les deux trous car avec le baillon elle ne peut pas crier,cela ajoute à sa condition de dépendance.

Une masturbation réguliére la maintiendra éveillée elle vous donnera le plaisir de l'entendre gémir et se recroviller ou trembler à chaque orgasme.

Un catsuit avec corset complet ou serre taille et string agrémentera la vue de l'esclave à vos pieds dans le salon ou au pied du lit.

Le maitre aura le plaisir de voir sa soumise se tordre sur les sol sans un mot.

A la délivrance la femme est incapable de se redresser seule car ce supplice est dur.Aprés lui avoir retirer cette contrainte lui mettre cependant ses chaines d'esclave au cou,poignets et chevilles et lui laisser le temps de reprendre ses esprits sur le sol.

Si cela dure trop logtemps une bonne flagelation des fesses ,des seins ou du sexe remettra sur pieds votre soumise.

Idéal pour la maison, la femme est attachée la journée pendant le travail du maitre qui sait que son esclave l'attend en se tordant sur le sol de la maison,possible d'être exposée par la fenetre de l'appartement

 

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Hogtied au sol

L'esclave peut rester longtemps dans cette position.Lui croiser les bras dans le dos pris dans un harnais de corde aurour des seins,puis lui attacher les chevilles aux cuisses en sécurisant les liens derriére les guenoux pour éviter qu'ils ne glissent.Vous pouvez vous absenter en laissant votre esclave se tordre sur le sol sans pouvoir se détacher.Vous la retrouvez dans une piéce de l'appartement.Personnellement j'avais un caniche qui adorait laper les sexes pour faire jouir.C'était infernal il ne s'arrêtait pas,je retrouvais ma femme secouée des spasmes successifs de la journée car elle ne pouvait se soustraire.

 

 

 

 

 

Pam 351 au piquetContrainte au piquet simple

A utiliser réguliérement entre des supplices.

Piquet aussi pour manger,l'esclave ouvre la bouche à son maître

Les mains sont attachées dans le dos et tirées en haut par chaine reliée au collier

Les chevilles peuvent être enchaînées au sol

Pour le maintien dans la position soit lier les cuisses aux chevilles ou relier au sol par chaîne les mains afin d'éviter que la soumise se redresse

 

 

 

 

 

 

 

Contrainte au piquet sévére Pam-370-exposee.jpg

Plus sévére avec les mains enchainées à la base du poteau etles avnt bras fixés à la ceinture cuir ou métal de la taille.

La soumise est incapable de se lever et reste bien assise en chienne pour son maître

Une torture des seins peut être appliquée,soit le fouet,un gode compléte souvent cette position pour travailler les intestins ou le sexe

Avec un écarteur de bouche et les cheveux tirés en arriére attachés à une corde relié à un crochet enfoncé dans l'anus la soumise présente sa bouche à toute les fellations

 

 

 

 

 

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La présentation

La soumise en sous vêtement,corset,seins nus porte des ballet boots pour sa condition d'esclave.

Lui attacher les mains ensemble et lier les coudes aux cuisses pour lui faire présenter ses fesses et son sexe

Passer une barre d'écartement aux pieds et relier les pinces des grandes lévres vaginales aux talons des ballet boots.La soumise présente ainsi son vagin ouvert avec son clitioris à la vue de tous.

Elle peut être exposée pour une réception aux invités

 

 

 

 

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Autre vue de derriére

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La suspension de l'esclave

Ce supplice peut être trés dur selon la durée et la façon d'être attachée

Différentes suspensions peuvent être pratiquées pour que l'esclave présente son corps sans défense.La femme peut être habillée,en sous-vêtements ou nue selon l' humeur du maître

 

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Pendaison d'une esclave par les pieds ,nue,cuisses écartées,mains attachées dans le dos qui peuvent être maintenues à la taille par une corde pour le fouet des fesses,collier de soumission,bandeau ,baillon boule et gode peuvent être ajoutéspour ce supplice.

Une bougie peut être plantée dans le vagin pour servir que l'esclave serve de chandelle.La suppliciée réagit en longs gémissements lorsque la cire coule sur son sexe et l'anus et que la flamme s'approche de ses cuisses sur la fin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pendaison tête en bas

 

La suppliciée présente ses fesses avec ses orifices à son maitre.La suspension peut durer car le poids de la soumise

repose sur sa taille.Les cuisses sont attachées recroquevillées aux avant bras qui sont serrés ensemble dans le dos.Les mains sont attachées ensemble et maintenues à  la taille.Les chevilles sont attachées ensemble et maintenues à la corde de suspension.Une soumise est incapable de se liberer seule du fait de son propre poids qui bloque les noeuds.Le fouet ,la masturbation,la torture des seins,l'accés au vagin et à l'anus ainsi que la fellation ou pénétration peuvent être réalisés.

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Pendaison par les seins

 

Supplice horrible pour une femme car la douleur l'empêche de se délivrer.En général la suppliciée est nue,mains et chevilles attachées.Elle peut être en plus fouettée.Les cris deviennent intenses lorsque les seins se gonflent et bleuissent.

 

Pam 423 pendue par seins               Pam 424 pendue par seins                                                    

 

 

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 Une autre forme de suspension par les seins.

La suppliciéea les chevilles attachées aux hauts des cuisses,les mains sont ramenées dans le dos et maintenues tirées par le haut par un harnais en corde et reliées à la taille.

les seins sont attachés à leur base bien serrés pour les faire saillir et attachés au plafond ou à une poutre au dessus de la suppliciée.Celle ci repose sur ses guenoux et se tient en équilibre par des tractions sur ses seins.Un baillon est utile pour les cris qu'elle pousse rapidement dans cette position douloureuse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendaison

La pendaison d'une suppliciée peut être lente suivant la position de la corde autour de la tête.Ceci est bien entendu à éviter et à réserver à des spécialistes compte tenu du danger.

La femme mouille énormément ,les lévres du sexe gonflent et deviennent rouges,elle urine pendant son supplice.

Dans la réalité cela peut durer de  15 minutes à 30 minutes avec des orgasmes successifs.

La femme s'agite énormément,bras et jambes à la recherche d'un appui au milieu de râles à la recherche de l'air.

De façon classique les mains sont liées dans le dos,mais aussi les coudes ,les pieds et les genoux pour ceux qui ne veulent voir que les contractions souvent violentes de la femme.

Celle-ci peut être habillée ou mise partiellement voire complétement nue.

Les bourreaux peuvent la monter et la descendre réguliére la suppliciée pour lui faire reprendre de l'air afin de faire durer la torture de longues heures.

Ce spectacle était courant au 17é et 18é siécle et trés prisé des dames surtout qui assistait à l'agonie qu'elles souhaitaient longues de belles jeunes voleuses nues et voir leurs corps attachés se convulser dans des orgasmes violents.

 

On peut pendre la suppliciée comme sur la photo,bras et coude attachés dans le dos avec la corde de suspension attachée aux coudes et aux mains et ensuite passée entre les jambes et nouée autour du cou.Cette position douloureuse coupe le sexe et l'anus,la femme se retenant par le cou pour soulager ses bras.


 

Pam-500-pendaison-copie-1.jpg   Photo  gauche                                  

 

Mains liées dans le dos

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Photo gauche

Mains liées dans le dos

 

 

 

 

Photo droite

Mains et chevilles enchainées et reliées entre elles par chaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pendaison par les pieds


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La crucifiction                                                                   

 

La croix de saint andré

Elle permet d'exposer le corps de la femme aux supplices.Bien l'attacher aux membres,bondage des seins

et godes possibles,baillon en corde attaché à la poutre pour maintenir la tête bien droite et empêcher de voir en bas

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Pam 250 croix-copie-1 Le plus horrible est ,pour la femme, le supplice de la croix de saint andré la tête en bas.

L'offrande de son corps sans défence est totale

Bien attacher les membres de la  suppliciée pour du'elle ne bouge pas.

Un gode peut être enfoncé dans l'anus pour la remplir.Le maitre a sa disposition le clitoris et les seins pour faire réagir la suppliciée.

L'excitation est souvent violente,contractions,cris ,hurlements pendant l'orgasme incontrolable.

La femme excitée à l'extreme peut perdre connaissance au bout d'une demi heure du fait de l'intensité des réactions du vagin et des seins. 

 

 

 

 

 

 


La petite crucifiction

 

La croix est de petite taille de façon à ce que la suppliciée soit à guenoux.L'offrande est totale pour la torture des seins et du sexe

Pam 409 petite crucifiction

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Autre variante du supplice

Cuisses ouvertes attachées à la barre horizontale ,tête dans le vide et baillonnée

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Bras attachés derriére la barre horizontale, harnais de corde pour le tronc ,cuiises attachées écatelées et baillon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les entraves de l'esclave

 

 Pendant une soumission l'esclave sera toujours entravée de jour et de nuit par des chaines, des barres d'écartement ou des cordes.

 

La femme peut être entravée au donjon ou dans la maison dans des vêtements tels robes ou jupes  soit en lingerie ou nue

.

La position peut être humiliante comme exposer sa poitrine ou son sexe

 

 

 

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Les supplices combinés

 

La suspension et l'écartelement

 

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Le carcan

 

C'est un supplice douloureux qui peut être combiné .On peux

-faire reposer la suppliciée sur des plots,si elle pert l'équilibre elle est pendue par le carcan le temps de reposer ses pieds;de plus le carcan peut être relié par chaines à l'anneau passé dans le clitoris,en tendant les chaînes la suppliciée doit en plus baisser la tête sinon en se redressant elle s'étire douloureusement le clitoris

-faire prendre appui sur une planche avec des pointes;pour se soulager elle remonte les pieds en se pendant au carcan

-mettre un carcan aux pieds pour lui maintenir les cuisses écartelées

La suppliciée peut être masturbée ou flagellée dans toutes ces positions


 

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Le chevalet

 

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Le chevalet représente une punition trés dure car le sexe de la soumise repose sur l'arête du chevalet;tout mouvement lui  endolorit ses lévres vaginales,son clitoris ou son anus.Un ou deux godes peuvent être posés pour augmenter  la douleurL'idéal est de l'empaler sur un gode fixé sur l'arête du chevalet permettant de bloquer le bassin.

Lui mettre un harnais de contrainte autour des épaules et ramener les avant bras bien serrés,les mains sont à attacher à la ceinture de taille.Une chaine descendue du plafond permet de maintenir la suppliciée bien droite

Ainsi elle ne peut protéger ses seins,ses  fesses ou son corps du fouet ou des pinces.

Les chevilles sont à attacher sur le chevalet .Les jambes peuvent être libres et les chevilles enchainées sous le chevalet, dans ce cas la suppliciée reste profondément empalée n'ayant pas d'appui pour s'échapper de ses tourments dans ses intestins ou son vagin.Le supplice peut être plus sévére avec l'application en plus de poids aux chevilles.Un baillon boule ou une cagoule permet d'étouffer les cris de la soumise.

 

 

    Le banc d'étirement

 

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La suppliciée est attachée aux pieds et aux mains.Le banc peut se courber pour la présentation du corps sans défence au maître.On peut travailler le sexe,l'anus et les seins,appliquer de la bougie ou des pinces.Une flagellation des seins ou du sexe est recommandée.Les réactions sont violentes car la suppliciée a la tête naturellement en arriére et se souléve péniblement pour voir son supplice.Souvent par sadisme le bourreau lui tire en arriére complétement la tête retournée en attachant ses longs cheveux au sol.La suppliciée doit être abandonnée sur l'appareil aprés son supplice car elle est souvent haletante et prise de crises de convultions dues à la douleur et à l'exitation incontrolée de son sexe surtout si ses épreues ont durées des heures.Un baillon avec une cagoule fermée est appliqué pour étouffer les cris de la soumise sur la fin de son supplice.Le maitre jugera à la violence des contractions ou des tremblements du corps de la soumise des effets de ses tortures sur cet abominable appareil de supplices qui permet d'offrir tous les orifices d'une femme à son bourreau.

 

Les expositions

 

La suppliciée est attachée enchainée sur des appareils sans défence. Elle présente son corps à son bourreau :ses seins, son sexe(clitoris,petites et grandes lévres),ses fesses...au fouet, pinces, godes ....jusqu'aux cris, souffrances ou orgasmes.Elle se tord jusqu'aux convultions pour le plaisir sadique de son bourreau. Pam-06.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une exposition simple à réaliser sous un portique ou dans le grenier d'une maison detinée à la vente d'esclaves.

 

P1020360-mod.jpgFaire pendre une chaine de dessous une poutre jusqu'au sol.

Fixer au sol ou aux pieds du portique d'exposition des anneaux avec des chaines suffisamment espacés pour maintenir la femme les cuisses écartées.

Amener la suppliciée sous la poutre et lui fixer un large collier bien serré autour du cou et relié à la caine pendante de dessous la poutre.

Puis lui écarter les jambes pour attacher ses chevilles aux bracelets de cuir fixés aux chaines du sol.

Régler le collier pour ne pas trop l'étrangler mais l'obliger à se tenir bien droite jambes tendues sur ses hauts talons.

Prendre des menottes métalliques pour mains et chevilles .Les menottes sont fixées d'abord aux chevilles,la chaine les reliant évitera l'écartelement de la suppliciée en cas d'épuisement.Un anneau en son centre est relié à la chaine pendante du plafond de façon à la tenir bien droite tendue sans trop.

Menotter les mains ensuite dans la dos et faire de même en reliant par un anneau la chaine courte des menottes à la chaine verticale pendante du plafond.

La femme est incapable de se dégager de cette position qui permet de jouer avec son sexe bien offert, grandes et petites lévres vaginales, et sa poitrine.

La femme ne peux monter les mains car la chaine est retenue à celle reliant les chevilles.Elle ne peut se protéger le sexe et les seins.Elle ne peut se dégager car le collier lui interdit de se baisser.

La position est à completer par un baillon boule et un bandeau sur les yeux ou mieux P1020363mod.jpgpar une cagoule compléte pour les plus sadiques isolant la femme complétement de la vue.

Prendre un collier bien large pour éviter un étranglement de la femme au cours de son supplice;elle vous offrira des orgasmes inoubliables bien immobilisée.

Vous verrez ses contractions du ventre et le tremblements de ses cuisses lors de chacun de ses orgasmes.

La surveiller car certaines perdent connaissance aprés plusieurs orgasmes dans cette position.Mais le collier large évite qu'elle ne se pende.

Le spectacle de la femme évanouie sans défence dans cette position est trés excitant.La réveiller au fouet ou par une nouvelle masturbation.

Vous pouvez ainsi attacher votre soumise pendant vos absences,la mettre devant une fenetre pour l'humilier ou au pied de votre lit sur le mur en face de vous pour en jouer à votre gré la nuit.

Personnellement je suis réguliérement ainsi torturée par mon maitre depuis de nombreuses années.J'ai passée des jours et nuits entirs à sa disposition offerte à tous ses caprices.

Il aime me masturber lentement m'ammener au bord de l'orgasme puis arreter lorsque mes premiéres contractions arrivent me laissant insatisfaite.puis il me reprend au bout de 10/ 15 mn ,fais de même.

je suis pompé à la fin du liquide blanc s'écoule du clit en contraction sans arriver à la jouissance attedue.Au bout de queques heures c'est l'enfer ,je e supplie d'aller jusqu'au bout me laisser jouir.Mais souvent il attends la jouenée ou la nuit entiérte avant que j'explose.Et je sais que je mérite le fouet à ce moment.Vingt cinq coups de fouet en travers de mes cuisses et mes fesses pour avoir jouit.

je suis laissée en général pentelante au bout de mes chaines plusiers heures à titre de punition.

 

Une variante est l'écartelement total en attachant les mains non plus dans les dos mais écartées à des chaines pendantes du plafond.Vous aurez ainsi accés à toutes les parties de son corps.

 

Lit  de souffrance

 

C'est le lit pour esclave sur lequel la suppliciée est attachée pour être torturée.Le barreaudage permet defixer les membres dans la position voulue.

La suppliciée offre ses seins et ses orifices à ses bourreaux.La tête de la suppliciée est souvent rejetée en arriére avec un baillon ou gode enfoncé dans la bouche grande ouverte.Les cris sont ainsi étouffés dans la gorge rendant les torments plus atroces surtout quant de plus  les seins rendus durs et saillants par leur bondage de cordes ou courroies à la base sont étirés par les anneaux percés dans les tétons.

 

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  Carcan

 

Une femme au carcan

 

 

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Par pamela - Publié dans : soumission
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Mercredi 20 janvier 2010 3 20 /01 /Jan /2010 21:58

La marche des hauts talons

  

On frappe à la porte de ma chambre. Avant que je puisse me lever, Delphine entra, et me voyant couchée toute habillée, avec mes bottines à hauts talons, elle me dit très vite:

- Pamela! Lève-toi! Si jamais Caroline ou ta tante Florence te voyait couchée sur le lit toute habillée,tu serais punie dans les cachots du sous sol de la maison.Il est équipé des appareils de l'Inquisition.J'en ai fait la connaissance et je peux te dire que le corset est une torture agréable et tes hurlements de souffrance résoneront sous les voutes.

Delphine dû m'aider à me lever, mon corset récemment réduit, m'avait rendu le buste plus raide.

Deux jours maintenant que Delphine avait terminé la première période de resserrage intensif. Elle m'avait fait perdre cinq centimétres de tour de taille en une semaine. C'était très éprouvant, surtout le dernier centimètre, je n'étais pas encore habituée à ma nouvelle taille.

Une fois debout, perchée sur mes talons de dix centimétres, je dus m'appuyer au montant du lit pour rattraper mon équilibre avant de pouvoir faire un pas.

- Dit moi Pamela, tu as vraiment fait tous tes exercices de marche?

- Oui... un peu...

- Un peu! Ou pas du tout? Tu es incapable de te tenir debout! Cela fait des jours que tu n'es pas sortie de ta chambre, et je parie que tu es restée couchée toute la journée! Pamela! Il est temps de te ressaisir, et de faire tes exercices de marche! Dans moins d'une semaine, tu devras changer de corset, porter un corset victorien,plus long, qui te limitera encore plus les mouvements du buste et ce jour là, tu te rendras compte qu'il est un peu tard pour apprendre à marcher correctement. Profite donc que tu ne portes qu'un corset court pour apprendre à marcher avec des hauts talons. Aujourd'hui tu peux encore fléchir légèrement le buste, ce qui est plus facile pour garder ton équilibre. Mais comment fera-tu avec un corset long qui te rendra beaucoup plus rigide? Comment rattraperas-tu ton équilibre sans pouvoir te courber?

Delphine me fit peur, elle ne m'avait jamais parlée ainsi.

- Met ta cape! Me dit-elle. Je vais t'accompagner pour notre promenade dans le parc.

Cela faisait trois jours que je n'étais plus sortie.

- Allons! Suis-moi.

- Je t'en prie Delphine, attend moi, tu marches trop vite...

- Trop vite! Tu as oublié le premier jour de ton arrivée au château, et tes remarques sur notre lenteur pour nous déplacer. Il me semble que le corset et les talons commencent à se faire sentir...

- Ho Delphine, je n'avais jamais porté des talons et un corset et je marche très difficilement avec ces talons trop hauts pour moi.

- Nous marcherons lentement et je te soutiendrai, mais il faut que nous fassions cette promenade.

Je la suivais à petit pas précautionneux dans le couloir. C'était la première fois que j'allais sortir sans être nue sous la cape. Bien que je n'aie pas encore eu le droit de porter une robe, je me sentais lourdement vêtue avec mes sept jupons, mon pantalon de dentelle, mes chemises, mon petit corset très serré et mon cache corset, des bas et ces maudites bottines avec leurs talons de dix cm.

Chaque pas devait se faire avec toute mon attention pour ne pas trébucher, posant le pied bien à plat sur le sol, c'est à dire, la pointe du pied très tendue pour que mes orteils touchent le sol en même temps que mes talons. Ceci m'obligeait à cambrer le pied au maximum. Le pied bien posé, sans me tordre la cheville, je basculais doucement le poids du corps sur le pied, ce qui me faisait dandiner d'une manière excessive.

En voyant cela Delphine me conseilla de marcher à tout petit pas et d'essayer de poser le pied juste devant l'autre et non sur le coté, comme si je marchai en équilibre sur une ligne étroite.

Mes premiers essais ne furent pas très concluants, et mon équilibre encore plus instable.

Delphine poursuivit.

- Je te conseille vraiment de marcher en posant le pied juste devant l'autre, cette marche est un peu précieuse et l'équilibre plus difficile, mais c'est la seule méthode avec un long corset rigide et une jupe étroite. Profite de ta relative liberté de mouvement pour t'entraîner, tu ne portes qu'un petit corset et les chaînes de tes chevilles ne sont pas encore trop courtes.

Tout allait bien, quoique très lentement, jusqu'au moment d'atteindre l'escalier descendant au rez-de-chaussée. L'escalier me parut particulièrement raide, ouvrant sur un gouffre sombre, d'autant plus impressionnant que les talons me grandissaient, me faisaient voir les choses avec un certain vertige.

Et pour corser la situation, mes larges jupons me cachaient les premières marches de l'escalier, m'obligeant à avancer sans voir le vide devant mes pieds.

Je devais à chaque pas, tâter le sol de la pointe de mes orteils, en espérant trouver cette première marche que je ne voyais pas. Enfin, je pus sentir le bord de la première marche, mais mes jupons s'avançaient très en avant au-dessus du vide, et je du serrer très fort la rambarde pour ne pas perdre l'équilibre et ne pas me laisser aspirer par mon vertige.

Delphine voyant mes hésitations, m'encouragea et me dit:

- Pour descendre une marche, tu dois te tenir le plus prêt possible du bord, et ensuite quand tu es bien en équilibre, avance doucement un pied et sent la bordure de la marche avec ton talon, tu te baisse lentement en faisant glisser ton talon sur la bordure de la marche jusqu'au moment ou ton pied touchera la marche inférieure. Après avoir pris ton équilibre sur le pied le plus bas, tu pose l'autre pied sur la même marche. N'essaye pas de descendre normalement, mais marche par marche. C'est un moyen plus sur quand on ne voit plus ces pieds et que l'on porte des hauts talons.

J'avançais doucement le pied droit et en me baissant un peu, j'essayais de trouver la marche avec mon talon, un fois le talon en contact avec le bord de la marche, je me laissai doucement descendre, en faisant glisser le talon. Quelle horrible sensation, en équilibre sur un pied, au bord de cet escalier vertigineux et le deuxième pied qui était toujours dans le vide, je descendais encore... un choc sur le talon, je venais de poser le pied sur la marche.

- Bien! Dit Delphine, ne bouge plus avant d'avoir retrouver une bonne stabilité sur le pied en bas.

Après quelques hésitations, je ramenais facilement l'autre pied sur la même marche.

En me concentrant sur toutes ces manœuvres j'avais réussi à descendre d'une marche, mais le vide devant moi me semblait avoir encore augmenté. Mes jupons reposaient sur le palier derrière moi et devant, le vide... Une mince victoire, une marche et j'étais essoufflée avec mon corset qui ne me permettait pas de reprendre ma respiration. De plus j'avais les jambes qui commençaient à trembler, ma stabilité sur mes hauts talons, devenait de plus en plus précaire...

- Delphine, je t'en prie aide-moi, j'ai le vertige, je ne pourrais jamais descendre cet escalier

 Mes jupons étalés largement devant moi, dans le vide, me donnaient de plus en plus l'impression d'être perchée en équilibre instable au bord d'un gouffre.

Je tournais la tête vers Delphine, sans bouger le reste du corps, et le regard implorant je la suppliais:

- Delphine, je t'en prie...

- Je crois que l'on va différer cette promenade. Ne te retourne pas, je vais t'aider à reculer, inutile de prendre des risques.

Delphine du me soutenir et me guider pour remonter sur le palier, je pus me retourner et rejoindre ma chambre à petit pas

- Tu es vraiment ridicule Pamela. Que de problèmes pour des talons de seulement dix cm! Je suis certaine que durant ces trois jours de repos, tu n'as pratiquement pas marché. J'ai beaucoup de travail avec l'atelier de corset et je ne pourrais pas être toujours derrière toi, t'aiguillonner pour que Mademoiselle veuille bien faire ces exercices! Tu te rappelle que Caroline doit venir demain avec de nouvelles chaussures qui ont onze centimètres de talons. Peux-tu me dire comment tu marcheras demain? Quelle explication donnera-tu à Caroline?

- Excuse-moi Delphine, mais tu m'as vraiment serrée trop fort, mon corset me coupe le souffle et me fatigue beaucoup, je n'ai plus de force...

- Tu m'accuses de t'avoir trop serrée? Tu préfères avoir une silhouette d'hippopotame?

- Non... Je suis contente que tu t'occupes de moi, je ne pensais pas que se serais si difficile et j'espérais que Caroline augmenterait la hauteur de mes talons un peu plus tard...

- Ce n'est pas en espérant que tu apprendras à marcher correctement!

- Mais... comment faire...

- Ho! Pamela, ne pleure pas, je suis ton amie. Ne craint rien, je vais m'arranger avec Caroline pour retarder sa visite avec tes nouvelles chaussures. Je trouverais bien un prétexte, mais nous devons commencer ton entraînement de suite et rattraper le temps perdu. Ta tante Florence va commencer à s'impatienter, et nous ne devons pas la décevoir. Tu dois s'avoir qu'elle me pousse à accélérer ton entraînement. Elle est très impatiente de pouvoir te présenter au concours d'entrée dans son école.

- Merci Delphine de faire patienter ma tante et Caroline.

- Ne rêve pas trop Pamela. Caroline n'attendra pas plus d'un jour ou deux, et tu devras inaugurer ton nouveau corset en même temps que tes talons de onze cm.

- Quelle importance, si je peux avoir ces deux jours de répits.

- Ho Pamela! Tu ne comprends pas. Pourtant l'expérience désastreuse de l'escalier aurait dû t'ouvrir les yeux! Des talons plus hauts, c'est moins d'équilibre, et le nouveau corset est plus long et très fortement baleiné. Ce nouveau corset te limitera beaucoup plus les mouvements du buste et de la taille, et bien sur, tu ne pourras plus faire ces mouvements pour rattraper ton équilibre.

- Ho... mais...

Je venais seulement de m'imaginer, perchée en équilibre instable au sommet de mes talons de onze cm, le corps trop rigide pour retrouver un peu de stabilité. Je m'imaginais comme une colonne vacillant sur son socle et rien ne pourrait empêcher sa chute.

- Bien dit Delphine. Me voyant perdue dans mes rêveries... Après cette promenade bloquée par un escalier un peu raide pour toi, je vais appeler Ninon, qu'elle te déshabille, change ton corset et te couche. Demain: Journée d'entraînement à la marche. Bonne nuit Sophie.

Le lendemain, après mes ablutions, parfumée, corsetée, enjuponnée... Delphine entra, et on pris ensemble un petit déjeuné léger et rapide.

Aussitôt le petit déjeuner terminé, aussitôt debout sur mes talons, les pieds cambré.

Delphine me retroussa mes jupons jusqu'aux genoux pour mieux me voir marcher.

Deux heures debout, à essayer d'avoir une démarche élégante et pas trop chaotique avec ces maudis talons.

- Le pied plus tendu! La pointe de ton pied doit se poser sur le sol en même temps que le talon! Cambre plus la plante du pied! Plus de souplesse! Ta cheville tremble, tu manque d'assurance! Non Pamela, n'essaye pas de faire de grand pas. Je vais être obligée de raccourcir la chaîne de tes chevilles! Tu vois, avec des pas plus petit, c'est plus facile. Pamela! Plus lentement je te prie! Des petits pas gracieux et pas aussi rapides! Prend ton temps.

- Mais, Delphine, je vais mettre un temps fou pour traverser une pièce. Si je dois traverser toute la salle de bal à cette allure, on va se poser des questions sur moi. Tu sais que j'ai horreur que l'on me regarde comme une bête curieuse, surtout quand il y a beaucoup de monde.

- Ma chère et tendre Pamela, je crains que tu ne puisses pas passer inaperçue dans une soirée. Les jupes étroites et les très hauts talons font parties des accessoires, qui interdisent la discrétion. En ralentissant tellement le moindre de nos déplacements, tout le monde a largement le temps de nous voir et de nous observer dans les plus petits détails. Allons Pamela, encore un quart d'heur d'exercices, et nous pourront prendre notre deuxième petit déjeuner.

Heureusement que nos corsets nous obligeaient, par la forte compression de nos estomacs, à manger un peu toutes les deux heures. Sans ces petits répits pour mes pauvres pieds, ces exercices de marche auraient vraiment été insupportables.

Et de nouveau debout, marchant de long en large dans la pièce, fessant le tour de la table, en ligne droite, en tournant, en fessant des demi-tours, en arrière, en avant... la tête me tournait, j'obéissais aux ordres de Delphine comme un petit soldat à la parade.

- Pose le pied plus délicatement! Assure mieux ton équilibre! Essaye de rester bien droite! Ne fléchi pas les jambes! Des pas plus petits! Ne te penche pas en avant! Non Pamela tu dois rester bien droite! N'essaye pas de garder ton équilibre en fléchissant la taille. Souvient toi! Dans deux jours au plus, tu ne pourras plus te courber du tous, ni en avant ni sur le coté. Le nouveau corset que je te prépare sera vraiment plus restrictif. J'ai particulièrement soigné le baleinage, elles seront plus nombreuses et plus épaisses. Je peux t'affirmer que ce nouveau corset ne te permettra plus aucune flexion de la taille.

Deux heures d'exercices, une brève pose et de nouveau deux heures à marcher, à marcher encore et encore. Delphine voulait maintenant que je marche d'une manière un peu bizarre. Je devais poser le pied juste devant l'autre, comme si je devais marcher en équilibre sur un fil de funambule. De plus je devais placer le pied d'une façon spéciale, non plus bien aligné, mais pour le pied droit, le talon à gauche et la pointe des orteils dans le prolongement du pied gauche. Oui c'est un peu compliqué. Cela m'obligeait à marcher en croisant les jambes à chaque pas, et rendait mon équilibre encore plus délicat. Ensuite Delphine m'interdisait de plier mes genoux, je devais marcher sans fléchir les jambes en faisant un petit arc de cercle. Ma jambe droite devait faire cet arc en s'écartant à droite et ensuite passant devant la jambe gauche terminer en croisant la jambe droite devant celle de gauche pour enfin poser le pied droit à... ma gauche. Cette marche plutôt compliquée et sophistiquée n'était pas évidente avec des talons hauts. Essayez donc même sans talon... L'obligation de croiser les jambes à chaque pas devait laisser des traces sur le sol des plus étranges, puisque les traces de gauche étaient laissées par le pied droit!!!

La journée fut longue et éprouvante. Mes pieds douloureux, les muscles de mes mollets tétanisés. J'étais bien trop tendue durant ces exercices, manque de souplesse par manque d'entraînement.

Au moment de me coucher, Delphine me dit.

- Rassure-toi, j'ai pu gagner une journée supplémentaire. Caroline ne viendra que dans deux jours avec tes nouvelles chaussures. Le changement se fera dans l'après midi. Il te reste deux jours et demis pour t'entraîner. Fais de beaux rêves ma chérie. A demain.

Le lendemain, levée tôt par Ninon, qui s'empressa de me pousser sous le trapèze de laçage et m'y attacha les poignets. Je fus suspendue et délacée. Ninon ne prit pas la peine de me faire descendre dans le bain. Elle me lava rapidement avec un gant de toilette, et m'habillât de mes nombreux sous-vêtements, chemise, corset strictement lacé, mes sept jupons... Delphine entra dans la salle de bain et d'habillage. Elle contrôla le laçage de mon corset ainsi que mes chaînes aux chevilles et aux poignets. C'est seulement après ces minutieux contrôles et après m'avoir cadenassé ma ceinture métallique par-dessus le corset, que Delphine autorisa Ninon de me libérer du trapèze.

Nous venions à peine de terminer notre petit déjeuner que ma tante Florence entra visiblement en colère.

- Delphine! Je viens d'apprendre que Pamela marche à peine avec des talons ridiculement petits!

- Florence me détaillait d'un regard dur.

- Lève-toi Pamela!

Je me sentais déshabillée par son inspection.

- Delphine! Comment se fait-il que Pamela porte toujours un corset court?

- Excuse-moi. Dit Delphine. Mais... l'atelier de corseterie est débordé. Son nouveau corset vient juste d'être terminé et...

- QUOI! Et pourquoi ne le porte t-elle pas en ce moment?

- Heu... pour apprendre à marcher avec des talons hauts, Pamela a besoin de garder un peu de souplesse au niveau de la taille. C'est pour son équilibre... un corset trop long et rigide l'empêcherait de...

- TARATATA! Il y a longtemps que Pamela devrait savoir marcher correctement avec des hauts talons. A ce rythme, Pamela sera une vielle dame quand elle se présentera à l'examen d'entrée de notre école.

- Mais Florence, Caroline était absente durant ces trois dernières semaines et...

- NON Delphine, ce n'est pas une raison! Tu es responsable de l'éducation et l'entraînement de Sophie! Tu devais demander à Caroline ces instructions durant son absence!

Le ton de Florence montait de plus en plus. Je ne l'avais jamais vue en colère à ce point.

- Je suis très mécontente! Ces manquements seront punis immédiatement! Vous deux! Suivez-moi dans la salle d'entraînement! Ninon! Allez chercher Caroline, qu'elle nous y rejoigne!

 

 

L'épreuve

 

 

 

Florence nous emmena dans la salle de travaux pratique. Toute la moitié de cette grande salle était occupée par un entrelacs de rambardes. En regardant mieux, ces rambardes étaient alignées de sorte à former un long couloir sinueux. Le sol était recouvert de plusieurs zones très différentes et étranges dans une salle.

En attendant l'arrivée de Caroline, Delphine m'expliqua le but de cette installation.

- Toutes ces rambardes matérialisent de chaque coté, un chemin que les élèves doivent suivre. Mais les barres horizontales de ces rambardes ne sont pas fixées, elles sont juste posées sur le sommet des poteaux, et tu ne pourras pas t'y appuyer. En fait, si tu touches une de ces barres, elle tombera par terre. L'épreuve consiste à faire ce parcourt entre les deux rangées de rambarde sans les faire tomber.

Bien sûr, ce parcourt comporte quelques difficultés. Des difficultés d'autan plus grandes que tes jupons seront plus encombrant et tes talons plus hauts.

- Et je devrais faire tout ce parcourt?

- Evidemment! C'est le parcourt que font toutes celles qui apprennent à marcher avec des talons très hauts.

- Ca me semble plus facile que de descendre les escaliers.

- Ma très chère Pamela, je croix que tu n'as pas très bien observé le sol. Le chemin traverse différentes zones, des zones faciles, comme du parquet ou du carrelage, mais il y a d'autres zones plus difficiles, comme des zones de gravier, des parcours sur du gazon ou du sable, mais surtout des zones de sol très inégales, de gros pavés bien ronds et glissants, des dalles très mal posées, toutes de guingois ou tu ne pourras pas poser le pied à plat, d'autre zone ou le sol est recouvert de grandes dalles mobiles qui bouges quand on marche dessus et aussi une horreur pour les dames en hauts talons, une zone recouverte de gros galets. Je me rappelle avoir essayé de faire quelques pas sur la plage de galet d'Etreta. Je n'avais pas fait deux pas, qu'il fallut m'aider à faire demi-tour. Les talons s'enfoncent entre les galets et tu ne peux tenir que sur la pointe des pieds, posés sur le sommet d'un galet instable, ne demandant qu'a tourner pour te faire tomber.

- Ho Delphine, je m'imaginais marcher avec des hauts talons uniquement dans le château. Ce que tu me décris est un véritable parcourt du combattant.

- C'est un peu cela Pamela. Tu peux remarquer qu'il y a en plus, dans le parcourt des obstacles à franchir. Des obstacles ridicules pour la plupart des gents, mais qui peuvent être infranchissables avec des talons très hauts et une jupe entravée. Regarde, après la zone de gravier, il y a une bordure de 9cm de haut. La chaîne de tes chevilles ne fait que 10cm. Tu passeras tous juste. Et plus loin, un petit escalier, cinq marches seulement, mais des marches tellement étroites que tu devras poser le pied de travers. La montée est facile sur la pointe des pieds, mais la descente...

Caroline entra, visiblement inquiète, d'autant plus que l'accueil d'Florence fut inhabituellement froid.

Florence renvoya Ninon chercher de l'aide chez les couturières de l'atelier dirigé par Caroline.

- Bien! Dit Florence. En attendant l'arrivée des couturières. Je vais vous exposer ma décision vous concernant toutes les trois.

Vu qu'il est inadmissible que Pamela ne soit pas plus avancée dans son éducation.

Vu votre laxisme dans la conduite de cette éducation. Toi Delphine en tant que responsable de Pamela, de ces corsets et de ces entraînements. Toi Caroline pour ton imprévoyance concernant les robes, les sous-vêtements, et les chaussures de Pamela.

J'ai décidé de vous punir collectivement en fonction du résulta de l'épreuve que Pamela va subir.

Ninon revenait accompagnée de quatre couturières.

- HA! Enfin vous voilà! Dit Florence. Ninon! Allez me chercher le nouveau corset de Pamela! Et dépêchez-vous un peu!

Je ne pus m'empêcher de dire...

- Mais Florence, le nouveau corset n'est prévu que dans deux jours, je ne suis pas prête à...

- Silence Pamela. A ce rythme, tu ne seras jamais prête à quoi que se soit! Tu as déjà trop de retard dans tes entraînements. Nous allons vite nous rendre compte de tes capacités à devenir une élégante lady.

Bien! en attendant le retour de Ninon avec le corset de Pamela, voici ma décision:

Pamela va devoir faire tout le parcourt après avoir revêtu son nouveau corset. Ecoute-moi bien Pamela. Tu seras responsable de l'ampleur de la punition que sous subirez toutes les trois.

En faisant le parcourt, à chaque barre qui tombera vous devrez revêtir un jupon supplémentaire par dessus vos vêtements. A chaque chute de Pamela, c'est trois jupons que l'on ajoutera. Et tous les sept jupons, on ajoutera une chemise de dessous, un corset, un cache corset et une robe de velours.

Mesdames les couturières, tous ces vêtements se ferment par des lacets. Vous ne devrez pas faire des nœuds coulissants, mais des triples nœuds ! Quand l'épreuve sera terminée, et nos trois chères et tendres amies bien couvertes, elles seront toutes les trois enfermées dans une chambre, avec interdiction pour qui que se soi de les aider à se déshabiller.

Demain, Pamela subira la même épreuve, dans la tenue qu'elle aura à ce moment et la même punition sera appliquée sur mes trois chères amies. Quel que soit la quantité de vêtement qu'elles porteront encore.

Conclusion mes très chères! Si Pamela maîtrise parfaitement la marche avec des hauts talons, cette punition devrait être très légère, si non... tant pis pour vous!

Il se fit un grand silence. Je regardais le parcourt avec plus d'attention et aussi plus d'inquiétude

- Alors! Vous semblez figées comme des statues de sel! Maryse et Ninon, vous avez à votre disposition un trapèze de laçage et un beau corset tout neuf! Allons du nerf! Attachez Pamela au trapèze et changez son corset. Même tour de taille! Je contrôlerais et gare à vous si sa taille fait un millimètre de trop!

Je fut entraînée aussi vite que je pouvais marcher et aussitôt sous le trapèze, elles me lièrent les poignets à la barre. Je fus soulevée très rapidement. Ninon me détacha la ceinture métallique et elle coupa les lacets avec une paire de forts ciseaux. Mon petit corset me libéra le ventre d'un seul coup, comme s'il avait claqué en deux. Ca me fit mal d'une façon... pas comme un coup de poing dans le ventre, mais un choc brutal, inattendu, un grand souffle d'air me gonflait les poumons de force, sans que je puisse le contrôler.

De suite, Ninon et Maryse, une jeune fille assez forte que je voyais pour la première fois, m'entourèrent le buste avec le nouveau corset, et entreprirent de l'agrafer le plus vite possible. Je les sentais fébriles, mais malgré tout cet énervement, terriblement efficaces. Je fut enfermée dans mon nouveau corset en un rien de temps. Je sentais ces nombreuses baleines me pétrir les hanches la taille et la poitrine, mes seins poussés en haut. Je sentais ma poitrine poussée bien trop haut et trop en avant. Je suis sure que ce corset va me faire une silhouette beaucoup trop provocante. J'ai toujours eu un peu honte d'avoir des seins trop forts. J'avais, jusqu'à ce jour, réussi à les masquer plus ou moins en portant des vêtements qui m'écrasaient la poitrine.

Ninon et Maryse, ne me laissait pas le temps de rêver, ma taille se comprimait déjà, elles s'activaient sur mes lacets et le corset me serrait rapidement sur toute la longueur. L'effet était très différent par rapport à mon petit corset, celui-ci me comprimait la cage thoracique et me limitait ainsi beaucoup plus ma respiration. Je sentais maintenant comme un poids sur ma poitrine. Mes hanches étaient également fortement serrées et la rigidité de mon long corset, me bloquait tous mouvements du bassin.

Aussitôt serrée, les deux caméristes me firent descendre sur mes pieds et je pus me rendre compte combien ce corset était rigide, me bloquant tout le buste dans une position imposée par la forme des baleines et du corset.

Me déplacer, enfermée dans ce nouveau corset était une découverte. Le buste rigide, le bassin bloqué, à chaque pas sur mes hauts talons, c'est tout le buste qui oscillait d'un bloc, au lieu du balancement naturel du bassin.

Quelle étrange sensation de marcher avec un équilibre complètement transformé par la rigidité du long corset. Ma respiration également modifiée, j'étouffais presque, chaque inspiration était durement limitée par le serrage du corset sur ma poitrine. Je me rappelais des conseils de Delphine, "Respirer par le haut!" Oui bien sur, impossible de faire autrement, mais ma respiration était vraiment très limitée et chaque inspiration me soulevait les seins de manière honteusement provocante.

Ninon me conduisit à l'entrée du labyrinthe. Il y avait un bac de gravier long de quelques mètres et de chaque coté, des barres juste posées sur de petit poteau matérialisant le parcours.

Allons! Dit Florence, en avant et rappel-toi! Une chute égale trois jupons supplémentaires, un jupon à chaque barre qui tombera.

J'avançais entre les deux barrières sur le gravier. Mes talons s'enfonçaient dans le gravier, vite un pas en avant, un autre pour rattraper mon équilibre, mais après trois ou quatre pas de plus en plus rapides, je tombais de tout mon long en reversant dans ma chute un poteau.

Je pus me relever avec beaucoup de difficultés, gênée par mes jupons et la raideur de mon corset.

Florence me regardait avec un sourire pas très sympathique. dans ma chute, j'avais fait tomber deux barres...

Deux plus trois égale cinq jupons! Bravos Pamela! Beau score pour trois mètres de parcours.

Je m'avançais maintenant avec plus de prudence Une bordure à franchir, Delphine m'avait prévenue, cette bordure ne faisait que neuf centimètres de haut, mais la chaîne de mes chevilles ne faisait qu'un centimètre de plus. Je m'approchais le plus près possible et je pus facilement la gravir, la descente fut plus délicate, mais si je réussis à garder mon équilibre, une barre de plus tomba bruyamment.

Six dit Florence. La zone suivante était faite de dalles posées de manière très irrégulières et toutes de biais.

Je devais orienter mon pied de sorte à ne pas me tordre les chevilles, mais ces dalles penchaient vraiment dans tous les sens. Cependant j'avançais peut être lentement mais sans accident. Encore un dernier pas et... trop pressée de sortir, je perdis mon équilibre et réussi sans savoir comment à ne pas tomber et... le bruit des barres tombant par terre... je me retournais lentement pour constater les dégâts.

Deux de plus dit Florence. Le cap des sept est dépassé.

Delphine et Caroline portaient déjà six jupons de plus par dessus leurs robes. Ces jupons s'élargissaient autour d'elle comme une petite crinoline. Les caméristes ajoutèrent le septième jupon et ensuite, elles leur firent revêtir une chemise de dessous, un corset lacé très serré, un cache corset, et une robe de velours bleu rois et par dessus, le huitième jupon.

Devant moi, le petit escalier de cinq marches, des marches très étroites. Je pus le monter sur la pointe des pieds, le talon dans le vide. Arrivée au sommet sur une plate forme, la véritable épreuve m'attendait. Impossible de descendre normalement cet escalier. En principe, l'exercice prévoyait que je le descendrai de face les pieds tournés sur le coté, mais je trichais un peu en me positionnant de profile, je pus ainsi descendre cet escalier marche par marche en progressant comme les crabes.

Enfin une épreuve passée avec succès. Malheureusement, en me tournant vers Delphine et Caroline, je touchais à peine une barre qui tomba. Neuf jupons... et le parcourt n'était pas terminé.

La planche à bascule. Une planche large de 20 à 30cm, longue de deux mètres était posée sur un gros cylindre. La planche penchait vers moi et formait ainsi une rampe inclinée que je devais monter. La montée fut facile, la pente de la planche soulageai la tension de mes chevilles, mes talons étant un peu plus bas que la pointe de mes pieds. Je m'arrêtais un peu avant le somment, juste avant que la planche ne bascule dans l'autre sens pour la descente.

Je fit un pas, la planche bascula plus vite que je l'avais imaginé, et mes talons furent subitement plus hauts et me poussaient en avant. Je ne pus me retenir. C'est comme si on m'avait poussée en avant, je tombais en roulant et dans un grand bruit de barres qui tombaient. Le bilant était catastrophique, six barres étaient tombées plus trois points pour ma chute... J'étais honteuse, n'osant plus regarder Delphine et Caroline engoncée dans leur multiple couches de jupons, de robes et de corsets, et qui allaient devoir supporter une punition encore plus pénible par la faute de mon incompétence.

Cinq jupons de plus, leur robe était maintenant aussi large qu'une crinoline des années soixante. Une chemise de dessous, un corset de plus et toujours serré au maximum, un cache corset et une nouvelle robe de velours noir, et puis les quatre jupons de plus pour arriver à dix huit jupons.

Il ne me restait qu'une épreuve, un parcours sur des gros pavés ronds et glissant. Je m'appliquais à bien poser le pied stable, et si possible dans un creux entre les pavés pour ne pas glisser. Ma progression était lente mais sans trop de problème. Ce parcours était relativement long et mes chevilles commençaient à trembler tellement j'étais tendue. La fin du labyrinthe approchait, mais je tremblais de plus en plus sur mes hauts talons instables. Soudain une terrible crampe dans mon mollet gauche. Je pus encore faire un pas, mais il me restait un mètre à faire. Ma crampe ne me permettra jamais de terminer normalement. Je décidais de tenter le tous pour le tous, et poussant avec la jambe valide, j'essayais de traverser le dernier mètre en sautant. Ce qui marcha très bien, je n'accrochais aucune barres, mais je ne pus me recevoir correctement sur ma mauvaise jambe et je tombais à nouveau.

Enfin sortie de cette épreuve...

Bravo Me dit Florence, Grâce à ta dernière chute tu vas permettre à tes deux amies de revêtir trois autres jupons et de finaliser leur habillage par un autre corset et une autre robe, une robe de velours très épais, bien chaude et lourde, avec pour cette dernière robe une jolie traîne de quatre mètres de long. Une traîne particulièrement encombrante. Mais ne soit pas impatiente, Ninon et Maryse vont bientôt pouvoir s'occuper de toi et tu pourras ressentir le poids, la chaleur et l'engoncement de cette accumulation de vêtements.

Delphine et Caroline étaient pétrifiées, comme des poupées recouvertes d'une robe beaucoup trop volumineuse. Elles ne bougeaient plus, le visage rouge, haletantes, semblant attendre qu'on les range dans une vitrine, comme des objets luxueux.

Les deux caméristes rangeaient les vingt et un jupons les trois robes de velours, les trois corsets, trois caches corset, trois chemises de dentelles. Une montagne de vêtements étalés sur une grande table. Un étalage de grand magasin. Il m'était difficile d'imaginer porter toutes ces choses en même temps, et pourtant Delphine et Caroline étaient la preuve vivante que cela devait être possible. Possible mais à quel prix...

Je portais déjà sept jupons et mon nouveau corset plus long et contraignant que le précédent.

Maryse et Ninon me conduisirent au début de la longue table. Elles commencèrent par m'attacher les premiers jupons en faisant des triples nœuds. Après chaque nouveau jupon, elles me faisaient avancer d'un pas vers le jupon suivant sur la table. Les sept premiers jupons fixés solidement à ma taille, Maryse et Ninon, me firent revêtir une chemise dont les manches étaient un peu étroites par dessus ma première chemise, ensuite un petit corset qui ne pouvait descendre sous la taille mais qui montait assez haut plus un cache corset et enfin la robe de velours noir, très lourde. Et pour terminer, le corsage de velours noir également. Les manches très étroites par dessus mes deux chemises à manche longue. L'effet d'engoncement dans des vêtements trop lourds et étroits se faisait déjà sentir.

Un pas en avant, un tiers de la table était maintenant vide, restait deux tiers de table recouvert d'étoffes, de robes... qu'il me faudra bien porter que ça me plaise ou non.

Un petit pas le long de cette table interminable et un jupons de plus, un corset ou une robe lourde, très lourde, étouffante, me bridant de plus en plus. J'avançais lentement, comme une statue, presque sans bouger. Le poids, la chaleur, la respiration difficile et mes pieds qui me fessaient souffrir à force de rester debout, de supporter tout ce poids.

La dernière robe, avec une longue traîne. Mes bras devenus énormes par l'épaisseur des couches de tissus, étaient comme des poteaux, incapables de fléchir ou de bouger.

J'étais une poupée portant une robe immense, les bras largement écartés et droits. Impossible de s'asseoir. Je ne pouvais me déplacer qu'avec une extrême lenteur.

Sur l'ordre d 'Florence, Maryse et Ninon, nous conduisirent à une chambre préparée pour nous trois. Ninon devait nous ouvrir en grand les deux battants des portes pour que nous puissions passer malgré la largeur de nos robes. Maryse fermant la marche et fermant les portes que nous n'aurions pas pus manipuler tellement nos bras étaient bridés par nos multiples couches de robes épaisses.

La progression vers cette chambre fut longue et pénible et nous étions toutes les trois en nage en arrivant dans cette chambre ou on nous enferma.

Je me laissais tomber, épuisée par la chaleur, l'étouffement et le poids de toutes ces couches de tissus.

Le volume des jupons et des robes de velours était tellement important, que je ne pouvais pas m'étendre sur le sol. Je restais assise dans un tas immense de tissu accumulé autour de moi et qui m'obligeait à resté droite, malgré le désire de me coucher à même le sol.

Delphine s'était laissée tombé sur le lit. Ces jambes seraient restées suspendues dans le vide sans ces multiples jupons qui les maintenaient à l'horizontal tellement l'épaisseur de ces robes et jupons était grande. Vu sa posture à demis sur le lit et à demi noyée dans les jupons, je ne voie vraiment pas comment elle pourrait se lever sans aide.

Caroline avait essayé de s'asseoir dans une chaise, qui s'était renversée, repoussée par ces jupons, bien avant qu'elle puisse s'en approcher. Elle semblait maintenant être à genoux, immobilisée par tous ces vêtements.

Ont ne bougeaient plus, et on resta toutes les trois immobilisées toutes l'après midi.

Le soir, Ninon nous rendit visite en cachette et nous aida toutes les trois à nous lever.

Delphine avait-je ne sais comment un peu repris ces esprits.

- Approchez-vous! Dit Delphine. Nous devons nous débarrasser du plus grand nombre de jupons possible. Demain Pamela repasse la même épreuve. Les jupons, corsets et robes vont s'accumuler sur nous, et ceci par dessus les couches de vêtements que nous porterons encore.

- Mais Delphine! Dit Caroline. C'est impossible! Florence ne va quand même pas continuer la punition... On ne pourra jamais porter deux fois plus de vêtements...

- Tu as raison Caroline, c'est pourquoi nous devons enlever le plus de vêtement possible. Nous devrions commencer par déshabiller Pamela en premier, pour qu'elle puisse passer l'épreuve plus facilement. Si non, nous serons encore plus couvertes, plus noyées sous des masses de tissu.

La nuit fut longue et pénible. Chaque jupon devait être dénoué un à un avec leur triple nœuds.

Le matin, j'étais débarrassée de tous mes jupons robes et corsets. Mais Delphine et Caroline n'avaient pas encore terminé quand Florence vint nous chercher pour la deuxième épreuve. Elles avaient réussit à enlever deux robes sur trois, deux corsets sur trois et quatorze jupons sur vingt et un.

Il faudra que je m'améliore rapidement si non, Delphine et Caroline vont étouffer sous leurs multiples couches de vêtements.

 

 

 

 

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Dimanche 17 janvier 2010 7 17 /01 /Jan /2010 22:58

Habillée et resserrée

 

 

Déjà deux semaines que j'étais arrivée au château. Comme Mende était loin, Le souvenir de mon départ, les jeux dans les bois avec Daniel, mes disputes avec mes parents... tous cela me semblait déjà loin dans le passé. Mais maintenant, j'aspirais à des changements. Si les deux premières semaines avaient été riches en découvertes, je dois dire que l'ennui me gagnait. Les journées enfermée dans mes appartements étaient plutôt monotones. Delphine avait insisté pour que je reste en corset, mais toujours à la même taille durant toute cette période, sans me resserrer.

Cela devait être efficace, car maintenant je me sentais confortablement maintenue et doucement serrée. Quelle différence avec les trois premiers jours. J'appréciais le soutient ferme de mon corset, bien que sa rigidité m'interdise certain mouvement de flexion de la taille.

10 heures le matin. J'attends avec impatience Caroline et Delphine. J'espère que Caroline apportera de quoi m'habiller convenablement.

Deux semaines vivant quasiment nue, seul le corset me couvrait le ventre. Je ne pouvais évidemment pas sortir ainsi. Mes promenades la nuit en compagnie de Delphine étaient un délice. La caresse de l'air frais... Excepté mon corset, j'étais nue sous une grande cape qui ne fermait pas. La magie d'un parc sombre dans le quel on s'imaginait se perdre. Le visage délicat de Delphine très pâle, d'autant plus pâle qu'il se dévoilait par instant, cerné par ses longs cheveux noirs, un visage à peine éclairé par la lumière grise, un peu bleutée de la lune.

10 heures et quart toujours personne. Je ne pouvais pas imaginer qu'ils m'aient oubliée.

On frappe à la porte! Enfin... mon cœur bat fort. Une nouvelle étape m'attend.

Caroline entre suivie de Delphine qui s'approche de moi et m'embrasse tendrement. Caroline s'est arrêtée, me regarde, et s'avance lentement, pour m'embrasser timidement sur la joue.

Ninon entre également portant des cartons et repart aussitôt pour revenir très vite avec d'autres cartons

- Ma chère Pamela"me dit Delphine" comment te sent-tu? Le corset, tu le supportes mieux maintenant?

- Ho! Oui. Je m'y suis bien habituée. Il est devenu agréable à porter, et je suis certaine de pouvoir le porter beaucoup plus serré.

- Tant mieux, car à partir de ce jour, je commence la véritable réduction de ta taille. Mais il faut éviter les excès. Je te réduirais la taille centimètre par centimètre, très lentement et régulièrement. Ceci durant une bonne semaine, et ensuite, tu auras droit à une période de repos sans nouveaux serrages, seulement en gardant le tour de taille que tu auras atteint au bout de cette première période de resserrage.

Mais avant de commencer le resserrage du corset, Caroline va s'occuper de toi.

- Merci Delphine. Caroline, tu vas me donner des vêtements? Je vais enfin pouvoir m'habiller normalement?

- Normalement! Me dit Caroline. Ici rien n'est tout à fait ordinaire, alors la normalité... Mais rassure toi. Tu auras une belle jupe et d'autres choses aussi.

- Ninon t'aidera dit Delphine à Caroline. Elle sait comment lui enlever son corset et elle est une parfaite camériste.

Delphine s'écartait un peu, et s'assis dans un "Voltaire" de sa manière habituelle, sur le bord du fauteuil, se baissant en fléchissant les jambes, le buste parfaitement droit et rigide. Sa taille ne se pliait pas d'un seul millimètre. Delphine nous observait, le buste raide la taille d'une minceur, d'une étroitesse à crier. Seul le haut de sa poitrine montait à chaque inspiration. Elle était une statue, une oeuvre d'art de la mode extrême.

Caroline sortit d'un carton une chemisier de dessous et un string de dentelle fendu dans l'entrejambe. Mais mon corset devait être enlevé et je n'avais plus le droit de me tenir debout sans être corsetée. Caroline se tourna vers Delphine et, comprenant son embarras, appela Ninon, qui me conduisit dans la salle de bain, suivie de Caroline.

Ninon fit descendre la barre de laçage et je passais les poignets dans les sangles de sorte que je puisse être soulevée.

Ninon actionna le treuil et me fit quitter le sol. Elle me délaça et dégrafa mon corset. Je sentais la fraîcheur de l'air sur mon ventre libéré du corset. Ninon sortit de la salle de bain pour demander à Delphine la clef de mes chaînes aux chevilles. Depuis une semaine, mes poignets et mes chevilles étaient restés enchaînés, Ninon ne possédait que la clef de ma ceinture métallique pour pouvoir changer mon corset et me faire prendre mon bain le matin. Comme je ne portais pas d'autre vêtement que mon petit corset, il avait été inutile de me libérer mes poignets que Delphine avait enchaîné pour m'interdire certaine chose. De même que la chaîne de mes chevilles destinée de m'apprendre à marcher à tout petits pas.

Caroline put alors me passer mon nouveau chemisier de dessous qui était lisse au niveau de ventre mais garnie d'une profusion de dentelle sur ma poitrine. Vint ensuite le string de dentelle,avec ses rubans de satin.

 Le grand miroir en face de moi, me donnait une image merveilleuse de ma transformation. Je n'avais jamais porté des dessous aussi élégants et sophistiqués, ma silhouette se transformait radicalement, me faisant des hanches généreuses, très femme, et toutes en douceur vaporeuse, par les dentelles.

Quel dommage que mes poignets me fassent un peu mal, parce que le reste n'était que douceur et volupté.

Ninon revint et m'agrafa mon petit corset qui devait faire contraste entre ma taille fine, étroite et rigide par rapport à mes nouvelles hanches volumineuses douces et vaporeuses. Elle me laça à 54cm, comme le premier jour.

Caroline m'enfila les jambes dans des bas de soie, fixés par des jarretelles qu'elle glissa sous mon string. Vint ensuite une paire de bottines, avec des talons plutôt hauts, je les voyais à peine, mais mes pieds durent se cambrer fortement pour entrer dans ces bottines. Ces bottines montaient à mi-mollets et se fermaient par un lacet que Caroline serra fermement. Ensuite, Caroline appela Delphine, qui m'inspectait sous toutes les coutures.

Delphine demanda à Caroline:

- Tu dois encore lui mettre d'autre chose?

- Oui, elle doit encore porter une jupe et une veste.

- Bien! Dit Delphine"ma tendre Pamela, je vais commencer la véritable réduction de ta taille. Cela se fera par période de 5 ou 6 jours, avec ensuite une semaine de repos, sans nouveau resserrage, le temps que tu t'habitues à ta nouvelle taille et que tes organes internes puissent se déplacer lentement. Durant cette première période, ton corset sera resserré d'un cm supplémentaire chaque matin et ceci pendant 5 jours. Tu es prête?

- … Oui, … je … je l'espère.

- Ho! Quel petit "oui", ne craint rien ma tendre Pamela, je serais sans doute ferme et inflexible, mais rassure-toi, tu n'es pas la première fille à qui j'ai réduit le tour de taille.

Delphine se plaça derrière moi, je sentis le corset se relâcher légèrement quant elle dénoua les lacets, et ensuite la pression sur le ventre augmenta. Delphine avait tiré sur mes lacets, me réduisant la taille d'un centimètre.

Je ne sentais presque pas la différence, et j'aurais souhaité qu'elle me serre encore plus.

- Patience! Me dit Delphine. Ce n'est que le premier resserrage. Dans cinq jours, le dernier centimètre sera beaucoup plus difficile. Tu ne feras plus que 49cm de tour de taille et on pourra fêter ton passage sous la barre des 50cm.

Dans cinq jours… J'imaginais difficilement que je pouvais avoir la taille aussi fine en si peu de temps.

Cinq jours de resserrage à endurer et ensuite un repos pour m'habituer à ma nouvelle silhouette, ma nouvelle compression de mon ventre. Delphine ayant terminé d'ajuster mon corset, Ninon m'enchaîna de nouveau les chevilles par-dessus mes bottines, ensuite comme j'étais de nouveau bien corsetée, et enchaînée, elle me descendit sur mes pieds.

- Ho!

Heureusement que la barre de laçage descendait lentement. C'est avec beaucoup de maladresse que je tentais de poser les pieds au sol. Je n'arrivais pas à trouver la bonne position pour me tenir bien stable sur mes pieds. C'est Caroline qui dû me guider en me tordant les chevilles pour que la pointe de mes talons repose sur le sol en même temps que la pointe de mes orteils. Mes talons bien trop hauts me cambraient douloureusement la plante des pieds et ne me permettaient pas de trouver l'équilibre.

Je ne pus lâcher la barre de laçage qu'avec l'aide et l'appui de Ninon.

Je restais immobile, les pieds tremblants sur leurs talons bien trop hauts pour moi, les jambes fléchies pour soulager la cambrure forcée de mes pauvres pieds.

Delphine et Caroline souriaient en me voyant si peu sure de mon équilibre.

- Caroline dit à Delphine en riant: Je crois bien que notre petite protégée ait besoin d'apprendre à marcher, elle ressemble à un poulain qui vient de naître en équilibre précaire sur ces longues pattes.

- Ho oui! Dit Delphine. Il lui faudra beaucoup d'exercices et de leçons de maintien pour lui apprendre à mettre un pied devant l'autre sans perdre son équilibre, et encore plus de leçons pour qu'elle puisse se déplacer à petits pas hauts perchés, avec un minimum de grâce.

- Delphine ajouta à mon intention: Pamela, je te conseille de t'entraîner aux talons très hauts le plus vite possible. Profites que tu ne portes qu'un petit corset. Le jour ou je te ferais porter un corset plus long et donc plus rigide, il te sera bien plus difficile de garder ton équilibre sur tes hauts talons avec le buste droit et raide.

Il est vrai que j'avais une posture un peu bizarre, les jambes fléchies pour atténuer la cambrure des pieds et le corps penché en avant pour retrouver un peu d'équilibre. Ninon m'aida à faire un petit tour dans le salon. Un petit tour très lent, à petits pas limités autant par la chaîne reliant mes chevilles que par ces talons vraiment trop hauts. Delphine et Caroline m'encourageaient à me redresser, à tendre mes jambes, mais il m'était encore impossible de ne pas fléchires les jambes.

Caroline me demanda de m'approcher. Elle avait sorti d'un autre carton une série de jupons, tout blancs et ornés de volants dans le même style que les volants de mes pantalons. Même style mais plus large et sur toute la hauteur du jupon.

- Caroline dit à Ninon: Mademoiselle, vous devrez assurer l'habillage de Mademoiselle Pamela et je vous prie de suivre les instructions suivantes pour l'ordre dans lequel vous devrez Habiller Mademoiselle Pamela.

- Oui Madame. Répondit Ninon qui semblait inquiète en voyant tout le travail que mon habillage du matin allait lui demander.

- Caroline continua: Vous vous rappelez l'ordre de son habillage: La chemise de dessous, les bas tenus par des jarretelles, le pantalon de dentelle, le corset, et les chaussures pour terminer l'habillage à la barre de laçage. Ensuite, une fois Mademoiselle Pamela libérée de la barre de laçage, le premier jupon. Vous noterez que les jupons sont numérotés. Bien qu'ils se ressemblent et qu'ils sont tous largement garnis de volants de dentelle pour leurs donner du volume, le premier est plus court et descend jusqu'au sol, les jupons suivants sont de plus en plus longs de sorte à descendre également jusqu'au sol malgré leurs ampleurs de plus en plus grandes. Il y a sept jupons superposés pour la robe de jour ordinaire, treize jupons pour la robe du soir et encore plus pour la robe de bal. Par-dessus vous lui mettrez le cache corset. C'est un modèle spécial, dessiné par Madame Delphine. Il a beaucoup de dentelles très denses au niveau de la poitrine et est baleiné comme un corset. Il se lace dans le dos comme un corset de sorte à être au plus près de sa silhouette corsetée, et de ne faire que le minimum d'épaisseur sur sa taille.

Je n'en croyais pas mes oreilles, je pensais que seul mon corset serait resserrer, mais je devais subir des bottines avec des talons atroces et en plus toute cette superposition de jupons, de cache corset… Mais je vais étouffer sous autant de vêtements, je peux à peine marcher avec mes nouvelles chaussures mais si en plus je dois porter toutes ces choses en même temps, je ne pourrais sûrement plus bouger.

Caroline attachait mon premier jupon en montrant bien à Ninon comment nouer le cordon du jupon. Avec mes jambes fléchies, le jupon traînait un peu trop par terre et Caroline me demanda fermement de me redresser.

Les jupons s'accumulaient autour de moi, formant une corolle de plus en plus large qui s'évasait à partir de ma taille corsetée.

Après mes sept jupons, le cache corset qui recouvrait ma poitrine, qui était ainsi couverte pour la première fois, depuis deux semaines. Deux semaines les seins entièrement dénudés. Deux semaines qui m'avaient permit de m'habituer à ne plus porter aucun vêtement et… brutalement… cette accumulation de vêtements lourds et chauds…

Caroline et Delphine restèrent en ma compagnie toute la journée. Elles tenaient à m'observer dans mes nouveaux vêtements, à me faire faire des exercices de marche, à me déplacer avec ces jupons, à gérer leurs encombrements, à me tourner lentement sans faire voler ces jupons et risquer d'accrocher un objet, de le faire tomber… Apprendre à me déplacer dans des lieux encombrés avec grâce, délicatesse malgré le volume de mes jupons. Mais le plus difficile était de marcher. Marcher en étant perchée sur des hauteurs invraisemblables, sans voir mes pieds cachés par les jupons, et les chevilles enchaînées par une chaîne de quinze centimètres, le tout le plus gracieusement possible en me tenant bien droite.

J'étais intriguée par mes chaussures, et je me demandais quel pouvais être la hauteur de mes talons.

- Caroline. Dis-moi, mes chaussures ont des talons très hauts… Mais c'est la première fois que je porte de telles bottines. Peux-tu me dire quelle est la hauteur de mes talons s'il te plaît?

- Mais bien sur ma tendre Sophie. Ils font dix centimètres. Mais ne t'inquiète pas, tu t'y habitueras très vite et tu pourras en porter de biens plus hauts.

- Encore plus haut?

- Oui, mais ne sois pas impatiente, Chaque chose en sont temps. Aujourd'hui, il est plus sage de se limiter à dix centimètres. Plus tard tu auras des talons et des chaussures bien plus intéressantes. Mais avant il faut bien faire tes exercices de marche et acquérir une posture et une démarche plus élégantes.

La journée fut longue et le soir le bien venus. Ninon avait maintenant beaucoup plus de travail pour me déshabiller le soir et ce fut avec soulagement que je pus m'étendre dans mon lit, débarrassée de tous ces jupons encombrants.

Bien que mon corset ait été réduit d'un centimètre, je le sentais à peine et la nuit fut douce.

Lendemain matin. Branle bas de combat.

Il fallait être prête à neuf heures, et deux heures ne furent pas de trop pour prendre mon bain, sortir du bain attachée à la barre de laçage, dessous, pantalon, corset, bas, chaussures, ensuite mes chaînes de chevilles, ma ceinture métallique cadenassée, mes sept jupons et cache corset. Ouf! , Ninon était à bout de souffle, et moi solidement corsetée, perchée au sommet instable de mes talons, étouffant sous ces jupons et tous ces falbalas.

Delphine entra, elle aussi toute essoufflée. Elle avait essayé en vain de rattraper son retard. En fait, elle s'était dépêchée autant que son corset le lui permettait. Et son corset ne lui avait pas permis beaucoup tellement elle aimait être atrocement lacée.

Je dû reprendre place sous la barre de laçage. Vivement soulevée, mon cache corset enlevé. Delphine put ainsi me réduire la taille d'un centimètre supplémentaire. Ninon me relaça mon cache corset et enfin libérée de ma barre de laçage, les exercices et entraînements prévus pour la journée purent commencer.

Le lendemain fut plus calme. Ninon avait un peu plus l'habitude de mon habillage et Delphine était présente quand je me balançais doucement suspendue à la barre de laçage. Delphine me réduisit encore la taille d'un centimètre pour la troisième fois. Et je sentais mon corset me serrer vraiment plus fort.

Le quatrième jour, la réduction d'un nouveau centimètre avait été pénible, mon corset était beaucoup plus dur, la compression douloureuse, mon souffle s'était nettement réduit, et je crus bien me sentir mal quand Ninon me remis sur mes pieds. Les sept jupons et le cache corset ont eu raison de ma résistance, et je dus m'asseoir pour récupérer un peu.

La journée fut longue, je ne pouvais pas faire mes exercices de marche et de maintien complètement. Je devais très souvent arrêter et m'étendre une demi-heure avant de reprendre. Ninon devait m'aider à me relever, mon corset m'avait pris mes forces et mon souffle.

Le cinquième jour. Delphine me serra de nouveau, mais plus lentement, le cinquième centimètre fut le plus éprouvant. Mon corset me serrait durement, il avait acquit plus de rigidité par le serrage.

Descendu de la barre de laçage, j'avais dû prendre un peu de repos avant la suite de mon habillage.

Ninon et Delphine purent enfin m'habiller complètement de mes jupons et cache corset, mais cela me fut une épreuve pénible. Tous ces falbalas m'étouffaient avec un corset impitoyable qui me broyait le ventre et m'empêchait de respirer normalement.

-Courage Pamela "me dit Delphine"tu as réussi à atteindre quarante neuf centimètres de tour de taille. Maintenant, je vais te laisser récupérer un peu de force. Repose-toi bien. Nous reprendrons les exercices dans quelques jours…

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Mardi 12 janvier 2010 2 12 /01 /Jan /2010 19:36

                                                               SUITE DU LIVRE I

Elle m'agrafa un corset propre, du même modèle que le précédent, et entrepris de me lacer aussi serré que la veille.

 

- C'est plus facile de serrer le corset, quant tu es suspendue. La traction sur ton corps, allonge la taille et te fait naturellement rentrer le ventre. De plus, comme tu es en hauteur, cela m'évite de me pencher pour te lacer. N'oublie pas que je porte également un corset, un corset plus long que le tien et beaucoup, beaucoup plus serré. Hier, j'ai failli avoir un malaise en te laçant, parce que je devais me pencher un peu, et forcer sur la raideur des baleines de mon corset.

Elle devait pourtant prendre appuis avec le genou sur mes fesses, pour tirer de toutes ces forces sur les lacets, et je ressentais de nouveaux, la terrible pression du corset rigide, sur mon ventre. Mon estomac remonté, ma respiration de nouveau limitée. D'autant plus limitée, qu'étant suspendue par les poignets, le poids de mon corps m'empêchait de respirer librement par le haut de la poitrine. Et le corset me bloquait maintenant la respiration par le ventre.

- Maintenant que tu es bien lacée, la ceinture. Me dit-elle.

- La ceinture? quelle ceinture...

- Tu le sais parfaitement. La ceinture métallique de bondage. On en a discuté hier. Une ceinture cadenassée, pour t'aider à ne pas desserrer ton corset. Tu dois garder ton corset correctement serré en permanence,c'est ton supplice.

Delphine me présentait la ceinture de métal doré, ornée d'un entrelacs de lianes et de fleurs gravées dans le métal. Elle était plus haute devant et derrière, au moins dix centimètres de haut. Les cotés ne fessaient que trois ou quatre centimètres de hauts. Mais cette ceinture était très épaisse, ressemblant plus à une plaque de métal forgé qu'à un mince ruban. Elle se fermait dans le dos par une serrure spéciale, très plate et ne pouvait s'ouvrir que par une clef qui s'insérait dans l'épaisseur de la ceinture.

Delphine positionna la lourde ceinture sur ma taille réduite par le corset. Une série de petit clic métallique. Mon corset était maintenant cadenassé. C'est seulement à cet instant que je pris conscience de l'impossibilité d'enlever mon corset. Seule Delphine pouvait le desserrer ou me l'enlever suivant son bon vouloir. Elle seule contrôlait mon tour de taille et quoi que je fasse, la réduction de ma taille ne dépendait plus de moi. Delphine et mon corset étaient les deux seuls maîtres de ma taille. A cet instant, je me rendais compte que je ne pourrais plus contrôler ma silhouette. J'avais perdu toute responsabilité de la forme de mon corps et donc, je devenais esclave de Delphine et du corset qui me modelait... Delphine était une artiste. Elle travaillait comme un sculpteur, qui utilisait ma chair comme matière première. Mon corps deviendrait bientôt une oeuvre d'art, une sculpture merveilleusement modelée...

Le bruit du treuil me fit sortir de ma rêverie. Delphine actionnait le treuil de sorte que je puisse me tenir sur les pieds. Elle m'aida à me libérer mes poignets.

On était face à face. Elle me regardait intensément avec un léger sourire, observant mes réactions.

La ceinture était lourde sur ma taille, et je ne pouvais m'empêcher de la sentir avec les doigts, de la tâter, tester son serrage par-dessus mon corset.

- Oui Pamela"me dit Delphine"tu n'es plus responsable de ta silhouette. C'est moi qui en prend les commandes. Qui la modèlera. La réduira autant que j'en aurais envie. Inutile maintenant de te faire des soucis pour les progrès de ton entraînement. J'en suis seule responsable car la seule détentrice de la clef.

Les bracelets maintenant!

- Mais Delphine, avec cette ceinture, je ne peux plus me libérer de mon corset. Pourquoi les bracelets?

Delphine me fixa les bracelets aux poignets en me ramenant les bras dans le dos. Ils étaient très larges dans le même style que la ceinture avec les même gravures. Des bracelets lourds, réunis par une chaîne d'environ 20cm qu'elle fixa à un anneau arriére de la ceinture.

- Deux précautions valent mieux qu'une"me dit-elle"en fermant les serrures des bracelets. Et puis, ces bracelets te rappelleront mieux que la ceinture, que tu ne peux pas faire tout ce qui te passe par ta jolie tête d'esclave.

Les poignets enchaînés,bras ramenés dans le dos, portant un corset impossible de desserrer et encore moins d'enlever, je me tenais debout devant Delphine, le souffle court, les fesses et la poitrine à l'air.

Je me sentais d'autant plus nue, que le corset faisait sentir sa présence par sa pression, sa rigidité et son poids alourdi de la ceinture de métal, mais tout cela sans m'habiller, bien au contraire, le corset exposait plus impudiquement encore mes fesses, mes seins et mon pubis, en les faisant gonfler, en les montrant de manière plus provocante par contraste avec ma taille réduite.

Je me sentais nue, exposée,avec mes poignets enchaînés au dos ainsi que ma taille comprimée et rigide.Cela me rappelaient durement les contraintes et les limites de l'esclave sexuelle que j'étais devenue dans les mains de Delphine.

Elle s'éloigna en me disant.

- Je vais aller chercher Caroline, et je reviens de suite.

Je me retrouvais seule, debout, au milieu de la salle de bain, et je rejoignis la chambre.

En les attendant, j'explorais tous les recoins et les armoires de cette grande chambre. Beaucoup de tiroirs étaient fermés ainsi que les armoires.

En essayant d'ouvrir un tiroir en bas d'une grande penderie en m'accroupissant, mon corset m'a vite rappelée à l'ordre en m'empêchant de me courber. Je dus fléchir les genoux tout en restant parfaitement droite, sous peine de sentir les baleines me pincer. Me relever fut des plus difficile avec mes mains menottées dans le dos. Mon corset bien que pas très long, m'interdisait tout mouvement de la taille. Je ne pus me lever qu'en m'appuyant au mur et en faisant de grands efforts pour me soulever sans me plier, ce qui me fit perdre mon souffle déjà très limité.

J'abandonnais l'exploration des tiroirs décidément trop bas pour moi, et je m'assis bien droite sur un tabouret un peu haut le souffle court.

Delphine et Caroline, me découvrirent ainsi dans l'attente d'une soumise.

Caroline se tourna vers Delphine et lui dit.

- Mais Delphine, pourquoi ne porte-t-elle pas de chemise et de bas?

- Soit patiente, Caroline, les débuts avec un corset sont toujours pénibles, et puis avec son premier corset, on ne peut pas accrocher de bas. Laisse-la se reposer nue encore quelques jours. Juste le temps de s'habituer à rester corsetée en permanence et à sa nouvelle situation.

- Mais je venais avec ces chaussures à talon, et prendre ces mesures pour son trousseau.

- Tu peux prendre ces mesures"lui dit Delphine"mais attend un peu pour les chaussures. Ne lui faisons pas subir trop d'apprentissages difficiles en même temps.

- Bien, comme tu voudras, c'est toi la responsable de ces apprentissages. Je vais seulement prendre le minimum de mesures pour commencer son trousseau. Tu sais que Florence exige pour elle le trousseau le plus sophistiqué et le plus complet possible.

Caroline pris mes mesures, qui bien que minimal, étaient longues, minutieuses et très nombreuses. Je n'osais pas faire de commentaire, devinant que je venais d'échapper de peu à de nouvelles épreuves. J'espère qu'apprendre à marcher avec des talons sera moins pénible que l'entraînement du corset. Quoique cela dépendra vraisemblablement de la hauteur de ces talons...

 

 

 

VI

Vivre corsetée

 

 

Je portais ce corset depuis cinq jours maintenant. J'étais obligée de le porter toujours aussi serré, avec seulement une demi-heure de répits chaque matin durant la toilette.

Les trois premiers jours furent épouvantables. J'étais tellement moulue et ankylosée par le corset, que j'avais passé la plupart de la journée, immobile dans mon lit. La nuit, mon corset m'empêchait de dormir avec en plus les bras maintenus dans le dos par les chaines aux poignets.Durant les trois premiers jours, mon pauvre ventre avait été douloureux et dur à cause de ce serrage permanent,je mangeais souvent par petites quantités que ma donnait Delphine.

Ninon, une des aides de Delphine, venait de temps en temps me masser les jambes. Ce qui était pénible au début du massage. Cela me donnait de terribles fourmillements dans les jambes, qui s'estompaient lentement. Mais ensuite, quel plaisir. Comme ces massages devenaient doux et agréable, une douce chaleur revenait dans mes jambes.

Delphine m'avait imposé de nombreuses heures de repos, et je devais rester le plus souvent possible, couchée sur le dos,les mains maintenues aux hanches à cause des chaines, avec les jambes surélevées pour éviter des problèmes de circulation sanguine, les massages de Ninon avaient le même but.

Heureusement, depuis quelques jours, les douleurs de mon ventre, qui me donnaient l'impression de me tordre les intestins, c'étaient enfin atténuées.

Mon corps devait s'habituer et mes organes s'adapter petit à petit à la pression constante de mon corset.

En plus des massages et des longs repos, Delphine avait demandé à Ninon de me faire exécuter quelques petits exercices. Des exercices bien ridicules et loin de mes activités dans les bois avec mon ami Daniel. Daniel que je ne verrais probablement pas de sitôt.

Des exercices, enfin si on peut dire, marcher en rond dans la chambre en évitant de faire de grande enjambées, également m'asseoir et me lever, tout simplement. Enfin, avec un corset très serré, s'asseoir n'est pas toujours évident, surtout dans des fauteuils bas et sans pouvoir courber le buste, en restant bien droite.

Delphine s'était également occupée de mon régime. Ce régime n'était pas particulièrement spécial. Il était évidement léger, presque pas de féculent, mais très équilibré et varier, avec cependant quelque caractéristique: L'ensemble de ce que je mangeais en faible quantité n'était jamais fait de plat bourratif, Pas de grosse soupe, pas de plat copieux comme le cassoulet, la choucroute... Pas non plus de boisson gazeuse, de bière...

La différence la plus visible, était le rythme de mes repas. Huit repas par jour au lieu des trois traditionnels. Le premier à huit heure le matin et ensuite toutes les deux heures, des repas minuscules mais à un tel rythme que j'avais l'impression de manger en permanence et d'avoir l'estomac toujours plein. Avec la pression du corset sur mon ventre, cela me donnait une impression bizarre d'avoir trop mangé, d'être constamment rassasiée et d'être obligée de me forcer à chaque nouveau repas d'avaler péniblement chaque bouchée. De plus, je devais me forcer à boire un peu pour la digestion, mais le moindre verre d'eau me gonflait durement l'estomac sous mon corset qui m'étouffait un peu plus.

Septième jour. Je n'avais plus vu ma tante depuis mon entrée et Caroline une seule fois. Seul Delphine et son aide Ninon était en permanence à mes cotés. Mes excursions en dehors de mes appartements, se fessaient toujours tard le soir, en compagnie de Delphine dans le parc et sans jamais rencontrer d'autre personne.

Je me souviens encore de la deuxième promenade dans le parc. Delphine avait attendu qu'il fasse nuit noire, et qu'il n'y ait plus aucune pensionnaire dans le parc. Enfin, on sortis. Delphine marchait devant moi, sa silhouette incroyable se découpait dans les faibles lueurs de la nuit. Un trouble délicieux m'envahissait, un trouble accentué par ma nudité. Excepté mon corset court et bien serré, j'étais nue. Je ne portais que mon corset et une grande cape de soie, fermée uniquement au cou. Elle flottait autour de moi, me caressant par moment fugitif sur tout le bas du corps, pesant sur mes épaules. J'adorais la douceur de la soie glissant sur le corps, sa fraîcheur sa densité... Ces mouvements la rendait presque vivante.

Dans le parc, je sentais le vent léger soulever et entrouvrir la cape, me donnant une sensation de fraîcheur et de nudité. Une nudité qui devait se dévoiler par instants, chaque fois que les pans de la cape s'écartaient sans que je puisse les maintenir avec mes mains toujours attachées dans le dos. Mon corps nu par contraste avec ma taille enfermée durement sous le corset.

Un sentiment étrange de liberté ,de soumission et de sensualité tour a tour cachées et dévoilée fugitivement, comme par jeux avec le vent, la nature et les regards furtif de Delphine, et peut être... d'autres regards, plus discret, mieux cachés par la nuit. J'offrais ma nudité au parc obscur. Toute ma nudité, sauf mon ventre corseté, qui ne m'appartenait plus. C'était une promenade étrange, liberté et contrainte en même temps... Fraîcheur et sensualité... Regard lourd et amusé...

Une promenade troublante sans un mot, juste des regards, des regards plus bavards et plus intimes que les discours...

Je me souviens... De mon arrivée... De l'accueil par mes trois marraines... De la première fois que je portais un corset... De ma taille réduite de sept centimètres...

...

Delphine continuait de me lacer le corset, toujours à la même taille que le premier jour et il m'était devenu agréable de le porter. Je me sentais soutenue et j'aimais sa pression sur le ventre. Les désagréments des premiers jours s'estompaient dans mes souvenirs.

Deux semaines depuis mon arrivée au château. Deux semaines corsetée en permanence. Les journées passaient doucement, et je commençais à m'ennuyer. J'aspirais à de nouvelles découvertes, de nouvelles expériences. De nouvelles expériences autres que celle d'hier et de cette nuit.

Cela a commencé hier soir. Delphine m'avait déjà mis en garde plusieurs fois.

Hier donc, j'avais craquée devant un merveilleux dessert, j'ai même succombé deux fois devant un gâteau, un délicieux gâteau crème et chocolat.

Mais ensuite, mon corset c'était cruellement manifesté. Le gâteau m'avait fait gonfler l'estomac.

Des douleurs terribles dans le ventre, j'étouffais, et j'avais des sueurs froides dans le dos.

Avec ma ceinture cadenassée autour de la taille, il n'était pas question de relâcher les lacets d'un millimètre.

Ces douleurs et cet inconfort me minèrent toute la soirée, et Delphine avait refusé d'ouvrir ma ceinture métallique. Elle se moquait de moi.

- Quoi! Un petit gâteau, et te voilà incommodée à ce point? Que cela te serve de leçon! Je t'aime très fort, ma chérie, mais pour ton bien, il n'est pas question que je te libère, ni même te délacer d'un millimètre. Je crois que l'on va écourter la soirée, je ne pense pas que tu aies envie d'une promenade dans le parc ce soir. Au lit, et demain matin, un lavement devrait te libérer les intestins.

- Mais Delphine... ce sera encore pire... mon ventre n'y résistera pas... et je ne veux pas de lavement!

- Demain matin! Tu n'y échapperas pas. Moi-même, j'ai dû en prendre quelque fois et je peux t'assurer que je n'aime pas ça du tout, mais quand c'est nécessaire...De toute façon je vais maintenant t'attacher les mains aux angles du lit pour que tu reposes sur le dos et dans un mois les jambes également.Tu verras la jouissance de dormir offerte,cuissses écartées.C'est moi qui aurait les clés des cadenas de tes bracelets de cuir.

La nuit fut horrible, des sensations de nausées et des lourdeurs d'estomac. Mon corset me bridait terriblement, ralentissant ma pénible digestion et je me tordais impuissante avec ces entraves nouvelles.

Après cette nuit interminable, l'épreuve du lavement, toujours corsetée, à quatre pattes dans la baignoire de la salle de bain fut un supplice libérateur. Je présentais mon anus torturé à une grosse canule que Ninon m’enfonça rapidement me faisant me cabrer dans un long gémissement. Elle était reliée à une poche d’un demi-litre d’eau. Elle me fixa une poire d’angoisse dans la bouche. Je compris la raison car lorsqu’elle ouvrit le robinet mes cris de douleurs emplirent la piéce.La durée d'une demi-heure me sembla interminable pour que le liquide se vide dans mes pauvres intestins. Dés qu’elle me retira la canule mes intestins se libérèrent en de puissants jets. Mon ventre se contractait en spasmes rythmés par mes cris étouffés de libération des matières et du liquide. Le visage contre la baignoire ruisselant de larmes, mes fesses en l’air j’expulsait de mes entrailles tout ce qui tenaillait depuis le repas du soir par saccades incontrolées.

Je restais sans forces de longues minutes,mon anus en feu se contractant encore une dizaine de fois pour expulser les derniéres gouttes de liquide.

Ensuite, après quelque temps , Ninon vint m'aider à faire ma toilette. Elle m’attachait comme chaque fois, à ce trapèze, pour me soulever, suspendue par les poignets telle un pantin aujourd'hui.Ninon me délaça enfin le corset. C'était agréable et irritant en même temps de m’offrir sans défense le corps nu à Ninon qui avait tout pouvoir sur moi. J'aimais la fraîcheur le l'air sur la peau libérée pour de court instant du serrage de mon corset .Des picotements aux niveaux des bords du corset et des baleines, troublaient mon plaisir de la liberté retrouvée.

En manœuvrant le chariot, Ninon me poussa au-dessus de la baignoire et me fit descendre dans mon bain les mains enchaînées au-dessus de ma tête.

Après le bain, Ninon me souleva de nouveau en utilisant le trapèze de laçage. Elle me séchait et me massait le buste avec des crèmes adoucissantes et parfumées, insistant sur le ventre et les marques laissées par les bords du corset.

C'est Delphine qui me laçait fermement, chaque matin. Serrant jusqu'à retrouver le tour de taille qu'elle m'imposait depuis le premier jour de mon arrivée au château. Cinquante-quatre centimètres, et cela depuis deux semaines. Elle n'avait pas voulu me serrer plus, disant que la première période devait me permettre de m'habituer à porter un corset en permanence. La réduction de ma taille débutera quand mon corps sera adapté à cette première réduction de sept centimètres.

Delphine voulait une réduction rapide de ma taille, mais sa prudence lui commandais de ne pas brûler les étapes. Elle m'apprit que normalement, on ne dépasse pas cinq centimètres de réduction de la taille avec un premier corset. Mais également que si l'on voulait que l'épreuve du corset soit vraiment pénible, on pouvait réduire la taille brutalement de dix centimètres. Ce qui, pour une première fois, était utilisé comme une punition ou comme une épreuve particulièrement dure.

Quand Delphine eut terminé de serrer mon laçage et remis en place la ceinture métallique fermée à clef, elle me fit descendre sur mes pieds. Aussitôt que je libérais mes poignets des sangles du trapèze, elle m'enchaînait les poignets avec ces merveilleux, mais contraignants bracelets d'or. Ainsi cadenassée par la taille et les poignets, je ne pourrais pas me libérer de mon corset, ni même soulager un peu son serrage.

On revint ensemble dans le petit salon près de ma chambre, et Delphine, comme chaque matin, m'interrogeait sur mes sensations, mes éventuelles douleurs occasionnées par le corset ou, comment je me sentais après un repas, mes difficultés de digestion, avais-je des vertiges? Des essoufflements? ...

Elle inspectait minutieusement mon laçage plusieurs fois par jour, me surveillait en permanence, m'imposant le repos au moindre signe de faiblesse ou de malaise.

Quand je ne prenais pas un des multiples petits repas de la journée, toutes les deux heures, ou qu'elle ne m'inspectait pas dans le détail ou quand je n'étais pas allongée sur le lit avec les jambes surélevées pour la circulation sanguine... Enfin quand j'avais quelques instants, quelques minutes, Delphine me faisait faire des exercices. En fait, quelques mouvements simples, et Delphine notait toutes mes réactions et jusqu'où je pouvais les faire. Ces exercices étaient vraiment très simples, et pourtant, il me posait souvent des problèmes pour les réaliser. Delphine me demandait de me baisser en fléchissant la taille, sans fléchir les genoux. Quoi de plus simple, mais avec un corset, un corset court mais rigide. Mon mouvement de flexion était très limité. Et Delphine notait mes réactions, mes possibilités. Elle me faisait essayer de me courber sur le coté, et re-notait. Ensuite monter et descendre un petit escalier, demi-tour et je devais recommencer, elle notait mon essoufflement, le nombre de marches que je pouvais monter avant de devoir m'arrêter à bout de souffle. Je détestais ce dernier test qui me mettait en nage et m'asphyxiait.

Durant la journée, j'avais droit à d'autre sorte exercices ou, plutôt des cours de maintien.

Delphine me dirigeait elle-même pour ces premiers cours. Encore des exercices qui passeraient pour extrêmement simple sans porter un corset. Marcher avec élégance, à petit pas, les pieds placés l'un devants l'autre, comme si le chemin ne fessait que quelques centimètres de large. S'asseoir avec grâce, le buste bien droit, sans se laisser surprendre par le corset qui vous rejette en arrière une fois assise. Et bien sur se relever lentement sans effort apparent, malgré le corset qui vous empêche de fléchir le buste. Se retourner élégamment sans tourner la tête. Le buste ne pouvant tourner par rapport au bassin pour cause de corset rigide, c'est tout le corps qui doit se tourner en pivotant sur la pointe des pieds. Le moindre mouvement de la vie quotidienne devait être réappris, soit par la faute du corset, soit pour respecter les canons de la suprême élégance. Les "Merveilleuses Ladies Corsetées" ne sont pas seulement sévèrement corsetées, elles doivent être également des Ladies et même plus, de Merveilleuses Ladies.

Delphine m'avait prévenue que j'aurais un professeur de maintien, mais seulement quand j'aurais le droit de porter une robe ou une jupe.

Cette dernière remarque me rappelait cruellement que depuis mon arrivée au château, je ne portais qu'un corset, me laissant nue toute la journée,les seins et le sexe à l'air sauf pour la promenade le soir dans le parc. Des promenades troublantes nue sous une grande cape de soie,les mains menottées dans le dos m'interdisant de maintenir le tissu qui s'ouvrait au gré du vent,me caressant mon corps et mon entre jambe.

à suivre livre III

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Jeudi 7 janvier 2010 4 07 /01 /Jan /2010 19:11

Les aventures de Pamela

  En  souvenir de mon dressage

  I

Le grand saut

 

Cela devait finir ainsi, et j'en fus soulagée.

Trois clans devant le notaire dans l' étude, un notaire assez âgé et blasé, ou peut-être, professionnellement distant, ne voulant pas prendre parti pour quiconque.

Trois clans:

Mon père et ma mère, qui ne pouvaient plus me supporter, ayant perdu tout espoir d'avoir une fille jolie agréable et se tenant dans le monde, plutôt qu'un garçon manqué, préférant les esclandres avec ma mère, ou la provoquant sur la bourgeoisie bien pensante et les "belles manières".

Deuxième clan:

Ma tante qui détestait les manières et les idées arriérées de ma mère, qu'elle qualifiait de "petite bourgeoise de province sclérosée".

Il est vrai que ma tante Florence était très jeune, huit ans de plus que moi.

J'avais dix huit ans depuis un mois, ma tante n'avait que vingt six ans, et quelle classe, élégante, mince, une parisienne sophistiquée, comme une gravure de mode, mais en plus strict, moins "évaporée". Elle me semblait têtue, et sachant parfaitement ce qu'elle voulait. Et de fait, elle faisait souvent remarquer à ma mère son manque d'ambition, et de volonté face à son mari, et surtout, ces goûts lourds et vieillots.

Et moi dans tous cela, j'étais au milieu et le troisième clan à moi seule, et le nœud du problème. Mes continuelles disputes avec ma mère, les colères de mon père quand par hasard il daignait apparaître à la maison.

Et puis, je n'en pouvais plus de cette province triste, arriérée, de cette petite ville avec ces ragots minables, dans un petit cercle de notables avec leurs petites idées vieux jeux et leurs petites manies.

Je voulais partir, loin, dans une grande ville, voir le monde moderne, les soirées, les spectacles. Vivre libre, comme ma tante que j'admirais sans bien la connaître. Elle ne rendait jamais visite à sa sœur. Je me rendais bien compte que plus on est proche et plus on peut se détester.

Ce qui força ma mère à se décider, c'est la nomination de mon père dans une ambassade en Amérique du sud, au Chili... à moins que... je ne sache plus, mais loin de l'autre coté de l'Atlantique.

Ma mère tenait à l'accompagner, mais ne voulait pas que je quitte la France pour mes études.

La solution tomba toute cuite. Cette sœur parisienne qu'elle détestait. Pourquoi ne pas se débarrasser du fardeau que j'étais devenue? Cette sœur qui aimait tant sa liberté, une sale gosse sur les bras serait une belle vacherie à lui faire.

De plus, je leur avais fourni un prétexte en or pour me rendre personnellement responsable de leur "déchirante" solution. Comme à mon habitude, je m'étais éclipsée dans le parc pour rejoindre Daniel, mon copain de jeux.

Daniel et moi avons le même âge et beaucoup de chose en commun, notamment vis à vis de nos familles respectives. Il détestait également les réceptions, les ronds de jambe, la "Belle Société" et tout leur tra la la. Physiquement, c'était un garçon très vif, incroyablement souple, mais pas très grand et plutôt mince avec peu de carrure. On avait d'ailleurs la même taille et il m'avait prêté des vêtements lui appartenant qui m'allaient parfaitement et étaient bien plus pratiques pour jouer. Les robes que ma mère voulait que je porte me dégouttaient. Elles étaient tristes, lourdes, moches et encombrantes. Je me sentais beaucoup plus à laisse dans les vêtements de Daniel pour courir dans les bois.

Et ce jour là, il avait plu, nous n'étions plus très propres. J'avais entraîné Daniel par le grand salon pour éviter la salle à manger où se tenait ma mère. Mais j'avais complètement oublié cette réception donnée exceptionnellement l'après midi. Mère avait exigé ma présence pour rendre hommage à un préfet, ou un sous préfet, ou sous quelque chose qui nous rendait visite juste avant son train pour Paris.

Hélas-je fus présentée, Daniel aussi, mais pas vraiment dans la bonne tenue et pas très propre. Plutôt très dégouttant, notre irruption dans cette assemblée fit un grand silence, bientôt suivit par les cris de ma mère. La douce et délicate jeune fille que j'aurais dû être, n'était que ce garçon manqué sale hirsute. Mère m'emmena rapidement hors de la salle, Daniel avait fait demi-tour et s'était enfui vers le parc.

Mes parents m'avaient terriblement enguirlandés et plus encore... Ils m'avaient annoncé qu'ils se débarrasseraient de moi, renonçant à faire mon éducation. L'idée était de me jeter dans les bras de ma tante Florence. Ils partiraient ainsi la conscience tranquille et jubilaient du cadeau empoisonné fait à ma tante.

Bien sur mes parents m'avaient présenté comme un modèle de sagesse et de gentillesse, très féminine et douce, ne faisant jamais de bruit ou d'esclandre, toujours contente de tout, discrète et ne demandant qu'à rendre service. Une aide parfaite pour tenir son intérieur parisien, etc. cetera etc. cetera...

Inversez toute cette flatterie et vous aurez un portrait de moi un peu plus réaliste.

Les signatures furent vite expédiées.

Le notaire un peu surpris par le coté expéditif de cette affaire insista pour expliquer le contrat en termes plus simples.

Madame, monsieur" dit le notaire, s'adressant à mes parents"vous êtes conscients que vous abandonnez toute autorité parentale. Et vous mademoiselle Florence vous vous chargez d'un poids considérable, vous devrez subvenir au besoin de Mademoiselle Pamela jusqu'à son mariage, mais de plus, vous serez responsable de tous ces actes civilement et financièrement. Vous devrez aussi assurer son éducation. Ces parents légitimes vous donnent toute autorité pour décider ce qui vous semblera la meilleure direction et vous pourrez prendre ces décisions sans devoir en référer à quiconque. Cela vous donne un pouvoir absolu sur votre protégée, mais vous serez de ce fait seule responsable de son avenir ainsi que de ces actes.

- J'avais parfaitement compris maître" dit Florence.

Mes parents soulagés de se débarrasser d'un fardeau, jubilaient secrètement d'avoir chargé ma tante de ce poids.

Moi, ne disant rien de peur que cette chance de partir ne disparaisse avec le refus de ma tante.

Et ma tante, pourquoi souriait-elle? Serait-elle idiote de n'avoir pas compris?

Un truc ne marchait pas, c'était trop facile, et je vis ma mère sortir du bureau un peu perplexe devant tant de facilités, une telle absence de discussion. Tout avait été accepté, presque sans lire le contrat.

- Allons, Pamela, suis-moi.

- Mais ma tante, je ne peux pas, je n'ai rien emporté, je vous rejoindrais à Paris dans une semaine ou deux, je dois rassembler toutes mes affaires...

- Ne sois pas sotte Pamela, à partir de cet instant, c'est à moi seule que tu es confiée et tu dois m'obéir. Tu viens avec moi telle que tu es et maintenant.

- Mais mes affaires? mes... Ma tante, attendez...

Je me retournais, cherchais de l'aide... Mes parents déjà partis... seule... Il ne me restait plus qu'à la suivre. J'avais ce que je voulais, mais aussi beaucoup d'appréhensions et mon cœur battait fort...

Le voyage fut long. J'étais tellement fatiguée que cela ne me surprenait pas. Le soir, on arriva enfin à Chantilly, près de Paris, devant une belle grille très ouvragée, fermant un domaine entouré de hauts murs de pierres de France.

Ma tante hésita puis fit signe au chauffeur de suivre le chemin le long du mur. On s'arrêta devant une poterne de fer encastrée dans le mur d'enceinte.

- Descendez et attendez. Quelqu'un va venir vous chercher. Vous n'êtes vraiment pas présentable avec cette robe. J'aurais honte de vous devant mon personnel de maison. La moindre de mes servantes est bien plus élégante que vous.

Elle fit demi-tour et je restais là, seule devant cette poterne fermée. Le soir n'allait pas tarder, la lumière baissait doucement. Il faisait encore clair, mais les ombres devenaient plus denses, je ne pouvais plus distinguer cette poterne dans le noir maintenant, cette ouverture dans le mur ressemblait de plus en plus à l'entrée d'un tunnel. Le froid passait sous ma mini jupe et mon string ne protégeait mon sexe. Une envie d’uriner m’avait prise.

Un bruit de métal rouillé, suivit d'un grincement sourd. Un visage apparu, sortant juste de l'ombre.

- Suis moi dit le visage.

Dans le parc, seul un bout de prairie était encore éclairé. Sous les arbres, il faisait déjà nuit.

On marcha un moment, traversant un pré et ensuite un chemin très sombre dans les bois, je suivais de plus près cette dame qui me guidait avec cette envie folle d’uriner.

Une petite clairière et un bâtiment assez petit, sans étage. Un refuge de chasse un peu kitsch, avec un escalier fait en imitant des troncs d'arbre, des murs de pisé. L'intérieur rustique, grosse table de bois brut, grande cheminée de pierre, et des trophées de chasse accrochés aux murs lambrissés. Cela me semblait chaud et confortable, des fourrures épaisses étaient étendues sur plusieurs fauteuils, et d'épais tapis de laine un peu partout sur le sol.

La dame me laissa seule sans un mot, sans explication .Je courus au WC et j’écartait mon string pour me soulager de mon envie pressante.

C'était petit et j'eus vite fait de trouver la seule chambre du refuge.

Me coucher aussitôt, trop fatiguée pour explorer d'avantage le lieu, ne prenant pas garde au fers fixés aux murs considérant que c’était un reste de l’ancienne ferme pour attacher les bêtes.

II

Journée initiatique à Chantilly

 

J'avais passé cette première nuit dans un ancien refuge de chasse isolé, dans le parc. Ma tante m'avait refusé l'entrée du petit château sous prétexte que je n'étais pas prête ni suffisamment présentable.

C'est bien après neuf heures qu'une servante du château m'apporta le petit déjeuner. J'étais affamée et le petit déjeuner très raffiné était malheureusement bien léger. Flore, la servante me dit que Madame viendrait me chercher dans une heure.

J'avais depuis longtemps fait ma toilette et habillée avec les seuls vêtements que j'avais pus emporter de Mende. Le déjeuner était tellement léger qu'il fut vite expédié et l'attente fut d'autant plus longue, attisée par ma curiosité de découvrir mon nouvel univers...

Trois femmes s'approchaient, en robe de dentelle blanche, très étroites et s'évasant depuis les mollets, fessant une petite traîne, elles étaient vraiment élégantes avec de grands chapeaux blancs tout en dentelles, trois silhouettes longilignes, à la taille mince s'approchaient lentement...

Ma tante me présenta.

- Mesdames, je vous présente Pamela , qui je l'espère ne me décevra pas. Pamela je te présente mes deux associées, Miss Delphine notre corsetière, et Miss Caroline notre styliste. Je te montrerai ta chambre dans le château, cet après midi, mais avant, tu dois passer par une initiation. Rassure-toi, rien de très difficile, mais tu devras faire un choix définitif qui sera d'une grande importance pour ton avenir.

- Suis-nous!

Je les suivais dans le parc durant presque un quart d'heure, elles avançaient très lentement à tout petits pas, et elles s'arrêtaient parfois quelques instants.

Dans un petit bois, une clairière isolée et calme, au centre un cercle de colonnes, et au milieu de ce cercle, une grande dalle de pierre sur là quel était monté un bûcher prêt à être enflammé.

Florence, ma tante, pris la parole d'une manière un peu trop solennelle.

- Pamela, si tu désires vivre avec nous, tu devras te plier aux règles de notre petite société, qui promet la recherche de l'élégance, la culture de la silhouette et du maintient. Tu devras toujours être parfaitement habillée suivant les canons de beauté de notre société, être parfaitement propre, parfumée, coiffée, et maquillée. Respecter les règles de maintient et de bienséance, être à chaque instant gracieuse, féminine à l'extrême, toujours parfaitement élégante. Tout cela devra être scrupuleusement respecté, quel qu'en soit les difficultés ou la gène, ou même les souffrances.

Nous te dresserons à devenir la plus élégante et la plus attirante des femmes dans les soirées et les bals de Paris.

- Pamela : acceptes-tu notre aide?

- Oui ma tante. Dis-je timidement.

Mais pourquoi accepter si facilement ce que j'avais toujours refusé à ma mère! Peut être parce que ma mère avait toujours critiquée l'élégance "tapageuse" et trop à la dernière mode, de ma tante.

- Bien. "dit Florence". Pour marquer ton adhésion et l'abandon de ta vie ancienne, tu vas te déshabiller complètement et mettre tes vieux vêtements sur le bûcher!

- Ho ma tante, je ne peux pas me mettre nue en pleine nature et devant vous trois.

- Ne craint rien, ma chérie, tu vas être dressée nue pendant plusieurs mois. Ton sexe sera vu par toutes les filles. Elles ont connu cela accompagné de souffrances liées aux tortures sexuelles que tu vas subir . Cette clairière est parfaitement isolée.

- Mais je ne veux pas rester nue.

- Quand tes vêtements seront brûlés, on te mettra tes chaînes d’esclave, les seuls vêtements autorisés seront tes hauts talons

- Mais devant vous, ...

- Ne soit pas timide, nous allons vivre ensemble dans une grande intimité, tu verras quand tu t’offriras cuisses écartées devant nous toutes. Toutes les trois, nous serons beaucoup plus que des amies pour toi, nous sommes comme trois marraines très intimes et rien de ce que tu veux garder secret ne sortira de notre petit cercle. Considère-nous comme trois sœurs et confidentes. Ce petit rituel nous liera comme les doigts de la main, nous te devrons aide et assistance, tu pourras nous confier tes secrets et tes problèmes les plus intimes, en toute sécurité, et nous te promettons de faire tout ce qui est possible pour te venir en aide. C'est un pacte sacré que l'on te propose.

- J'accepte. J'avais dit cela en les regardant droit dans les yeux, et elles m'avaient souris avec une infinie gentillesse.

Florence intervint encore.

- Avant, sache que la formation que tu suivras sera très dure et parfois vraiment pénible. Tu subiras de nombreuses épreuves, des supplices horribles pour femmes et parfois insupportables, mais toujours avec le but final de faire de toi une femme suprêmement élégante et raffinée.

- Oui ma tante. Oui mes marraines. Oui j'accepte que vous me preniez en mains et d'être transformée en une femme la plus élégante et sophistiquée qui soit.

Je m'approchais du bûcher. Lentement un à un mes  vêtements étaient jetés sur le sommet du bûcher. J'hésitais à lancer mon tee shirt qui me couvrait les seins et hésitait encore plus longtemps avec mon string qui révélerait mon sexe , après je serais entièrement nue... pour combien de temps et avec quelles souffrances….. je finis par le retirer rapidement comme on se jette à l'eau.

 Caroline me tendit une torche allumée. Je regardais pour la dernière fois mes vêtements... ensuite, je... je me retournais et regardais mes trois marraines. Elles me regardaient , et manifestement ne voulait pas me forcer la main. Le feu allait me faire basculer dans un monde nouveau. Mon geste fut hésitant puis... ma décision prise quoi qu'il m'en coûte-je mis le feu au bûcher. La paille sous les fagots fit brutalement une grande flamme et le feu devint très vite intense on du se reculer tant la chaleur était forte.

Ma mini jupe, mes sous-vêtements, mes chaussures toutes mes affaires disparues dans les flammes. C'était un choc de voir disparaître aussi vite et violemment ma vie passée. Mes trois marraines s'étaient rapprochées et me consolait par de douces paroles et une chaude présence. Maintenant, je sentais vraiment contre mon corps, mon cœur, leurs présences réconfortantes, maintenant j'avais quitté mon enfance pleine de fureur et de révolte, j'étais avec elles, je les avais rencontrées, on se comprenait sans devoir parler, seulement en se regardant, en se touchant.

Elles me ramenèrent les mains dans le dos et me fixèrent des chaînes aux poignets reliées aux chaînes des chevilles. Un collier métallique acheva ma tenue d’esclave. Mes marraines prirent la chaîne du collier et m’entraînèrent à travers le parc. J ‘étais morte de honte à marcher nue dans un bruit de chaînes

On partit tous les quatre ,moi derrière elles en nous dirigeant vers le château. La douceur de ce matin de septembre, le calme du petit bois, et le lent cheminement qui nous rapprochait sereinement du château. Quelle sérénité... Une chaleur me remplit le sexe à cette idée de m’abandonner ainsi

- Ma toute douce. Me dit Caroline. Nous venons de passer un moment merveilleux, mais les autres moments seront moins agréables, je dois te prévenir que certaines contraintes te seront imposées. Les mêmes contraintes que nous subissons et qui sont le prix à payer, un prix qui peut être léger et parfois insupportable, à condition de s'avoir apprécier certaines choses qui pourraient à priori sembler pénibles.

- J'espère." me dit Delphine." que tu aimeras la sensation d'être bien serrée et maintenue dans un corset. Certaines ne peuvent le supporter, elles doivent être attachées et seules quelques-unes y trouvent un réel plaisir et même une excitation délicieuse de se serrer de plus en plus. Tu peux compter sur moi pour t'aider à aimer le port du corset. Je t'assure que cela est vraiment merveilleux, à condition de suivre certaines règles.

- Ne craint rien. Me dit ma tante. A certains moments  un peu pénibles tu serras attachée pour passer un mauvais cap, cette torture te transformera en une délicieuse jeune femme.

Coté jardin du château, il y avait un double escalier d'apparat menant à une grande terrasse. A ma surprise, mes marraines me conduisirent sur le coté de la terrasse. Une petite porte en contre bas donnait sur un couloir étroit. Des portes à gauche et à droite, ont pris un escalier en face, ma tante devant, Delphine et Caroline me suivaient. Un palier avec d'autres portes et encore un escalier, mais à cet instant, Florence s'arrêta, Delphine et Caroline semblaient à bout de souffle. Quand Florence se tourna vers moi, je vis sa poitrine se soulever à un rythme rapide, elle aussi était à bout de souffle. Leurs respirations me semblaient bizarres, leurs bustes ne se gonflaient pas et restaient rigides, seul le haut de leurs poitrines se soulevaient.

Quelques minutes plus tard, on repartit, mais encore plus lentement pour s'arrêter de nouveau à un mètre avant d'arriver à l'étage. La pose fut longue. Enfin on repris la montée, quelques mètres dans un couloir, et on entra dans une pièce. Mes trois marraines me semblaient vraiment à bout de souffle, chacune se reposant en s'appuyant, l'une contre un meuble, l'autre contre la porte et ma tante, dos contre le mur, me faisant face. Elle me dit:

- Tu comprendras bientôt pourquoi on est si vite essoufflée, Delphine t'expliqueras, rassure-toi, rien de grave, une chose normale dans notre situation, qu'il faut savoir accepter.

Nous sommes dans la salle d'habillage et de dressage que tu utiliseras, il y en a plusieurs dans le château, une salle pour plusieurs chambres, mais celle ci ne sert que pour deux chambres et la deuxième est inoccupée en ce moment.

- Nous allons te préparer pour ta première nuit et t'habituer aux règles de notre société. "me dit Delphine.

Dans cette pièce sans fenêtre, un mur était recouvert de miroirs, les deux murs de chaque coté du grand miroir étaient cachés par de grandes penderies et armoires à tiroirs, une grande table allongée disposée dans un coin et dans l'autre coin une coiffeuse sans miroir avec un fauteuil de coiffeur placé devant, quelques sièges, plusieurs psychés et des mannequins sur des pieds tournés, prés d'une armoire, un porte-cintre monté sur roulette. Bien que très encombrée, la salle étant assez grande, il restait un grand espace entre la longue table et la double porte du couloir.

- Ta chambre est là me dit Caroline en me montrant une double porte. Et cette double porte au milieu donne sur le grand couloir.

Il y avait trois doubles portes, et une porte simple par où on était arrivées.

- Approche! Me dit Caroline. Nous allons te préparer. Ici, certaines règles minimum concernant l'habillement doivent être respectées, même quand tu seras seule dans ta chambre

-Ces premiers mois"continua Florence" tu seras en hauts talons et tu ne seras autorisée à porter qu’ un string et un soutien gorge exceptionnellement. Le corset te sera appliqué continuellement et serré régulièrement. La croix de Saint André sera ton lit pour de longs mois. Tu seras attachée toutes les nuits jusqu’à ce qu’on juge ta silhouette satisfaisante. Si tu hurles une poire d’angoisse te refoulera tes cris dans ta gorge. On est passée toute par là. C’est horrible d’être cuisses écartées mais on s’habitue , pas aux souffrances des chaînes et du corset dans les phases de serrage qui durent parfois 8 jours avec des douleurs de ventre lorsque tes organes doivent se mettre en place.

 

 Entièrement nue devant mes trois marraines, mes amies de cœur, elles ouvrèrent le rideau du fond de la chambre et j’aperçu horrifiée une croix de saint andré et une croix.

Ce seront tes futurs compagnons de souffrance, la crucifixion pour les punitions et la croix de saint andré pour les serrage de corset. Tu vas goutter dés ce soir à la croix de saint andré. Tes marraines t’ont préparer tes bracelets de cuir épais équipés de cadenas. Aucune fille n’a jamais réussit à s’en échapper, dit ma tante

Aussitôt dit aussitôt fait je fus poussée et installée sur la croix de saint André, sanglée aux chevilles, cuisses, taille et poignets.

J’étais honteuse d’être offerte nue à la vue, mon sexe était devenu humide à cette idée. J’essayais de tirer sur mes bracelets sans effet, le cuir était solide. Je comprenais pourquoi aucune fille n’avait pu s’échapper. Je me faisais à l’idée de m’abandonner à mes bourreaux.

-Tu n’auras pas le bâillon cette nuit, pour la première fois il faut que tu t’habitues à ta nouvelle condition. Tes marraines passeront dans la nuit te voir mais je te préviens malgré tes supplications tu ne seras pas détachée, c’est moi qui est la clé des cadenas. Bonne nuit Pamela

Elles sortirent en laissant une lampe allumée. Je me voyais dans la glace ainsi écartelée nue. Que penseraient mes copines que j’ai laissées moi qui étais un garçon manqué ? Les douleurs dans les bras se faisaient sournoises. Je n’avais pas beaucoup de possibilités pour me soulager. J’entendais les longs hurlements d’une femme dans des chambres plus loin. Ils revenaient régulièrement par cycle. Que nous faisait-on sans que je le sache .Mes pensées se brouillaient dans ma tête .J’avais aussi envie de hurler.   Progressivement mon corps s’engourdissait, ma tête vacillait de droite et de gauche puis je perdis connaissance. Je fus réveillée par Carole qui s’inquiétait de mon état d’abandon. Elle me caressa le sexe et commença à me masturber.

-Tu verras,tu vas comme, nous t’habituer à ces tortures.

-Je n’en peux plus, Carole.

-Je ne peux rien faire, te donner un peu d’eau pour te soulager et tu doit attendre jusqu’au matin. Je connais, j’ai été dressée comme toi pendant une année.

-Mais ce n’est pas possible, c’est inhumain crie-je

-Si, personne ne viendra te délivrer, tu devras subir ton dressage sexuel comme nous toutes ici

Je me mis à pleurer doucement, impuissante à me sortir de cette position ignoble. Carole repartit silencieusement et me laissa exposée.

Je m’évanouis à nouveau de douleur. La lumière du matin me réveilla ainsi que les douleurs dans mes bras que je n’avais plus la force de remuer. J’étais offerte à mon destin.

Ce fut Carole qui entra au bout d’un temps interminable avec les clés de mes bracelets. Par la porte je vis dans le couloir porté sur l’épaule d’un garde le corps nu inanimé de la fille qui avait crié toute la nuit. Ses poignets étaient ramenés dans le dos, des bracelets métalliques reliés par une courte chaîne maintenaient les bras dans le dos. Il en était de même aux chevilles. J’ai reconnu de suite Isabelle à ses longs cheveux blonds. Sa tête se balançait doucement au rythme des pas.

-Il l’emmène dans la salle des corsets. Elle avait refusé hier d’obéir. Elle sera suppliciée ainsi sexuellement toutes les nuits pendant un mois. Cela se terminera par la crucifixion. Rassures toi elle sera descendue de la croix dés la survenance de l’agonie très longue des crucifiées qui précède la mort. Ses souffrances seront extrêmes, beaucoup demande à être tuer. C’est très dur pour une aussi jeune fille de 20 ans  mais c’est la règle pour nous toutes. Ses hurlements vont calmer les autres car cela nous rappellera les règles de la soumission totale. Tu la verras à chaque repas dans une alcôve, nue, le cou pris dans un collier métallique relié par une chaîne courte au mur. Elle nous suppliera de lui donner à manger et à boire. Mais celles qui lui apportent de la nourriture subissent une punition horrible. Elles sont pendues mains liées dans le dos, leurs pieds reposant sur un bloc de glace qui fond lentement pendant la durée du repas. J’en ai vu une le mois dernier qui a paniqué sur la fin, ses pieds glissaient sur la glace et elle est morte au dessert pendue devant nous en silence, seuls quelques cris rauques se sont échappés de sa gorge dans les ultimes contorsions pendant que nous finissions notre repas. J’en frissonne encore de ne pas avoir pu l’aider.

Carole me fit enfiler une chemise de dessous, bien galbée sur le corps, avec un grand décolleté bouillonnant de dentelles blanches, et laissant le haut de la poitrine découvert. Cette chemise s'arrêtait sous les aisselles. Elle était retenue par deux bretelles brodées avec de la dentelle. Le bas de la chemise, également richement orné de dentelles. Autant le haut et le bas étaient denses de multiples petits volants de dentelles, autant le milieu de la chemise couvrant le buste était simple, fait d'un coton épais bien que très doux sur ma peau.

Ensuite un pantalon de dame fendu, largement fendu loin devant et loin derrière, le haut couvrant mes hanches sans fioritures, bien tendu sur mes fesses. Mais plus bas, sur mes cuisses, une débauche de volants et de dentelles, tous ces volants me fessaient des hanches très amples et toutes gainées d'une mousse légère de dentelle. Ce pantalon se serrait en haut avec un fin ruban et il se fermait également aux genoux par un très beau et large ruban de soie rose fermé par un joli nœud sur le coté.

- Tu es très belle, me dit Florence. Ces merveilleux dessous te change complètement. Tu comprends pourquoi je ne voulais pas que l'on te voie affublée des horribles vêtements que tu as brûlés ce matin.

- Vraiment adorable. Dit Delphine. Maintenant, l'accessoire indispensable, celui que nous avons toutes désiré et craint en même temps, celui que tu ne devras plus jamais quitter. LE CORSET

- Un corset! Je dois vraiment porter un corset? S'il te plaît ma tante, j'aimerais mieux ne pas porter de corset.

- Allons Sophie, je t'assure que le corset te fera le plus grand bien et regarde nous, regarde comme le corset nous donne des silhouettes merveilleuses. Tous nos corsets sont fabriqués sur mesure dans les ateliers de Delphine. Ils sont très confortables. On est tellement mieux quand ont est bien serrée dans un corset. Je suis sûre que tu adoreras sa douceur mêlée de fermeté. Le soutient qu'il te donnera et cette sensation merveilleuse quand ont le serre, qu'il nous pétrit plus fort et nous rend suavement faible... Seul un corset bien serré permet d'avoir la taille aussi fine et minuscule, lui seul nous donne cette silhouette ahurissante. Tu verras comment les hommes nous regardent et les regards envieux et admiratifs des femmes.

- Mais cela n'est-il pas parfois douloureux? Demandais-je.

Mais non. Dit Delphine. Bien sur au début, il y a quelques moments un peu pénibles, mais ensuite, on ne peut plus s'en passer. Tu verras, après une période d'entraînement, ou tu apprendras à aimer le serrage du corset et à t'habituer à être continuellement bien serrée, tu nous demanderas des corsets encore plus étroits, de te serrer encore plus pour avoir la taille encore plus fine, plus étranglée et plus attirante.

- Ho Delphine, tu me fais peur. Je ne suis pas sûre d'aimer me serrer à ce point. Pourtant... vous êtes toutes les trois tellement belles, vos silhouettes incroyables me font envie, j'aimerais essayer, mais je n'ose pas... Florence, si j'essaye de porter un corset, pourrais-je abandonner si je ne le supporte pas?

- Nous t'avons bien observées, et je suis certaine que tu adoreras te serrer la taille. Mais il voudrait mieux pour nous toutes que tu réussisses à le porter très serré, sans cela, tu ne pourrais pas porter la robe que l'on prépare pour toi et je ne pourrais pas te présenter dans notre société. Cela implique que tu serais obligée de quitter le château. Et le contrat que j'ai passé avec ta mère m'obligerait de t'envoyer dans un couvent jusqu'à ta majorité. Je t'en prie, ma tendre Pamela, même si c'est un peu difficile, porte ce corset, j'ai vraiment les bonnes sœurs en horreur, quel gâchis ce serait.

- Je te promets de faire tout mon possible. Disais-je un peu naïvement.

Pendant que Delphine déballait délicatement mon futur corset, je regardais plus attentivement la silhouette vraiment ahurissante de ma tante. La robe qu'elle portait, mettait sa taille de guêpe en valeur, une taille incroyablement minuscule, une taille qu'elle avait cachée durant la signature chez le notaire et pendant tout le voyage. C'était impressionnant, elle était comme coupée en deux, ces hanches paraissant plus amples par contraste et sa poitrine lourde au-dessus d'une taille aussi fragile, délicate, mince, tellement mince, tellement fine... Un rêve de délicatesse. Je ne pouvais m'empêcher de tâter ma propre taille encore libre de toute entrave. Voyant cela, Florence me prit par les poignets et me fit tâter sa taille minuscule, elle était rigide et dure, mais surtout cela me fit un effet extraordinaire, comme un grand frisson dans le dos, en m'apercevant que je pouvais pratiquement entourer sa taille complètement dans mes mains, mes pouces et mes index se touchant. Cela me paraissait impossible, je ne pouvais m'empêcher de la tenir ainsi dans mes mains, la caressant, sentant la chaleur de son ventre sous le terrible corset.

- oui"me dit-elle"il y a longtemps que je m'entraîne à réduire ma taille, elle est plus fine que mes cuisses. Tu verras, toi aussi tu vivras cette exaltation de voir ta taille se réduire petit à petit. Un mélange d'excitation et de sensations délicieuses, avec aussi quelques souffrances et de nombreuses contraintes.

- Mais, quel tour de taille a-tu? C'est ahurissant une pareille silhouette!

- En ce moment, je ne fais plus que trente huit centimètres, mais habituellement je ne me serre qu'à quarante et un centimètres. Je me suis serrée comme pour une réception, pour te faire honneur. Caroline également s'est serrée au maximum pour toi. Elle fait quarante centimètres de tour de taille. Mais aujourd'hui, Sophie n'a pas voulu se serrer aussi fortement. Elle doit garder des forces pour qu'elle puisse te lacer bien serrée.

- Je ne savais pas qu'il était possible de descendre en dessous de quarante centimètres, aucune de mes sœurs ne fait moins de cinquante huit centimètres. Seul Miriam, une fille des amis de mes parents c'est vantée de ne faire que quarante huit centimètres. Mais je suis certaine qu'elle m'a mentit, même si elle est très mince, plus mince et plus petite que moi.

- Je suis certaine"me dit Florence"que tu auras bientôt une taille plus fine que cette fille.

- Mais toi Delphine, quel est ton tour de taille? Tu me semble presque aussi fine que ma tante?

- Elle te l'a dit. Je n'ai pas voulu me serrer au maximum. Si non, nous avons le même tour de taille, trente huit centimètres, corsetée au maximum.

- Mais"demandais-je"comment pouvez-vous supporter des corsets aussi étroits? Ils doivent être horriblement serrés, je mourrais sûrement étouffée si je me laçais ainsi!

Ma tante m'expliqua:

Il m'a fallut plus de quatre ans d'entraînement intensif pour arriver à ce résulta, et je portais des corsets depuis l'âge de dix ans. Mais seul un entraînement intensif et permanent peut donner de tel résultat. Un entraînement souvent très dur et toujours contraignant, scientifiquement mené, et sans jamais de relâchement. C'est le seul moyen, mais quel bonheur quand on se voit dans le miroir, et puis le laçage extrême du corset te donnera aussi des sensations délicieuses. Tu te sentiras soutenue, pétrie, massée, et également après s'être resserrée encore plus, tu goutteras au merveilleux vertige, comme après une boisson trop forte. Il te faudra alors, chancelante, t'asseoir si tu le peux ou t'étendre, et le soutient de ton corset te sera alors vraiment indispensable.

 

 

 

 

III

Le corset

 

Je rêvais de silhouettes merveilleuses, incroyablement fines, d'une corsetière émerveillée par ma taille de guêpe, d'une soirée ou toutes les femmes seraient jalouses et admiratives devant ma silhouette étranglée, la plus fine... la plus...

Mais pour cela, il me faut suivre ce terrible entraînement. Le supporterais-je? Bien sur, il me faudra faire beaucoup d'efforts pour obtenir cette silhouette. Je suis prête à subir cette épreuve. Mais ce qui m'angoisse vraiment: Est-ce que j'aimerais la sensation d'être serrée dans un corset rigide?

C'est Delphine qui me sorti de ma rêverie.

- J'ai choisi. Dit-elle. Pour ton premier corset, un modèle assez court, pas trop étranglé à la taille, et très confortable.

Delphine me montrait le corset. Il était de soie rose, un peu vive, brillant, avec des broderies soulignant le léger renflement fait par les baleines épaisses. Des baleines qui me semblaient très nombreuses et fort larges. Le busc devant particulièrement large, épais. Il devait être vraiment très rigide. Ce busc était d'ailleurs incurvé, creusant le ventre.

Florence se tenait derrière moi et tendait ma chemise de sorte qu'elle ne fasse pas de plis sur mon ventre, pendant que Delphine avait fixé la deuxième agrafe du busc. Elle me dit de rentrer le ventre, et se servant de cette deuxième agrafe comme d'un pivot, elle rapprocha les deux bords du busc et attachât toutes les autres agrafes du busc.

Le corset était largement délacé, et pourtant, le busc particulièrement rigide me faisait rentrer le ventre de force, et me comprimait déjà l'estomac.

Ce premier corset n'était pas très long, partant de dessous ma poitrine et s'arrêtant sur le haut de mes hanches, mais comme il est rigide et étranglé au niveau de la taille.

Il était équipé de quatre jarretelles. Je n'avais pas encore de bas, mais avec mon pantalon de dentelle, je ne voyais pas comment les utiliser sans écraser ces délicates dentelles. Caroline devina sûrement ma perplexité. Elle me dit.

- Tu verras ma tendre chérie. J'ai créé ces sous-vêtements avec quelques modifications. Il y a dans le pantalon de dentelle, des passants qui te permettront d'attacher tes bas sous le pantalon sans le froisser. Ce n'est peut être pas très traditionnel, mais tellement plus élégant.

- Tourne-toi! Me dit Delphine.

Et je fit face à Florence qui me tenait contre elle et me soutenait, pendant que Delphine entreprit de serrer les lacets. Elle tirait sur les croisillons formés par les lacets, en partant du haut vers la taille et ensuite du bas, toujours en finissant par la taille, et encore... et encore... Elle recommençait me serrant à chaque fois un peu plus. Le corset devenait plus rigide à mesure qu'il me serrait plus fort. Ma respiration avait changée, limitée par le corset, plus courte, déjà un peu haletante...

- Aujourd'hui, je ne vais pas trop te serrer. Me dit Delphine. Je pense qu'il est préférable que tu t'habitues à être corsetée durant quelques jours, avant de vraiment commencer ton entraînement. Souffle bien à fond et retiens ta respiration!

Et lui obéissant, je soufflais à fond, vidant mes poumons et creusant mon ventre.

- Hooo!

Delphine venait d'exercer une formidable traction sur mes lacets.

- Hoo!!

Le corset se réduisit brutalement...

- Ho!!! comme tu me serres...

Je voulus reprendre mon souffle pour terminer ma plainte, mais le corset était maintenant trop serré pour me le permettre.

- Ho! ... Delphine... pas autant...

- Voila! Dit Delphine. Cela suffit pour une première fois.

- Mais, ça me serre vraiment très fort.

Ma tante me soutenait par les bras et m'emmena vers le canapé.

- Assied toi. Me dit-elle. Doucement.

J'essayais de me baisser pour m'asseoir, je me sentais faible, mon corset trop serré et vraiment très rigide me bridait terriblement.

- Ho... Florence, aide-moi, je ne peux plus me baisser, je sens que je vais m'écrouler.

- Caroline! ... Vite! ... Vient m'aider à la faire asseoir.

Et Florence à ma droite, Caroline de l'autre coté, elles me soutenaient pour que je puisse m'asseoir doucement, le buste raide. Ce corset me bridait beaucoup plus que je n'avais pu imaginer. Enfin assise, il me semblait qu'il serrait les hanches encore plus et me remontait les côtes, m'étouffant d'avantage. Elles me lâchèrent. Je ne pus me retenir de basculer en arrière, contre le dossier.

- Ho... Je ne peux plus me redresser. Florence, Caroline, dites à Delphine de me desserrer un peu, je ne pourrais pas me lever seule de ce fauteuil. Je me sens comme paralysée, et je peux à peine respirer.

Florence me répondit:

- Ici, les jeunes filles qui portent des corsets serrés au point que certains mouvements leurs sont devenus impossibles, que toutes activités physiques sont interdites par leurs corsets, ont droit à des aides. Des jeunes filles de compagnies sont à leur service, et exécutent toutes les actions que les belles corsetées ne peuvent plus faire-elles mêmes. Elles sont en permanences à leurs cotés, pour les aider à se déplacer ou, les soutenir en cas de malaise. Quand tu porteras un corset beaucoup plus contraignant et particulièrement serré, une robe encombrante, difficile à porter, lourde, chaude et étouffante, avec la taille comprimée au maximum, et une coiffure longue et des chaussures à très hauts talons. Alors, bien sûr, tu auras plusieurs de ces jeunes filles à ton service. Sans elles, il te serait impossible de te déplacer.

Delphine et Florence s'étaient assises à coté de moi, m'entourant tendrement, Delphine me faisait un peu d'air avec un éventail de nacre et soie brodée. Caroline assise en face de moi me demanda:

- Pamela, ma tendre chérie, comment te sens-tu avec ton corset, tu aimes cette sensation d'être bien tenue, cette merveilleuse compression... dit moi ma chérie?

- Je ne sais pas... je me sens... le souffle court et le ventre dur, très comprimé... mon estomac est remonté et j'ai l'impression que mes fesses ont été gonflées, ainsi que ma poitrine. C'est comme si une grande main puissante m'avait pétrie, modelée comme de la glaise me réduisant ici et me fessant gonfler là... et là également. Ce n'est pas désagréable. J'aime cette sensation d'être soutenue et modelée, transformée. Je ne suis plus maître de mon corps. C'est bizarre la sensation de ce corset m'imposant une nouvelle silhouette, une posture, un maintien que je ne peux plus contrôler moi-même. C'est reposant de savoir que le corset est seul responsable de ma nouvelle apparence, de mon maintien et de mon tour de taille. Mais c'est un maître très dur et raide. Bon sang, ce qu'il me serre et m'étouffe.

- Tu te sens mieux? Me demanda Delphine.

 - Je suis... pas trop mal, à condition de ne pas bouger.

- Ne lutte pas contre ton corset. Me dit Delphine. Laisse le te modeler et t'imposer une attitude. Laisse le te tenir bien droite. Si tu te reposes sur lui au lieu de lutter contre ton corset, tu le supporteras plus facilement et tu apprendras petit à petit à apprécier la compression de ta taille, la fermeté de son soutient. Je dois t'avouer que je ne pourrais plus me passer de mon corset, tellement je me sens délicieusement bien quand il me pétrit fermement et me tient bien droite. Quelle joie de voir la silhouette qu'il me donne, les regards admiratifs et jaloux des autres femmes et les coups d'oeil intéressés des hommes.

- Vous me donnez vraiment envie de poursuivre cette expérience du corset très serré. Je le désire, mais je le redoute encore plus. Je me sens tellement bridée et comprimée, et pourtant tellement loin de vos merveilleuses silhouettes. Vos tailles minuscules et fragiles m'impressionnent beaucoup. Elles sont tellement étranglées.

- Nous adorons toutes la silhouette extraordinaire que le corset serré à l'extrême nous donne. Dit Florence. Mais aussi, quelle volupté de s'abandonner à sa puissance, non seulement, il nous impose un maintient de reine, une taille minuscule, mais de plus, le corset nous procure une excitation délicieuse et étrange, en nous pétrissant, nous modelant et nous massant continuellement. Le corset fortement lacé me rend belle et désirable presque contre ma volonté. Il est devenu mon maître. C'est lui qui m'oblige à présenter une poitrine voluptueusement gonflée, c'est le corset qui me force à me cambrer et montrer mes fesses, et lui bien sur qui m'a réduit la taille à une dimension minuscule, une taille tellement fine et fragile que toutes veulent l'étreindre dans leurs mains. Et... c'est le corset... qui... m'excite tellement quand on serre les lacets, qu'il comprime mon ventre... et plus bas aussi... Sait-tu. Me dit Florence tout prés de moi. Sait-tu... qu'il m'est arrivée... de jouir pendant qu'on me laçait. Alors... je demandais de l'aide pour être lacée encore plus serrée, être plus comprimée, limiter encore plus ma respiration. Cette jouissance montait d'autant plus que j'étouffais dans mon corset, qu'il me pétrissait plus fortement, me broyait la taille et comprimait mon sexe. Le busc recourbé entre les jambes pressait terriblement mon clitoris et m'envoyait des ondes de plaisir d'autant plus intenses que mon corset me serrait davantage. Ma confidente me serra, jusqu'à ce que je tombe faible, presque asphyxiée, des vertiges me soûlaient et me faisaient chanceler. Elle dût me soutenir et m'étendre sur le tapis de fourrure posé sur le sol. Me tenir debout était devenu impossible, je n'aurais pu m'asseoir seul, et sans son aide je serais tombée comme une masse. Ce n'est qu'une heure plus tard que je pus reprendre mes esprits, et un peu de souffle. Bien sûr, elle ne m'avait pas desserré mon corset d'un millimètre, et aussi durement corsetée, il m'était impossible de me lever sans son aide.

- Tu me trouble. Lui dit-je. Je t'envie d'être aussi intime avec ta confidente. Je ne sais pas si j'oserais demander que l'on me serre plus fort pour... Ca me semble impossible. Tu me fais marcher. C'est presque... votre corset, c'est comme si vous étiez... amants.

Florence ne répondit pas. Elle se levât avec difficulté, le buste rigide. Comme elle était mince, comme j'aimerais avoir son tour de taille.

- Nous allons te laisser seul avec Delphine, Dans quelques jours, je te présenterais une jeune fille. Si tu le veux bien, elle pourra devenir ta confidente et t'aidera pour tous les petits détails quotidiens.

Et Florence, suivie de Caroline, sortirent de la salle d'habillage. Delphine se levât, elle aussi avec les mêmes difficultés que ma tante. J'aimais la voir se déplacer. Le bruissement soyeux de ces jupons, sa silhouette délicate avec sa taille minuscule. Elle s'avança lentement avec une grâce merveilleuse et souple malgré la raideur de son buste, qui peut être par contraste avec sa longue robe fluide, ces longs cheveux léger, la rendait encore plus attirante, d'une beauté étrange et envoûtante. Elle s'approcha d'un cordon de sonnette et le tira.

- J'ai appelé pour que l'ont nous servent le déjeuner dans ta chambre. Il est déjà tard et tu dois avoir faim.

- Merci Delphine. Peux-tu m'aider, je ne me sens pas capable de me lever seule de ce fauteuil.

Mon corset me poussait en arrière, contre le dossier du fauteuil et je ne pouvais plus me pencher en avant pour me lever. Bien que mon corset n'était pas très long, il me bloquait tous mouvements de la taille.

Delphine vient à mon secours et me prenant les mains, elle me tira de ce fauteuil. Pendant ce mouvement, les baleines de devant et le busc, m'avaient enfoncés l'estomac et m'avaient obligée par leurs pressions, à me redresser aussitôt. Debout, je ne pouvais que me tenir bien droite, pas question de me pencher en avant ou sur le coté. Le fort baleinage de mon corset et son serrage me l'interdisait.

- Evite. Me dit Delphine. De t'asseoir dans des fauteuils bas et profonds, si tu ne veux pas que le corset t'empêche de te lever. Il vaut mieux s'asseoir sur des chaises hautes et seulement sur le bord. Ainsi tu pourras te lever sans forcer sur les baleines de ton corset, uniquement en fléchissant les jambes et en te levant bien droite, sans te pencher.

Pour le déjeuner, j'avais enfilé par-dessus mon corset une robe de chambre très longue, toute brodée et assez transparente, fermée par un cordon de soie à la taille. Je me sentais déshabillée, malgré ma chemise, mon pantalon de dentelle et le corset qui me serrait. J'avais très faim et le déjeuner me semblait peu copieux. Pourtant après quelques bouchées, je ne pouvais plus rien avaler, bien que j'aie encore faim. J'avais l'impression d'être gonflée, comme après de gros excès de table. Mon estomac comprimé était déjà rempli avec si peu. Sophie qui n'avait presque rien mangé, m'expliqua:

- Tu expérimente un des multiples effets des corsets très serrés. Ils t'obligent à suivre un régime en limitant les quantités de nourriture que tu peux avaler, et permettent ainsi sans effort de ne pas grossir. Mais je te conseille de te forcer à manger le maximum, et le plus souvent possible. Tu te sentiras en permanence le ventre plein et artificiellement rassasié sans que tu puisses prendre trop de poids. Le fait d'avoir quelque chose dans l'estomac et d'être très fortement lacée, permet également à tes organes internes de se déplacer, sans être écrasés. Ainsi avec un long entraînement, ta taille pourra diminuer, tes fesses et ton buste seront gonflés au maximum.

Mais Sophie, l'estomac vide, je pouvais à peine bouger et ma respiration était déjà très limitée. Si je mange autant, ce sera pire. Je ne pourrais pas le supporter.

- Mais si, rassure-toi. Bien sûr au début, ce sera particulièrement éprouvant. Nous sommes toutes passées par ces épreuves. Je suis certaine que tu réussiras, et je te promets de tout faire pour que tu réussisses. Je serais près de toi en permanence. Les deux premières semaines seront particulièrement pénibles et même très dures. Attends toi à endurer des souffrances pendant que ton corps se modifie, mais ensuite tu te sentiras de mieux en mieux et alors tu pourras vraiment apprécier la compression du corset et sa rigidité qui te donnera la véritable silhouette d'une "Merveilleuse Lady Corsetée".

- Tout cela me fait un peu peur, et je me demande si j'ai bien fait d'accepter l'entraînement du corset. J'aurais peut-être pu devenir une grande dame sans devoir me torturer autant.

- Tu es très jolie Pamela, bien sûr tu aurais pu devenir une grande dame dans Paris. Mais sans l'aide de tes parents, tu n'aurais pas eu accès à certain cercle plus ou moins élégant, et avec les idées de ta mère, tu ne serais qu'une jeune provinciale un peu terne. Ta tante te permettra d'être une jeune lady à la beauté exceptionnelle, avec une allure époustouflante, te permettant de côtoyer la société la plus huppée, la plus élégante et la plus cultivée. Voila le choix, un plat fade et sans saveur ou, un délice exceptionnel, même s'il est un peu pimenté.

-Pamela, je t'admire et si j'ai encore quelque crainte, je veux devenir cette "Merveilleuse Lady Corsetée", je veux me réduire la taille autant que la tienne, même si cela doit parfois être pénible, même si mon corset m'interdit de bouger, si je dois manger comme un oiseau. J'aimerais ressentir ce vertige que ma décrite Florence, quand elle se serre au-delà du raisonnable.

- Je te le ferais ressentir, ma douce Pamela. Je te le promets. Dans un mois, quand tu seras plus habituée à porter un corset. Je te ferais connaître ce vertige et cette jouissance par le laçage extrême de ton corset.

Le soir, quand le parc fut désert, Delphine me couvris d'une longue cape sous laquelle j’étais nue avec pour tout vêtement mon corset et mes bas. Elle m'entraîna dans une agréable promenade. Ce parc m'attirait beaucoup et la nuit, il était calme et mystérieuse. Mais je n’ai pu me promener très longtemps. Je n'étais pas du tout habituée de porter un corset aussi serré, et je fus très vite essoufflée, d’autant que mes bottines à hauts talons mes cambraient douloureusement mes jambes.  Mon ventre me faisait mal, j’avais l’impression qu’une barre douloureuse me tenaillait mes entrailles serrées à l’extrême.

- Ce sont tes muscles qui se tétanisent à force d'être immobilisés et probablement ta digestion qui doit être difficile. Moi aussi, avec mon premier corset, j'ai eu quelques difficultés qui se sont estompées petit à petit. Rentrons, la journée a dû être fatigante pour toi.

J'étais épuisée par cette journée, et le lit me tendait les bras. Enfin j'allais pouvoir souffler un peu, me reposer et me libérer de ce corset.

- Delphine, veux-tu m'aider à délacer mon corset.

- Mais Pamela, tu n'as pas compris! Ici on doit être corsetées en permanence. La nuit également bien sûr. Tu dors maintenant nue avec ton corset, surtout n’essaye pas de l’enlever car les punitions sont très sévères ici.

- Bonne nuit Pamela...

 

 

 

IV

Lendemain pénible

 

 

Quelle sensation bizarre de passer la nuit en corset. Je n'avais jamais imaginé qu'une femme pouvait dormir sans enlever son corset, surtout que le mien était très serré. Il m'avait fallu beaucoup de volonté pour ne pas me délacer, mais je voulais absolument prouver à mes trois marraines que j'étais capable d'endurer cette contrainte permanente. Evidement, le corset m'avait empêchée de dormir. Chaque mouvement me rappelait sa présence obsédante. Les bords du corset me pinçaient, mon ventre me fessait mal à force d'être comprimé aussi longtemps. Je sentais comme une barre douloureuse me transpercer et me nouer les entrailles.

Delphine entra dans la chambre. Elle était maquillée comme la veille. Fond de teint blanc, un blanc lumineux comme une porcelaine, la bouche rouge vif et les yeux incroyablement maquillés en bleu, et très agrandis. Une tête de poupée, avec des effets de lumière comme dans une porcelaine translucide.

Je n'osais pas lui demander pourquoi elle se maquillait ainsi.

Delphine vint s'asseoir sur le bord de mon lit. Je pouvais admirer de près, son maquillage étrangement sophistiqué.

Tan pis, je suis trop intriguée par son visage troublant. Il fallait que je lui demande...

- Excuse-moi si je suis indiscrète... Ton maquillage, il est ... très beau, mais un peu étrange. Je n'avais jamais vu une femme maquillée de la sorte... Je n'oserais pas me montrer en publique maquillée comme toi...

Delphine me regardait amusée de mon embarra.

- Je suis désolée... Je ne connais rien de vos habitudes dans cette maison. Explique-moi s'il te plaît.

- Je te comprends. Me dit Delphine. Moi non plus, je n'oserais pas sortir maquillée de la sorte.

- Mais, Delphine, alors...

- Un moment. Me dit-elle en souriant. Il faut que je t'explique depuis le début. Ta tante a mis en place tout un système d'épreuve et de punition. Aucune de ces punitions ne fait appel à la violence, mais plutôt à la contrainte et parfois à l'humiliation ou au contraire, à l'excès dans les habits, la coiffure ou le maquillage. C'est la contrainte d'un maquillage particulièrement voyant et sophistiqué que m'impose ta tante depuis une semaine. Je dois subir cette punition pendant encore trois jours. Mon maquillage est codifié et elle le contrôle plusieurs fois par jour. Il doit être toute la journée impeccable, ce qui m'oblige de me remaquiller très souvent et de me contrôler en permanence. Bien sur, durant cette période, je reste confinée dans le domaine. Je n'oserais jamais me promener en ville, maquillée de la sorte. Tu n'imagines pas la honte la première fois que je me suis présentée maquillée ainsi devant mes élèves. J'avais une telle appréhension, que j'ai donné le cours avec une demi-heure de retard. Mes élèves en ont été tellement surpris, qu'aucun ne m'a posé de question. Ils restaient bouche bée, en me dévisageant...

Delphine s'interrompit, et après m'avoir regardée attentivement, elle me dit.

- Tu me trouves sans doute beaucoup trop maquillée, mais toi tu as une tête épouvantable. Assez parlé de moi, comment te sens-tu? Est-tu restée corsetée depuis hier?

- Je n'ai pas pus dormir de la nuit à cause de mon corset, il me fait mal partout, je suis moulue, mon ventre, il est dur comme du bois et très douloureux. Regarde, sous les bords du corset, j'ai la peau toute fripée et rouge. C'est comme si on me piquait avec des centaines d'aiguilles.

- Bien! Dit Delphine. Voyons les séquelles de cette première nuit en corset.

Delphine s'approcha et regardait minutieusement la peau près du bord du corset.

- Tourne-toi.

Je me retournais lentement, précautionneusement. Chaque mouvement me faisait mal.

- Bravo!! Je te félicite d'avoir gardé ton corset aussi serré. Me dit-elle. Tu n'as même pas desserré les lacets. Rassure-toi, les premiers jours sont toujours pénibles. Une douche et ensuite je vais te masser. Cela te soulagera, mais je te préviens, ton corset te fera encore mal. Les douleurs s'estomperont avec le temps. Petit à petit cela deviendra moins pénible. Dans un mois, tu serras parfaitement à l'aise dans un corset beaucoup plus serré que celui-ci.

- Vivement que cela arrive. Lui répondais-je. Je suis moulue et je ne suis pas sûr de réussir à garder ce corset encore longtemps.

- Je peux t'aider à passer ce mauvais moment. Des massages avec des crèmes adoucissantes, quelques exercices physiques, une nourriture saine et légère, beaucoup de repos avec les jambes un peu surélevées pour aider la circulation sanguine. Mais également, si tu acceptes, je peux faire en sorte que tu ne puisses plus desserrer tes lacets et encore moins enlever ton corset.

Perplexe, je lui demandais.

- Comment peux-tu faire ça? Bien sûr sans aide, je n'aurais jamais assez de volonté pour rester aussi serrée. Jamais je n'arriverais seule à garder mon corset toute la journée et de plus toute la nuit.

- Ho! Il y a deux solutions: dit Delphine. T'attacher les poignets par-devant, pour que tu ne puisses plus atteindre les lacets de ton corset dans le dos. Ou alors, te faire porter une ceinture métallique, fermée par un cadenas ou une serrure... Je sais. Me dit-elle avant que je puisse l'interrompre. Cela semble un peu barbare, mais c'est très efficace. Nous sommes toutes passées par ces deux méthodes. C'est même les seules méthodes qui te permettront de garder ton corset les premiers mois. Sans être attachée, et la taille cadenassée, fatalement, il y aura un moment ou tu craqueras et tu desserreras ton corset, et même pire tu voudras le quitter. Bien sur, avec cette méthode, on a l'impression que le corset te prend et te soutient de force dans son étreinte, mais quand la période la plus douloureuse est passée, tu adoreras sa puissante fermeté, la pression et cette rigidité qui t'imposera une silhouette et un maintien de princesse. Cette méthode est souvent très éprouvante et pénible, mais regarde-moi... n'est ce pas merveilleux d'avoir une taille aussi minuscule, une telle allure. Toutes les filles qui n'ont pu supporter ces épreuves vont terriblement te jalouser, tu les éclipseras toutes. Sait-tu qu'il m'est arrivé d'être amoureuse de ma silhouette. Une silhouette époustouflante quand mon corset avait été serré le plus sévèrement, qu'il m'avait modelée, transformé le corps, lui avait donné des courbes merveilleuses, une taille délicate, mince au point de défaillir. Mes seins remontés très hauts et tellement gonflés qu'ils me donnaient l'impression d'avoir doublé de volume. Ils s'avançaient devant moi comme un promontoire. Je pouvais presque les toucher du menton en baissant la tête, et leurs volumes m'empêchaient de voir mes pieds. Dans le miroir, je pouvais admirer mes fesses largement épanouies sous ma taille minuscule, des fesses rebondies, projetées en arrière. Elles semblaient mendier des caresses. La cambrure imposée par le corset, les présentaient encore plus, les faisaient plus accueillantes, plus provocantes. Comme j'avais envie de les caresser, de plonger mon visage dans leur profonde vallée, douces, voluptueuse...

Ces paroles me faisaient rêver, sans penser une seconde, que je devais me trouver dans un monde bizarre, décalé... Y a t'il en dehors de ce domaine, des femmes aussi obsédées par leur taille, aussi folle de corsets serrés à la dernière extrémité. Moi aussi je devenais une folle de corset. Je glissais dans leurs fantasmes de taille de guêpe. Malgré la gène, et même la douleur due à un corset trop serré, je voulais intensément devenir une "Merveilleuse Lady Corsetée".

  

V

La ceinture

 

 

- Bonjour Pamela.

Delphine venait d'ouvrir les rideaux de la chambre. Sa silhouette se découpait dans la lumière de la fenêtre, elle m'impressionnait toujours autan, la raideur de son buste et l'étroitesse de sa taille me faisait envie.

- Attend. Je vais t'aider à te lever. Me dit-elle en approchant son visage maquillé à l'extrême, aussi blanc que la veille, les yeux très agrandis, de longs faux cils, la bouche rouge vif et les cheveux relevés en un haut chignon.

Cette deuxième nuit corsetée avait été presque aussi pénible que la première.

- Houu!!! Je ne tiendrais plus longtemps aussi serrée. Je crois qu'il faut me délacer un peu. S'il te plaît, laisse moi passer la nuit sans corset, seulement quelques jours, le temps de m'habituer. Je suis tellement fatiguée, c'est la deuxième nuit blanche, je n'arrive pas à dormir avec le corset.

- Allons, Pamela, un peu de courage. Dans une semaine au plus, ton corps sera habitué. C'est juste un mauvais moment à passer.Suis-moi à la salle de bain. Je vais te délacer pour la toilette.

Ma taille me picotait désagréablement. J'avais imaginé une délivrance en quittant ce corset. La fraîcheur de l'air sur mon ventre était délicieuse, mais ces picotements et ces douleurs, au niveau des bords du corset, venait gâcher ma liberté retrouvée.

Heureusement, le bain me fit le plus grand bien, la chaleur de l'eau... Je me laissais flotter dans la grande baignoire, la tête bien calée, je crois m'être endormie.

Je fus réveillée par un bruit de chariot, quelque chose qui roulait sans souplesse, un bruit venant bizarrement du plafond?

Delphine était près de moi.

- Mais qu'est ce que c'est?

- Nous allons inaugurer une nouvelle installation. Me dit-elle. Tu nous aideras à la mettre au point. Tu seras en quelque sorte notre cobaye

- Au point? Au point de quoi, mais qu'est ce que tu veux faire? .

- Regarde. Me dit Delphine, en pointant le doigt vers le plafond.

- Qu'est ce que c'est que ce machin?

Un rail fixé au plafond sur le quel se déplaçait un mécanisme compliqué, avec des engrenages des câbles, des poulies... Deux câbles descendaient de toute cette mécanique, ils étaient réunis par une barre horizontale, un peu comme un trapèze de cirque. A chaque extrémité de cette barre, était fixé deux larges bracelets de cuir, tout comme ceux qu'utilisaient les trapézistes, pour se suspendre par les poignets.

Delphine actionna une manivelle, au bout d'une longue tige sortant du mécanisme. Le trapèze descendait lentement au-dessus de la baignoire.

- C'est, me dit Delphine, destiné à t'aider à te sortir de la baignoire sans te servir de tes muscles abdominaux.

- Quoi! C'est ridicule, je suis parfaitement capable de sortir de mon bain toute seule, sans l'aide de cette machine. Regarde, il ne me faut que quelque...

- Ne bouge pas! Je sais très bien que tu peux sortir seule de ton bain. Aujourd'hui, cela t'est évidement facile, mais dans quelque mois, corsetée vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et tous les jours sans répit, cela deviendra vite pénible et ensuite quasiment impossible.Tes muscles abdominaux vont devenir de plus en plus faibles à mesure que tu t'habitueras à être corsetée en permanence. Cela fait partie de notre entraînement.Bien sur, la plus grande part de la réduction de la taille se fait par le déplacement des organes internes sous la pression du corset, et de la perte de graisse par un régime alimentaire stricte.Mais les muscles participent également à la réduction de la taille, bien qu'à une moindre mesure. A force d'être bloqués et comprimés, ils finissent par diminuer de volume, à s'atrophier, et ainsi tu pourras te réduire la taille de quelques centimètres supplémentaires. Le corset sera un peu plus facile à serrer.Mais tu ne pourras plus t'en passer car ta musculature du dos sera atrophiée et sans corset tu tomberais.

- Mais Delphine, tu te rends compte de ce que tu me dis! Je ne veux pas être handicapée, tu va m'estropier avec cette méthode. Si mes muscles abdominaux vont s'atrophier, je ne pourrais plus me tenir debout sans aide, c'est impossible. On ne peut pas vivre ainsi.

- Ce n'est pas si dramatique que cela,Pamela"me dit-elle" Je ne peux plus me tenir debout sans l'aide de mon corset, ni même rester assise sans lui, et je ne m'en plains pas. C'est un choix. La condition pour réussir à vraiment modeler son corps, à le transformer radicalement. Je ne voulais pas d'une silhouette vaguement mince, mais d'une silhouette "taille de guêpe", une taille véritablement minuscule, exceptionnelle. Inaccessible à toutes les femmes qui n'ont pas pu suivre mon entraînement du laçage extrême. Et puis, quand l'entraînement est bien contrôlé, en prenant le temps nécessaire pour que le corps s'habitue, c'est sans danger. Ne craint rien, ta Tante, Caroline et moi, nous avons une grande expérience dans l'entraînement par le corset. Et nous avons toutes les trois modelées notre silhouette de cette manière. Tu peux voir que l'on se porte très bien, à condition d'être toujours fermement corsetée.

La silhouette de Delphine me troublait intensément. C'était fou. J'avais peur des conséquences de cet entraînement délirant, et en même temps, je le désirais de plus en plus. Un désir fiévreux, intense, un désir à couper le souffle.

La vie est un choix permanent. Tan pis si je perdais quelque chose. J'avais terriblement envie d'avoir ma silhouette étranglée comme la sienne.

J'eus vraiment l'impression de me jeter dans le vide. et en fermant les yeux, je m'entendis dire avec une sorte de vertige:

- Delphine, si c'est vraiment nécessaire... Je veux bien... que dois-je faire?

Delphine me dit doucement:

- Glisse tes poignets dans les bracelets, et agrippe-toi.

Delphine actionnait la manivelle, et le trapèze monta lentement, m'entraînant avec lui, de plus en plus haut.

- Ne te retiens pas. Me dit-elle.

Je sortais du bain lentement, tirée par les poignets vers le plafond. Delphine ne s'arrêta de tourner cette manivelle que lorsque mes pieds ne touchaient plus le sol.

Le treuil étant monté sur un rail, Delphine me poussa en dehors de la baignoire, jusqu'au centre de la pièce.

- Je vais te sécher.

Après m'avoir essuyé tout le corps, elle me frictionnait le buste avec une lotion parfumée, et ensuite, me poudra la taille avec du talc.

 

Par pamela - Publié dans : soumission
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Jeudi 26 juillet 2007 4 26 /07 /Juil /2007 21:12

                                                                           dress-07.jpg
J'avais fait la connaissance d'un ami qui aimait les travestis et le bondage.Il passait réguliérement des annonces et un jour il m'appris qu'un couple avec une japonaise venait passer la soirée.Son mari nous l'offrait affirmant qu'elle était résistante aux supplices et trés docile.Cela l'excitait de la soumettre ainsi et il filmait les rencontres.Rendez vous est pris pour une fin de journée.
Je m'habillais en maitresse avec cuissardes vernis,gaine culotte avec short moulant en vinyl noir,soutien gorge 90 c avec seins silicone bien dressés,et longs cheveux blonds sur haut en dentelle noir transparent.La tenue me plaisait et je me maquillais trés longuement pour accentuer le regard avec un eye liner noir et les lévres rouges pulpeuses.
Quand mon ami arriva en premier il me dit être superbe et m'entrepris en me caressant le sexe.Il était déja bien excité et moi aussi.Il m'aida à sortir les cordes,bracelets de métal et de cuir et harnais de contrainte.Le portique du donjon était pret pour la scéance de supplices de notre japonaise.
Vers 19 heures la voiture du couple arriva.Je le reçu à la porte de la propriété et alla ouvrir le portail pour entrer le véhicule dans l'allée du garage.
Il descendit du véhicule et m'inspecta en me caressant le short et souhaitant que l'on passe une bonne soirée.Je m'inquiétais de ne pas voir sa compagne.Il me dit d'aller la chercher en me tendant des clés.J'étais intriguer et excitée.Effectivement elle était attachée par des menottes au siége et attendait que l'on vienne la prendre.Il me dit qu'elle voyageait toujours ainsi,l'ayant dressée en conséquence.
Je la délivrais.C'était une belle asiatique,assez grande,cheveux noirs au carré impecable,en tailleur rouge avec mini jupe dévoilant de belles jambes.Elle avait un collier métallique avec un anneau.Je lui fixais la chaine et lui remettais les menottes dans le dos.
Nous partimes ainsi pour la maison tout en parlant ,elle derrière moi maintenue en laisse les bras dans le dos.J'allais dans le donjon lui montrer son lieu de "plaisir".La vue des poutres desquelles pendaient des chaines et des menottes la firent frémir.Elle essaya de me dire quelques mots mais je sus aprés qu'elle parlait peu le français.
Nous repartimes pour la maison  ells toujours en laisse derriére moi.Elle se mit  arrivée dans le salon de suite à genoux prés de son mari qui nous fit remarquer la qualité de son dressage.Il lui signifia que cette tenue ne convenait pas et je l'emmenais pour la préparer.
Dans la chambre je lui dégrafais sa jupe qui tomba à ses pieds.Elle apparut en porte jarretelle noir en dentelle bien gainant avec 8 jarretelles qui tendaient bien ses bas couture.Son string bien au creux de la raie des fesses les mettait merveil 3503d.jpg leusement en valeur. 
Je sortis un harnais en forme de gant unique muni de courroie pour immobiliser ses bras dans le dos.Elle recula et me dis "non,non,je ne veux pas,trés mal"dans un mauvais français.Je ne l'écoutais pas et aprés lui avoir ramené ses bras dans le dos je lui enfilais le gant bien à fond.Puis je lui passais les courroies autour des épaules et j'achevais en terminant par un laçage trés serré qui lui rapprocha les coudes.Je bouclais pour terminerles courroies des coudes  puis celles des poignets.
Elle étais trés désirable cette japonaise bien immobilisée avec ce gant.Son ami avait dit qu'elle était trés résistante à la douleur hahituée depuis sa jeunesse à des sévices de ses parents.
Elle me regarda dans l'attente de ma décision.Je la sortis de la chambre pour l'emmener à la salle à manger lui donner son repas de soumise avant d'autres supplices pour la soirée et la nuit.

A suivre 

Par pamela - Publié dans : soumission
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