travesti

Samedi 2 février 2008 6 02 /02 /Fév /2008 21:25

J'avais répondu à une annonce lors d'un de mes séjours en Alsace déposée par un homme,Marc,qui recherchait une domination par un travesti
Je ne savais pas que j'allais connaître une féminisation forcée pendant 3 semaines de vacances et subir les supplices sexuels réservés aux femmes.J'allais être en compagnie d'une soumise laissée chez ce couple pour être dressée comme une esclave,son mari venant voir régulièrement l'avancement de cette éducation.

A la première rencontre je m'étais habillée très sexy et j'avais préparé tous les accessoires, chaînes pendantes sous la poutre du salon avec bracelets,cordes et fouet.Je suis allée l'accueillir au rez de chaussée en blonde,hauts talons,mini jupe et bien maquillée.
Il a été subjugué se répandant en compliments.Je montais devant lui dans l'escalier et je savais qu' il pouvait voir sous ma mini jupe moulante noire finement rayée verticalement pour galber mes fesses ,mes bas couture attachés par mon porte jarretelles en satin et dentelle noire à 8 attaches avec un string satin noir bien ajusté.
Arrivé à l'étage déja bien excité par la vue que je lui avais offerte, je lui ordonnais de se mettre nu pour son supplice du fouet qu'il souhaitait.Il était imberbe comme j'aimais.Je lui attachais au dessus de sa tête les mains aux bracelets que je fermais par un cadenas l'empêchant de se liberer.Je réservais à plus tard d'attacher les chevilles aux murs.
Puis je prenais mon fouet et je faisais le tour pour regarder mon soumis.Il bandait déja trés fort.Je commençais par quelques coups bien appliqués sur les fesses pour les faire rougir.Il sursautait fort à ces premiéres "caresses".Puis de façon aléatoire je fouettais plus fort en des endroits différents pour le faire se raidir.Il était résistant car il serrait les dents en se tordant.Je m'arrétais pour le masturber de nouveau et faire se raidir sa queue.Puis les coups reprirent.Cette alternance dura prés d'une heure.Les fesses étaient bien rouges ainsi que le devant des cuisses.Il commençait à gémir;
.Je décidais alors de l'écarteler en lui fixant les bracelets aux chevilles et lui mis la poire d'angoisse que je vissais pour lui étouffer les sons dans sa gorge.Il commençait à souffrir et ses yeux roulaient dans tous les sens appeurés.
Il n'eut pas longtemps à comprendre ce que je lui réservais .Les laniéres du fouet laissaient maintenant des traces blanchatres sur sa peau rougie.Il hurlait mais heureusement on n'entendait que des gémissements avec son baillon.Il tirait sur les chaines mais son corps nu sans défense continuait à être exposé aux morsures du fouet.La séance dura toute la soirée avec des répits entre coupés par des soubresauts du corps martyrisé.
A la fin il pendait au bout de ses chaines,les yeux larmoyants,la salive s'écoulant sur son ventre depuis la poire d'angoisse .
Pour l'achever je le masturais longuement et enfin il jouit par saccades de longs jets de sperme, les cris étouffés.

Je lui détacha les mains et lui mis alors un large collier que je fixais bien haut à la chaine qui

pendait.Il était sur la pointe des pieds,ce que je voulais.Puis je lui croisais les jambes et attachais par des sangles les chevilles et le haut des cuisses au dessus des guenoux.Il vacillait sur ses pieds ,maintenu droit par le collier.Je lui liais les poignets croisés dans la dos.Ce supplice raffiné destiné aux femmes depuis toujours allait faire son oeuvre.Dans cette position l'esclave se maintient difficilement droit;seul le collier qui l'étrangle lui permet de se redresser.Je le laissais ainsi pendant une heure.Je le détachais ensuite en le maintenant car il se tenait difficilement sur ses jambes

aprés cette épreuve.

Il revint ainsi pendant des mois se faire soumettre,moi toujours en tenue sexy pour l'exciter.
Puis il me proposa de venir à sa maison rencontrer sa femme qui voulait me voir.
Je m'y rendais habillée en femme avec un survêtement pour ne pas attirer l'attention des voisins.Sa femme m'avait demandée d'apporter ma garde robe pour juger.
Elle me reçu avec son mari toute de cuir vêtue,assise dans son fauteuil.
"Voilà la salope dont me parle mon mari,mets-toi en tenue et montre moi,je veux te voir prête à sortir"
Je passais à la salle de bain pour finir de me maquiller et ajuster ma perruque aux longs cheveux blonds.
Puis je passais un tailleur noir et veste longue avec sac pour sortir et hauts talons vernis:puis je me rendais au salon pour me présenter.
"Trés bien,mieux que je pensais;tu as vraiment l'air d'une femme.Je compte bien te féminiser encore"
Puis elle se tourna et parla avec son mari doucement.Je n'entendais pas mais ils parlaient de moi.
Elle se retourna ,puis me dit
"Ecoute on te propose de partir avec nous pendant trois semaines en vacances dans le sud.Nous avons une villa et j'ai envie de te féminiser et te soumettre à nos désirs.Tu retrouveras une vraie femme qui est notre esclave depuis 1 an.Vous serez dressée ensemble.Tu subiras les mêmes tourments"
Je réfléchis rapidement puis donnais mon accord pour vivre ainsi 3 semaines complétement en femme, sans habits masculins, dressée par le couple.
Ma féminisation allait commencer et me marquer.
Je commençais un régime pour m'affiner.Elle voulut que je porte dorénavant un corset  pour mieux marquer ma taille.
Je complétais ma garde robe avec des tenues d'été,maillots de bains brésiliens,escarpins hauts talons,tops,mini jupes,piercing au nombril,tee shirts et accéssoires tels bijoux,sacs ,ceintures....pour sortir.


Je préparais ma valise tandis que je continuais les séances de domination du mari chaque semaine.Il étais trés résistant à la douleur et au fouet qui le marquait plusieurs jours.
Il vint plusieurs fois avec sa femme certaines soirées .
Dans la rue on ne pouvait imaginer sa tenue sous la cape courte à mi-cuisses: soutien gorge,string,porte-jarretelle et bas couture tirés haut.Ses mains étaient liées dans le dos ainsi que ses coudes,lui interdisant de remettre sa cape lorsqu'elle se soulevait avec le vent ou la marche,son mari lui déboutonnant à souhait les boutons qui dévoilaient plus ou moins sa lingerie sexy.
Ils s'arrêtaient toujours dans le quartier,la forçant à marcher sur ses escarpins dans cette tenue pendant prés d'un quart d'heure pour venir à la maison malgré ses supplications de ne pas lui faire subir cette humiliation.
Mais rien n'y faisait pour mon plus grand plaisir du spectacle trés glamour qu'ils m'offraient
Quand ils arrivaient je les faisais monter à l'étage,lui devant ,elle derriére, pour admirer dans l'escalier ses jambes gainées de nylon perchées sur ses escarpins  à hauts talons.
Je lui déboutonnais à l'étage sa cape qui tombait à ses pieds dévoilant son corps et sa lingerie toujours renouvellée ,trés excitante.Elle laissait échaper un soupir en détournant sa tête à chaque fois qu'elle montrait ainsi contrainte sans pudeur son corps. Aprés quelques caresses sur ses seins ,ses fesses et son sexe qui la faisaient gémir en se croisant les jambes ,je lui mettais le large collier et le baillon boule.
Je l'installais sous la poutre du salon .Je la préparais lui sanglant les chevilles et les guenoux puis j'attachais le collier trés haut à une chaine pendante,la forçant à se tenir trés droite sous peine de s'étrangler.
Dans cette position une femme est incapable de se détacher.C'est une position idéale pour le dressage d'une esclave à la maison,la femme se maintient débout uniquement par le cou et elle n'a pas la force de crier.
Son mari ,nu, était mis en face d'elle pour être soumis au supplice du fouet,pendu par les mains enchainées au dessus de sa tête.
Je les laissais ainsi le temps du repas se contortionner dans l'attente de leurs supplices.
J'indiquais
-que je fouetterai d'abord le mari
-lorsqu'il ne pourra plus supporter le fouet ,il demandera de fouetter sa femme à sa place pendant le temps qu'il lui conviendra.
Ainsi il la regardait se tordre sans parler et entendait ses gémissements étouffés par le baillon.
Lorsqu'il voyait à son regard les limites de sa souffrance il décidait de la reprise de son supplice ne pouvant plus supporter de voir  les fesses et le dos de sa femme se marquer de zébrures.
Ensuite aprés de nombreuses heures ,les corps ainsi rougis, sa femme était pendue par les pieds ,les bras sanglés autour de la taille et elle devrait sucer le sexe de son mari les mains liées dans le dos jusqu'à éjaculation pendant leur flagellation commune.
C'est elle par son ardeur et lui par le restant de vigueur qui provoquaient l'arrêt de leurs supplices.
A l'expérience les douleurs et les cris des deux ont retardé l'éjaculation et leurs supplices se sont prolongés à chaque fois plus d'un quart d'heure.
L'orgasme du mari a été à chaque fois d'une incroyable violence avec de longs jets entrecoupés de spasmes qui le laissent pantelant au bout de sa chaine.Sa femme,la bouche et le visage pleins de sperme suppliait de la déposer au sol tant elle etait épuisée,le corps meurtri,la tête qui tourne.Elle repartait à la maison sans que ses mains aient été déliées,la bouche lavée du sperme et la cape jetée sur ses épaules comme avant.
Puis arriva le moment du voyage.Ma valise était prête.
Il faisait chaud ce mois de juillet.Je mis pour le voyage une petite jupe blanche plissée avec un top décolletté blanc et bleu sur un ensemble de lingerie en dentelle blanche.Par contraste on voyait la lingerie se dessiner sous les vêtements.Je trouvais cela sexy sans plus.Puis je coiffais mes longs cheveux blonds et mis des escarpins à hauts talons dorés.Quelques bijoux fantaisie pour agrémenter et me voila partie en me remettant du rouge à lévres au passage devant la glace de l'entrée .
La journée s'annoncait belle pour le voyage.Je pris ma voiture pour les rejoindre
Ils m'attendaient.
Aprés avoir garé ma voiture et sorti ma valise,ils me prirent et commencerent une inspection de ma tenue qui leur convenèrent.
Puis ce fut la signature du contrat de soumission:
-je serai traitée comme une femme-
-je subirai les sévices sexuels réservés aux femmes
-je serai toujours attachée jour et nuit sauf pour les courses ou sorties
-je ne déciderai pas de l'arrêt de mes supplices,mes maîtres jugeront de leur poursuite sans mutilation cependant
"Pour commencer,tu seras attachée derriére nous sur le siége arriére de la voiture pour le voyage mais en attendant tu suis Jacques dans la maison pour te préparer pour ton voyage.C'est nous qui décidons maintenant.Tu vas débuter ton dressage de femme"

 Un peu anxieuse je suivais Jacques dans le salon où pendait suspendue du plafond une barre d'écartelement

J'eu un mouvement de recul mais je fus poussée sous la barre.Il me lia avec une corde les poignets dans le dos et passa le reste de corde autour de mes épaules de façon à ce que mes poignets soient immobilisés au milieu du dos..Aussitot il descendit la barre me fixa les chevilles aux larges laniéres de cuir et il me remonta.J'étais pendue par les pieds cuisses écartées,mains solidement maintenues dans le dos."On attend Agnés qui veux s'occuper de toi;tu vas voir elle va se venger; tu vas connaitre ta soumission comme femme"
Agnés vint avec un fouet.Ma jupe était retombée sur mon corps offrant le spectacle de mes fesses soulignées par mon string de dentelle blanc."C'est parfait ,dit-elle,je vais te mettre tes fesses en feu pour le voyage"
Elle me flagella avec science pour me les rendre en feu au milieu de mes hurlements.Puis elle sortit un but plug bien dimensionné qu'elle m'intoduisit dans l'anus bien huilé.Je me débattis en vain .Je me raidis lorsqu'il passa l'anneau de l'anus et j'hurlais tandis qu'il s'enfonçait happé par mes intestins."Il est calculé pour ne pas pouvoir ressortir naturellement,tu vas maintenant le porter".Puis ils me descendirent de ma position.Je me relevais ,aidée, toute pantelantebondhog01-10.jpg


'Viens maintenant à la voiture,on va t'installer sur le siége arriére.On te menotte les mains dans le dos et on te sortiras sur les aires de repos pour tes besoins"
Ils m'installérent sur le siége arriére,bouclérent ma ceinture de sécurité me faisant me cambrer les seins saillants sous mon top.Ils complétérent par une barre d'écartement aux pieds pour m'obliger à avoir les cuisses écartées.Cela remontait ma jupe déja courte et on apercevait certainement mon string blanc.
Le voyage dura la journée.Finallement je ne fus pas détachée;ils me donnérent à boire et à manger sur mon siége.Ils m'arrêtérent dans un bois pour mes besoins car je ne tenait plus.Agnés me retira la ceinture de sécurité et la barre et m'emmena les mains attachées dans le bois.Elle me baissa le string et acccroupie comme une femme j'urinais abondamment.Elle me suça la queue pour la nettoyer ce qui m'excita et elle grossit dans sa bouche."Attends dit-elle d'arriver je m'occuperai de toi,salope,avec l'autre esclave,une jeune femme une vraie qui t'attends.Comme cela tu comprendras les supplices qui t'attendent"
J'arrivais enfin à la propriété.Elle était entourée d'une haie épaisse et protégée par un haut portail.
"C'est discret ici;c'est bien pour ce que l'on fait........."
Le portail automatique s'ouvrit devant une allée bordée d'arbres qui dissimulait la demeure que l'on devinait.
"Laisse là se dégourdir un peu avant la nuit,dit Agnés"
sur-la-terrasse.jpgJe me retrouvais sur la terrasse baillonnée en lingerie enchainée aux mains et aux pieds au poteau.
Il faisait chaud en cette fin de journée.

De la fenêtre d'une piéce s'échappaient des gémissements par moments.

Je commençais à mouiller de peur et j'avais peur que l'on voit la tache humide sue ma culotte haute.
On vint me délivrer au bout d'une heure.
J'aperçue dans le salon au passage la jeune femme nue exposée sur une caisse en position hogtied ignoble,pieds repliés sur les mains retournées dans le dos et solidement maintenues par des cordes qui passaient autour des seins.Le baillon lui déformait la bouche t ses cheveux attachés en arriére l'obligeait à avoir la tête relevée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

hogtied.jpg"On a repris son dressage sexuel,le tien va suivre,tu vas la connaitre et on jugera si tu es aussi resistante"
Ma culotte était trempée de peur et d'excitation.
Agnes me poussa dans sa chambre et me délia les poignets
"Vous serez içi avec nous les nuits,pas de lit pour les esclaves,soit attachées au mur soit au pied du lit.

En attendant tu vas mettre  des bracelets de cuir aux poignets,aux chevilles et au cou.Tu les porteras tout ton séjour"
Je m'assied sur le lit en poussant un petit cri car le but plug se rappela à mon souvenir en s"enfonçant dans mes intestins.
Elle me mis ensuite des petits cadenas rendant impossible de s'en liberer et m'attacha mes poignets dans le dos
"Je veux te rendre ton corps plus féminin pendant ton séjour.Tu bronzeras en maillot de bain avec string de façon à etre marquée pour longtemps de l'empreinte d'un soutien gorge.On va aller voir Isabelle,tu feras sa connaissance.J'ai hate
                                                                   
Aprés bronzage en soutien gorge


de savoir comment tu cries"


J'avais peur d'etre punie quand elle verra ma culotte mouillée.Elle pris une laisse pour chien et la fixa à mon collier.Elle me fis traverser la maison pour rejoindre le salon.

 

"Que lui as tu fait?"dit ma maitresse 
En effet du sperme coulait de sa bouche.
"Je me suis fait sucer ; j'en avais envie"répondit mon maitre
"Hum tu aurais pu attendre pour que je vois,enfin ce sera pour ce soir.Je t'améne ta salope .On va lui faire gouter nos supplices"

 

Je fus mise en maillot de bains,perchée sur mes escarpins rouges et ils me firent gouter à la "présentation".Cela consistait à attacher le collier assez haut à une chaine pendante du plafond  puis ils écartérent mes pieds en les fixant au sol à des anneaux ce qui eut pour effet de m'étrangler si je ne restait pas les jambes bien tendues sur mes hauts talons.Pour achever mes poignets furent remontés dans le dos assez hauts et  fixés à la chaine du cou par des menottes.C'était une position d'offrande sadique compléte de mon corps à tous les sévices ,sans espoir de se

 

détacher.
"Regarde elle mouille,dit ma maitresse,tu vas subir une punition 20 coups de fouet; tu présentes d'ailleurs bien ton cul dans cette position"
Impossible de bouger pendant la séance, je commençais à gémir à la fin.
Ma maitresse entrepris à la suite de me masturber,j'explosais de façon incontrolée en criant au bout de quelques minutes en longs jets de sperme.
Je fus abandonnée ainsi le reste de l'aprés-midi.


Isabelle était elle attachée sur un plancher en bois dans un angle de la piéce de façon horrible.Elle m'explica qu'aprés lui avoir mis la barre métallique de contrainte fixée au cou par un large collier ,ses poignets avaient été menotés de chaque coté comme crucifiée.Il m'avait mise assise à genoux et m'avait écarté les pieds pour me fixer les chevilles à des colliers fixés au plancher exposant ainsi sans défence mon sexe .Et au final aprés avoir jouit dans ma bouche il m'a penchée en arriére pour m'allonger sur le dos et m'attacher le cou dans un autre collier  fixé au plancher tout en        conservant la contrainte.Elle offrait ainsi ses seins et son sexe .
Elle était belle et je bandais en la voyant exposée de façon aussi impudique.
Elle me dit:"mon amant m'y contraint réguliérement.Mais tu es belle comme trans.Tu vas subir tous les supplices sexuels des femmes.Le dernier a hurlé comme une folle et jouissait plusieurs fois par jour.Ils ne te détacheront pas ,je les connais.J'ai des crampes dans les cuisses,oh mon dieu j'en peux plus...."
Elle se mit à hurler en se débatant arc boutée dans ses efforts vains pour se soulager.Son sexe gonflé ,imberbe, était superbe.J'en frissonnais car je n'avais jamais entendu de tels cris.Moi aussi ma position commençait à me faire souffrir et je m'étranglais pour rester droite.


Agnés revint enfin au bout d'un temps infini:
"Alors mes filles bien calmées,je vais un peu vous délivrer avant la nuit"
Elle commença par Isabelle,liberée de ses entraves elle ne pouvait plus rester debout.Elle fit de même pour moi et je dus m'occuper d'Isabelle en la prenant nue dans mes bras pour l'aider à remarcher.




   

En corset


 En corset serré depuis 8 jours à 65 cm                                                                                                                   

"Pamela viens içi laisse Isabelle se remettre,on va s'occuper de ta taille.J'ai apporté un corset taille 38 pour 61 cm de tour de taille aprés laçage maximum.Tu devras le porter pour revenir de vacances.Tu seras plus femme.Je pense que 3 semaines seront suffisantes pour t'affiner ta taille.En dehors du bronzage tu le porteras tous les jours et les nuits de plus en plus serré.Tu seras suppliciée en corset."C'est ce qu'ils firent....
Ce fut un vrai supplice au début,si je n'avais pas eu les mains constamment attachées,je l'aurai délacé tant la contrainte m'étouffait.J'avais mal au ventre pendant que mes organes se mettaient en place.J'attendais le bronzage avec soulagemment débarassé de ce carcan.Se déplacer demandait au début des efforts ,des essoufflements,se baisser était délicat.Et chaque fois ma taille était mesurée pour le remettre pareil la même journée et avec 1 cm de moins le jour suivant.Je mangeais par petites quantités tellement mon ventre était comprimé comme dans un étau.

La maison était ancienne et comportait des poutres en plafond.J'ai compris aprés l'usage sadique qu'ils en faisaient.Des douilles étaient disposées dans les poutres en de nombreux endroits permettant de rapidement visser des anneaux sur lesquels ils fixaient des chaines servant aux supplices.

Pour les repas deux chaines pendaient toujours aux extremités de la table à proximité des maitres.Ils nous amenaient Isabelle et moi au pied des chaines,mises à guenoux chevilles sanglées aux cuisses, empêchant de se lever.Puis le collier était fixé haut sur la chaine ainsi que les poignets menottés ramenés au milieu du dos.On se tenait de ce fait trés droites toutes les deux sous peine de s'étrangler.Les maitres nous avaient à disposition à hauteur pour nous donner à manger

Les punitions arrivaient trés souvent.Si ma maitresse trouvait que mon tour de taille était insuffisant j'étais corsetée sevére rendant mon repas trés pénible.

Isabelle a été pratiquement nue tout le temps mais elle était habituée à ne porter au mieux que des hauts talons,bas,porte-jarretelle avec string et soutien-gorge ou parfois aussi corset.Son mari l'exigeait d'elle ainsi à la maison depuis de nombreuses années 

Le pire pour nous deux était le port du harnais de tête ,muni d'un entonnoir, qui était de plus tiré en arriére par une chainette passée entre les fesses et attachée à la taille sur le ventre.Ils réglaient la tension pour que nos têtes soient retournées de façon à pouvoir remplir l'entonnoir de ce qu'ils voulaient ,liquide ou nourriture que nous devions avaler sous peine de nous étrangler. Nous avons gémi toutes les deux pendant ce supplice et parfois nos maitres urinaient pour toute boisson.Il était impossible de se dégager malgré les contortions.Le fouet terminait le repas en ce cas et parfois une masturbation à titre de dessert.

J'apprehendais le coucher car les nuits se passaient souvent dans la souffrance pour nous rappeler notre condition d'esclaves.La dureté était fixée en fonction du bon vouloir des maitres.

Le lieu de l'un des supplices se trouvait dans le jardin dans un bosquet d'arbres à l'écart des maisons.C'était une belle statue d'homme nu dressé sur un piedestal et tenant à bout de bras une barre métallique.La particularité était qu'il avait un gros sexe luisant en ivoire avec un gland turgescent .Il s'épaissisait jusqu'à la base où se trouvait deux magnifiques glands ;la barre étant munie de bracelets.

C'était dénommé" le supplice de la statue". bcom6.jpg

J'ai vu le soir de mon arrivée son usage sur Isabelle nue.Ils ont dû la trainer dans le jardin quand elle a su ce qu'ils lui réservaient pour la nuit.

J'ai dû y assister en serre taille sévérement lacée ,perchée sur des escarpins vernis noirs à hauts talons et bas couture noirs.Mes longs cheveux blonds flottaient dans la brise du soir.J'étais face à elle enchainée aux pieds , les bras pris dans un mono gant de cuir,collier large et baillon boule pour voir ce qui m'attendait les jours prochains.

0010a.jpg

 

Ils la firent monter sur deux plots face à la statue pour pouvoir lui fixer les bracelets de cuir épais.Les chaines étaient alors encore laches.Puis ils orientérent son bassin en le plaquant par une chaine à la taille contre la statue pour présenter l'anus en face du gland turgescent qui avait été enduit d'huile pour faciliter l'introduction.Ils lui retirérent les deux plots d'appui et la laissérent pour s'empaler. SDY273.jpg

.Elle se contracta,battit l'air de ses jambes pour éviter cette intoduction inéluctable et douloureuse du sexe en ivoire.Isabelle poussa un long hurlement pour le passage du gland qu'elle engloutit en une minute et s'enfonça sur le sexe dans un long gémissement,crispée sur les chaines de ses bracelets pour essayer d'empecher cette pénétration ignoble.Mais l'effort était trop grand et elle s'empalait lentement sur ce sexe qui lui écartait progressivement son anus jusqu'à l'insupportable.

Elle se reposa finalement sur les deux glands qui l'arrêtérent et lui servirent de siége.Les chaines des bracelets étaient tendues. Elle se tenait sur la pointe des pieds sur le socle de la statue pour soulager la douleur.Ils lui reliérent par une trés courte chaîne les bracelets de cuir des chevilles de façon odieuse car Isabelle ne pouvait s'échapper.

 

Le spectacle de cette jeune femme nue empalée sur le sexe de cette statue,bras écartés tendus vers le ciel était irréel et excitant à l'extrême.Je mouillais dans mon string.Elle esssaya au début de se sortir de ce sexe qui lui tiraillait ses entrailles mais la pauvre ne pouvait à la force des bras que s'élever de 10 cm puis épuisée retombait empalée encore plus dans un cri de souffrance.La nuit allait être longue.

Ils lui enfilérent une nuisette courte en voile transparent noir pour la fraicheur nocturne et aprés lui avoir bouchée les oreilles ajustérent une cagoule de cuir munie d'un baillon boulle pour l'empécher de crier dans la nuit et d'un masque pour les yeux.C'est horrible car on perd tous ses sens,il ne reste que la douleur du corps pour un temps indéterminé.

Nous l'abandonnons ainsi et je suivit à petits pas mes maiitres qui me trainait au bout de la chaine de mon collier vers ma chambre.

Pam-01.jpg

Ma nuit allait être longue et avec des souffrances odieuses.

Ils me mirent un corset seins nus fortement ajust à me couper le souffle.Des bas furent attachés aux jarretiéres.

Puis des sangles me repliérent les bras dans le dos qu'il me fut impossible de bouger ensuite sécurisés par des menottes métalliques.

Agnés sortit mes ballets boots et exigea que je les portent.Je me retrouvais debout chancelante perchée sur ces chaussures de torture.

Pour finir elle me mis un baillon araignée qui me maintenait la bouche grande ouverte,sanglé derriére ma nuque.

Comme Isabelle,elle m'enfila une cagoule fermée avec deux trous aux narines pour respirer faiblement ,ajustée par un lacage serré et fermée par un large collier.

j'étais folle d'angoissse de passer ainsi la nuit sans pouvoir m'échapper cette fois comme parfois je réalisais mes auto bondage.J'étais à leur merci et je devais subir.

Ils m'emmenérent dans leur chambre et m'installérent sur le mur face à leur lit.

Pour rester debout, l'anneau supérieur de la cagoule fut attaché à une corde qui pendait du plafond.Elle fut rapidement ajustée pour que je me tienne bien droite, mon équilibre tenait simplement à cette cagoule et le collier m'étranglait à chaque faux mouvement.

Cette position d'esclave les excitait et je les entendit faire l'amour de noubreuses fois ,Agnés hurlait tellement fort à chaque orgasme.Elle s'occupa de moi pendant la nuit en me sucant le sexe qu'elle me fit exploser à chaque fois.

 belle-vue-le-matin.jpg

Au petit matin, aprés m'avoir détachée épuisée,ils m'emmenérent voir Isabelle qui pendait inerte au bout de ses chaînes,la tête retombée en arriére, sans force d'avoir gémie la nuit durant.

On entendait l'air siffler par les deux petits orifices de la cagoule réservés pour la respiration..La cyprine avait coulé de façon abondante de son vagin distendu et martyrisé,ses cuisses en étaient couvertes .

Je lui ai détaché les mains de la barre pour les attacher à la taille de la statue.

Mes maîtres aimaient pendant leur petit déjeuner contempler Isabelle embrasser la statue comme ils disaient

Réveillée elle remuait sans bruit sa tête cagoulée dans l'attente de la délivrance s'agrippant vainement à cette statue pour s'en dégager.

Je les aidais finalement aprés leur petit déjeuner à la sortir de sa position.Un bruit de suçion accompagna cette manipulation lorsqu'on la souleva.Adorant cela ils la laissérent par plusieurs fois retomber pour s'empaler sur ce sexe provoquant à chaque fois un gémissement étouffé par le baillon de la cagoule.

Le raidissement du corps et un hurlement étouffé marquérent le passage définitif du gland qui sortit enfin du vagin tout dégoulinant de cyprine avec de longs filaments vitreux.

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Une autre de leurs inventions sadiques était le supplice en chambre de l'araignée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

à suivre

Par pamela - Publié dans : travesti
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Samedi 8 septembre 2007 6 08 /09 /Sep /2007 15:07
De mes rencontres de travesti une expérience humiliante d'un couple sadique  venu à la maison pour me Intimit--s-10-12-2006-109.jpg dresser.
Mon salon était transformable en donjon.Le lustre cache une chaine attachée aux poutres du plafond et sous le tapis 4 douilles disposées en croix permettent de visser des attaches.Le principe est d'enchainer une soumise au milieu du salon dans diverses positions offertes à la vue des invités.
Cette disposition avait plu au couple suisse rencontré sur le net.Elle maitresse et lui travesti soumis.
Pour notre rencontre d'un week end elle demanda de me mettre en tenue.J'obéis à ses ordres un peu anxieuse de me livrer  ainsi sans défence.
Je passais 2 heures en début d'aprés midi du vendredi à me préparer,m' épiler complétement  ensuite cat-suit en voile,string noir bien tendu,serre taille vinyl ajusté au maximum pour mettre les fesses en valeur,soutien gorge pigeonnant assorti avec mes seins silicone 90 C et bottines vernies à hauts talons.Je choisi une perruque avec des longs cheveux blonds que je réglais avec des pinces pour bien les tenir.Un maquillage soigné mettant en valeur les yeux avec un eye liner ,les pommettes poudrées,un rouge à lévres humide et une touche de parfum acheva ma préparation.L'aspect me plaisait et me rendait excitante
Je disposais dans le salon les barres d'écartement,les menottes et fixais la chaine au plafond et les attaches au sol.Et j'attendais l'estomac noué
Intimit--s-2007-10-26-033.jpg  

Un coup de sonnette vers 4 heures m'avertit de leur arrivée.Je m'avançais dans l'allée du jardin pour ouvrir le portllon.Je regardais autour de moi si des gens étaient dehors car dans cette tenue en me déhanchant sur les hauts talons je passais pour une pute.
Lui était à la porte avec une laisse, un collier et des bracelets de cuir doublés de métal chromé.
"Je te prépare pour Sonia"dit-il,"tourne toi"
Il me ramena les mains dans le dos et me fixa les menottes.J'entendis des bruits des fixations qui se refermaient sur mes poignets.J'étais à leur merci.Il me retourna et me mit le collier avec la laisse qu'il fixa dans le cou aprés avoir écarté les cheveux.
"Sonia veut avoir ainsi ses soumis".Puis il me tira par la laisse à la porte de la voiture pour me présenter à ma maitresse.De ce fait,involontairement je me trouvais propulsée sur le trottoir dans la rue devant chez moi.J'étais affolée d'être vue ainsi.
Sonia ouvrit la portiére toute de cuir vêtue,superbe,cheveux coupe carrée parfait noirs,cuissardes moulantes noires avec mini jupe et veste dont le décolleté laissait entrevoir la rondeur de ses seins bien dressés certainement par un soutien gorge push up.
Elle prit la laisse et aprés m'avoir jetée un coup d'oeil pour me juger ,entra dans la propriété en me tirant derriére elle.
"Des beaux arbres,dit elle,tu en feras connaissance .J'aime réserver de belles surprises à des salopes comme toi"
Je commençais à apprehender les séances de supplices promises car son mari sortait de la voiture un sac d'accéssoires qui m'étaient destiné.
Elle alla dans le salon pour controler le systéme d'attaches
"Trés bien ,dit-elle,viens ici salope que je t'enchaîne le temps de me préparer"
Elle sortit des entraves de bras qu'elle me fixa dans le dos en me resserant les coudes,puis détacha mes menottes me ramenant les mains serrées à la taille et refixa la chaine de liaison sur mon ventre.Elle prit la chaine qui pendait du plafond et me la fixa d'abord au collier trés haut ,m'étranglant à moitié,puis aux entraves des coudes et la ramena entre mes cuisses pour mettre un cadenas sur le ventre à la chaine des menottes m'écrasant mon sexe.Je tournoyais ainsi pendue au bout de ma chaine sans défense.
Elle se recula pour juger du résultat et m'enchaina pour finir les pieds à une fixation ausol.
"Tu vas m'attendre ainsi ,petite pute,que je me prépare.Je te préviens je suis longue.Tu auras le temps de méditer ta condition d'esclave sexuel et d'imaginer tes futurs sévices.Tu me plais.Je veux te faire hurler de plaisir et de souffrance.Tu vas cracher ton sperme"
Sur ces parole elle m'abandonna.Je me maintenais le souffle court sur la pointe de mes bottines,seins dressés et cambrée comme une pute.La position était horrible ,indépendamment que j'offrais mon corps sans défense à mes bourreaux.
Au bout d'un temps trop long ,pendue par la chaine qui m'étranglait,j'entendis ses hauts talons dans le couloir.Elle revenait pour me faire quoi?J'engoissais un peu en me tournant un peu dans sa direction mais le collier ne m'autaurisait pas beaucoup de mouvement et je ne pouvaitpas baisser la tête .
Elle était en short court de cuir mettant ses fesses en valeur perchée sur des cuissardes vinyl.Un chemisier noir légerement transparent laissait deviner des beaux seins mis en valeur par un soutien gorge push up.
Elle trainait à quatre pattes son mari tout vêtu de latex la taille comprimée par un serre taille en satin rouge.Ils étaient superbes.
"Avance toi et suce cette salope"lui dit-elle
Il me dégagea le sexe par l'espace du cat suit et s'executa.Je me pâmais de jouissance contenue tellement il me suçait avec force . Je gémissais puis au bout d'un moment sentant la séve monter irrésistiblement je criais que je n'en pouvais plus.Dix coups de fouet répondit à ma supplique pour bloquer par la douleur la montée du sperme,.Le répis fut de courte durée car la douleur de mes fesses rougis et la pipe effectuée consciencieusement par son mari sans arrêt me fire de nouveau supplier d'arrêter.Elle ordonna à son mari de se retirer .Mon sexe était congétionné.Elle se recula ,prit son fouet et me flagella
"Tu vas voir comme il va devenir plus petit,c'est ma méthode pour des putes de ton genre"
Au fur et à mesure que la laniére tracait des sillons rouges la douleur devenait intense et mon sexe se dégonfla pour entrer à nouveau dans mon string.
Elle arrêta à ce moment.Je n'en pouvais plus.Je tournoyais au bout de ma chaine la tête renversée à moitié inconsciente offerte comme une esclave sans défense.
"Tu es une bonne pute,tu vas voir ce WE ce qu'on peut te faire.Lundi tu seras brisée de souffrance le sexe en feu.J'ai des projets pour toi"
"Attend le WE sera long,on aura le temps d'en profiter"
Elle décrocha la chaine du collier et je m'écroulais sur le sol les mains entravées toujours à la taille,les pieds reliés à la fixation du sol qui ne me permettait pas de m'échapper.
"Laisse-la,on attend un peu avant de la torturer.Va me chercher la barre,j'ai envie de la voir souffrir cette salope"
J'entendis un bruit métallique dans l'entrée et son mari revins avec un tube métallique assez gros de 2 métres équipée d'attaches en son milieu et aux extremités.
Elle me mis sur le ventre ,détacha la chaine reliant mes pieds au sol et avec deux cordes me ramena derrière mes cuisses les chevilles qu'elle attacha ainsi .Je me retrouvais privée de mes pieds.Je me demandais ce qu'elle me réservais.
Elle me délivra les bras et entrepris de me les attacher bien étendus sur cette barre au niveau des poignets,des coudes et des épaules.J'étais comme crucifiée.Puis elle fixa la chaine pendant du plafond à l'attache centrale et me hissa.Je comprenais avec horreur ce qu'elle voulait.Je me retouvais face à elle asssise dans le canapé crucifiée reposant à peine sur mes guenoux,soutenue seulement par mes bras .
"Je vais te mettre la poire d'angoisse car je ne veut pas t'entendre gémir ou hurler"
Je m'exposais à elle sans défense.Elle me sortit le sexe et commença de jouer avec la pointe de ses hauts talons.Je gémissais et ne tardais pas à bander dans cette situation.
"Tu recommences?"Elle fit un signe à son mari qui me flagella.Je me tordais pour échapper à la douleur,ce qu'elle cherchait.Elle sortit son sexe devant moi et commença à se masturber.La vue m'excitait d'autant que j'étais impuissante.Puis la crucifiction fit son oeuvre.Les bras s'engourdissaient et mon corps s'affalait doucement vers l'avant.La respiration se faisait plus douloureusement tirant sur les muscles.Je me redresssais réguliérement mais avec le temps je n'y arrivais plus.
Je perdis la notion du temps tandis qu'ils s'amusaient devant moi, impuissante, se faisant prendre par son mari.Elle était trés sensible du clitoris, sa masturbation lui faisait pousser des gémissements qui emplissaient la maison.Puis elle se mit à crier sans interruption quand le clitoris turgescent sortit de la gaine de chair.Elle ne se controllait plus,se convultionnait sur le canapé.
J'étais haletante quand enfin aprés sa longue jouissance ella consentit à me détacher.Je restais affalée par terre de longues minutes avant de me remettre sur mes hauts talons.
A suivre



A suivre
Par pamela - Publié dans : travesti
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Vendredi 20 juillet 2007 5 20 /07 /Juil /2007 21:13

 

 



J'avais laissé des adresses sur des sites de travesti en indiquant ma recherche de bondage.Un militaire était venu me voir déjà 2 fois pour me dresser.
Ce soir là le téléphone sonne vers 22 h et il me demande de me préparer.J'étais au lit en sous vêtement comme d'habitude(soutien-gorge pigeonnant,string et nuisette courte transparente, le tout noir),seins silicone et longs cheveux blonds.Je lui fis ma description ,cela lui convenait à l'exception que je ne devais pas avoir de nuisette mais  mon corset  de satin noir serré à 67 cm de tour de taille ainsi que je l'avais reçu la première fois .Il me dit de l'attendre dans cette tenue avec des bas couture noirs et hauts talons vernis pour être une vraie salope.Je lui obéis toute excitée.
Un coup de sonnette une demi heure après et je lui apparue dans cette tenue à la porte de l'appartement.Il me glissa sa main dans mon string et me caressa le sexe et les seins siliconés,les tétons pointant dans les bonnets du soutien gorge.Mon sexe se mit immédiatement en érection.
Puis il me demanda de sortir mes chaînes et menottes car il voulait disposer de moi dans cette tenue dans le hall de l'appartement  pourvu d'attaches pour permettre un écartèlement.J'avais déjà longuement utilisé cette possibilité seule en self bondage, restant attachée de longues heures certains jours.


Les chaînes furent mises rapidement dans les anneaux prévus à cet effet .Il me mit les bracelets de cuir aux poignets et chevilles. 


Il me poussa au centre du hall,tendit les chaînes supérieures et cliqueta les bracelets de cuir des poignets aux attaches rapides sans que j'ai eu le temps de dire mot.Mes bras se trouvaient assez relevés,j'étais les bras écartelés;je lui dit de m'attacher moins haut un peu affolée car je savais que cela m'empêcherait de me dégager si besoin face à un inconnu qui voudrait me torturer .Mais il ne me répondit pas et pour réponse entrepris de m'écarter les pieds pour relier mes bracelets de chevilles aux chaînes du sol.Cette opération eut pour effet de me descendre le corps légèrement et ainsi de m'interdire toute possibilité de me dégager les poignets comme je faisais lorsque j'étais seule lors de mes self bondage.


Cette constatation m'angoissa car je ne connaissais que peu ce militaire.Dans le même temps je mouillais à cette idée de lui appartenir,d'être à sa merci.Je me disais qu'il pouvait me tuer ou m'abandonner ici et que l'on me retrouverait enchaînée dans cette tenue obscène


 Il trouva le fouet dans mes affaires et me fis subir une flagellation de 20 coups sur les fesses et le devant.J'étais ruisselante de sueur aprés cette épreuve car je m'étais efforcée de ne pas crier pour les voisins,il y avait seulement les claquements sur la peau.

 

Je l'avais excité en me tordant devant lui en lingerie. Alors il me pris mon sexe et j'eu droit à une masturbation en régle ,se régalant de mes râles de plaisir, variant le va et vient pour prolonger l'échéance, il accentuait les mouvements, je criais que ma séve montait ,puis il s'arretait laissant mon cvlitoris se dresser par saccades sans atteindre l'orgasme attenu.Un liquide blanc s'écoulait alors du gland torturé.Il me pompa comme il dit pendant prés d'une heure,je devenais folle de désir, mon clit était d'une sensibilité extreme.A un moment il ne s'arreta pas..... je criais ma délivrance et je m'affaissais dans mes chaines en éjaculant violemment par convulsions successives qui me laissérent sans force.

 

J'ai cru aprés cela qu'il allait me délivrer.Mais il me dit que j'étais une bien trop belle salope pour s'arrêter de suite de me travailler. Il me promis de me reprendre plus tard et me laissa pantelante au bout de mes chaînes le sexe gonflé, douloureux de l'éjaculation violente entraînée par cette position de bondage cuisses écartées et encore parcouru de frissons qui le faisait se dresser par instant.


Il trouva mon bâillon boule et me le fixa soigneusement en soulevant mes longs cheveux puis il me mis ma cagoule de contrainte en cuir avec juste deux petits trous pour respirer. Je la connaissais pour l'avoir mise parfois mais c'était horrible de rester ainsi prisonniéres avec une respiration contrainte.Je ne pouvais plus le voir et les sons était trés sourds.

 

Il me dit qu'il voulait se reposer sans m'entendre gémir la nuit dans mes chaînes.Trois coups de fouet cinglants conclurent ces mots.Je me tordis de souffrance en gémissant dans mon bâillon et ma cagoule.J'essayait de l'implorer de la tête de me délivrer mais il ne voulut pas le comprendre.Ma longue nuit de contrainte allait commencer.


Puis content du spectacle que je lui offrais il partit dans la chambre se reposer dans mon lit .Il s'y endormi,et moi vacillante sur mes hauts talons,les fesses en feu, à moitié nue que faire?Rien car j'étais incapable de défaire mes bracelets de poignets et les heures de la nuit s'égrenèrent ainsi.Je ne pouvais pas crier pour l'appeler à cause du baillon qui me faisait sortir des sons étouffés et incompréhensibles.


DSC 02550Contrairement à ce que pensais je bandais régulièrement dans mon string de nylon qui contenait les efforts de mon sexe à se dresser.Dans la lueur de l'éclairage public qui éclairait faiblement le hall par la porte fenetre du salon dont le rideau était tiré, un piéton dans la rue pouvait me distinguer et me prendre pour une femme avec ma taille serrée dans le corset  de satin. Cette vue et cette idée m'excitaient.


Au fur et à mesure l'engourdissement me gagnait.D'abord les pieds que je bougeais un peu ,juste ce que m'autorisaient les chaînes.Puis mes cuisses se mirent à trembler de façon épisodique au bout d'une heure.Je les soulageais en me tirant le corps par les bras.Mais au bout de deux heures les forces me manquaient.Mes cuisses puis mon corps furent pris de convulsions régulières incontrôlables que je n'avais jamais connues toute seule.Le bâillon me distendait la mâchoire et m'empêchait d'appeler.J'ai du m'étourdir plusieurs fois cette nuit là  de longs moments car je reprenais conscience à chaque fois la tête penchée en avant le corps soutenu par mes bras comme l' esclave que j'étais devenue .


La position de soumission à laquelle j'étais soumise allait au delà de ce que je faisais seule car cette fois ci je ne pouvais interrompre le supplice.J'étais livrée à la volonté d'un autre.Cette idée me faisait bander réguliérement tout en me faisant horriblement souffrir des membres qui se distendaient

 

A la fin épuisée je pendais dans mes chaines soutenue seulement par les bras, les épaules me faisaient souffrir;mes jambes tremblantes ne pouvaient plus me porter.


Finalement vers sept heures il se réveilla et constata être en retard. Il me retira ma cagoule et prit le temps de me masturber.Malgré mes douleurs j'éjaculais, gémissante dans mon bâillon.Il me dit qu'il repassera dans la matinée pour me détacher.

 

Il me retira le bâillon.Je ne pus articuler des mots pour le supplier de me détacher car j'étais épuisée. Je ne pus remuer la mâchoire qu'après son départ, trop tard.Trois coups de fouet marquérent mes fesses et son départ et il partit en me regardant à nouveau me tordre et ferma la porte avec mes cles.


J'étais horrifiée à l'idée d'être ainsi abandonnée et découverte par d'autres auxquels je devrais faire appel pour me délivrer s'il ne revenait pas.Ma pensée était brouillée par mes bras et mes cuisses douloureuses.L'attente fut longue,trés longue.Je perdis à nouveau connaissance dans la matinée.


Une clé dans la porte me réveilla et me fit sursauter. Il était enfin de retour vers midi et entrepris de me détacher. D'abord les pieds,je ne tenais plus debout sur mes hauts talons.Il me soutint pour détacher les bras et me porta au lit épuisée.

 

J'ai un peu de temps et j'ai envie de jouer avec toi petite salope car je ne t'ai pas vu te tordre cette nuit.


Il alla fouiller dans mon armoire et ressortit avec des menottes métalliques pour mains et pieds reliées entre elles par des chaînes.Je compris qu'il voulait me menotter mais je n'étais pas de taille à lui résister surtout après cette nuit.


Il me mit sur le dos et fixa les menottes rapidement.J'étais entravée ,impuissante,mes mains ramenées dans le dos et reliées par chaîne aux chevilles. "Repose toi bien salope car je veux te voir souffrir,Je vais te préparer " 

 

J'ai du m'évanouir de douleurs.Je me suis réveillée car on me soulevait.Quand je reprenais conscience je me trouvais les avants bras ramenés dans le dos avec les poignets attachés croisés au niveau du cou pratiquement.

Il était en train de terminer un harnais de cordes du buste avec des cordes qui me maintenaient les bras plaqués au corps et me mettaient les seins en valeur.J'étais dans l'impossibilité de faire un mouvement.Je ne pouvais plus me défendre ni protéger mon sexe ou mes fesses.Il admira son travail."Te voila bien attachée salope,je veux te voir souffrir"

 

Il me forca à retourner dans le hall dans lequel les chaines de la nuit pendaient toujours.Il en pris une pour me mettre un collier large et m'installa pendue par le collier trés haut attaché au milieu du hall.J'étais prise au piége car je savais que l'on ne pouvait se sauver de cette position réservée à l'exposition lors de la vente des esclaves blanches.

 

Je tournait sur moi même perchée sur mes hauts talons,.Il m'avait habillé avec un ensemble de lingerie noire en dentelle,string,porte jarretelle 6 attaches et soutien gorge push up.mes longs cheveux blonds retombaient sur mes épaules.La scéne devait l'exciter car il bandait fort.Pour l'instant mes pieds étaient libres mais je savais que ce ne serait pas pour bien longtemps s'il voulait me torturer.

 

Il m'attacha les pieds et les cuisses avec des cordes et sortit un gode vibrant. Son application sur mon sexe le fit se dresser de suite. Il ne fallut pas longtemps pour qu'un nouvel orgasme monta. Il ne l'arretat pas et j'éjaculais à nouveau comme une folle en m'étranglant à moitié avec le collier qui me forçait à me tenir trés droite.

 

"Hummmm j'aime bien comme tu jouis salope. Je vais partir je te retire le collier mais je vais te mettre le monogant que j'ai trouvé dans tes affairesJe te met des chaines courtes aux pieds pour t'obliger à te dépacer lentement sur tes escarpins.je te laisse les mains attachées mais libre reliées à la chaine des chevilles Je te la raccourcis  pour t'obliger à rester à guenoux ou sur le ventre en position hogtied. Maintenant je mets les clefs dans une enveloppe à ton adresse.Tu devra aller les chercher aprés le passage du facteur dans la boite aux lettres de ton ton jardinet qui donne sur la rue . Tu devras  aller les chercher en te trainant comme une pute pour te détacher. La clé de la porte arriére de ta boite est ur la table de la cuisine. Avec la chaine ainsi raccoucie tu devras te déplacer accroupie lentement. Tu voulais etre une femme tu vas l'etre contrainte pendant un jour ou deux selon la poste.Ton attente  sera longue ma salope avant que tu te délivres.Fais attention car pour acceder à ta boite tes mains étant enchainées dans le dos tu devras de nuit trainer une chaise pour pouvoir monter dessus et de dos ouvrir la porte de la boite et saisir l'enveloppe de la délivrance.Beau spectacle pour le voisinage de te voir te contortionner ainsi avec les fesses offertes. Ne la fais pas tomber.... Je passerai en fin de semaine pour voir si tu as pu te délivrer.Sinon tu restes 1 semaine attachée"

 

soumise-suppliante.jpg La situation lui plaisait pour terminer ma soumission.Puis il partit en riant après m'avoir réajusté le mono gant, mes sous vêtements ,ma perruque et mes seins.

 

Je me traînais à guenoux jusqu'à la fenêtre et observais comment m'y prendre pour me délivrer.De jour,sauf de faire de l'exhibition ,cela était impossible.A l'évidence je devais rester enchaînée  et attendre le facteur et la nuit qui suit.


L'attente fut pénible,j'étais impatiente de récupérer ces clés d'autant que le corset me comprimait horriblement bien que j'étais habituée à le porter tous les jours ,mais cela allait faire plus de vingt quatre heurs que je souffrais .Je retournais au lit et m'endormis toute enchainée sur le ventre, je n'avais rien d'autre à faire .Je me suis réveillée vers l'aprés midi et je suis aller laper l'eau dans la gamelle qu'il m'avait laissé. J'ai mangé ensuite des croquettes comme une chienne ,je n'avais pas le choix.

Puis je suis allée au wc faire mes besoins assis comme une femme 


Vers minuit quand je jugeais l'immeuble calme et la circulation de la rue faible je me tortillais de dos pour ouvrir la porte-fenêtre.Mon sang ne fit qu'un tour car aussi je ne pouvais atteindre la poignée à cause de la chaîne courte qui reliait les menottes des mains à celles de chevilles.J'allais péniblement chercher une chaise pour l'amener prés de la fenetre et après des contorsions montais dessus pour ,de dos ,enfin manoeuvrer la poignée.Cela m'avait pris prés d'une demi heure en évitant de tomber enchaînée tout en montrant mes fesses à la fenêtre pour y arriver.

 

J'entrepris d'aller ensuite à la boite à travers le jardinet. Cela me pris prés d'une heure, tremblante de peur et de la fraicheur de la nuit pour ne pas trouver l'enveloppe attendue. Je me mis à pleurer tellement j'attendais la fin de cette soumission.Je rentrais dans l'appartement en laissant la chaise pour la prochaine nuit.Puis j'allais au lit et m'effondrais en sanglotant .J'étais enchainée comme dans mes reves les plus fous mais la réalité m'avait rattrapée et je vivais cette expérience douluoreusement.Mes bras me faisaient atrocement souffrir et j'avais peur d'un engourdissement des mains qui ne me permettrait plus de saisir la clé.

 

pamela-monogant.jpg

Le deuxieme jour fut moins pénible ;je m'habitais à ma condition d'esclave.

Je me trainais dans l'appartement du lit à la fenetre pour surveiller le passage du facteur qui passa vers 11 h.Il avait mis une enveloppe et une émotion me gagna en me faisant mouiller comme une salope, enfin la délivrance la nuit suivante.L'attente fut longue du fauteuil au lit.

 

La deuxiéme nuit je me trainais lentement à la boite aux lettres.

Un regard et j'ouvre la porte fenêtre,je frissonne car l'air est froid en lingerie.Je me dirige vers la boite et commence à essayer de monter sur la chais.J'ouvre de dos la porte et parmi la publicité je trouve ce qui semble etre l'enveloppe tant attendue.

Je me contortionne pour descendre en évitant de tomber.

A ce moment une voiture arrive devant la porte de l'immeuble m'obligeant à me mettre à plat ventre pour ne pas etre vue.Des jeunes rentrent de boite et discutent un temps pour moi infini.La fraicheur me fait monter une envie folle d'uriner ,Je ne peux me retenir et fais mes besoins dans le string sous mon ventre en position hogtiedL'excitation de la position et la peur d'etre vue la jouissance monta et un orgasme contenu depuis plusieurs jours me traversa le corps .Je me mordis les lévres pour ne pas crier.

 

Enfin aprés un quart d'heure ils partirent et je pus me redresser toute humide de sperme et d'urine.Je déchirais de dos l'enveloppe et trovais la clé.Je commencais par les cadenas des pieds. Les contortions sur le coté pour les atteindre avec le corset me laissait le souffle court. Je devais réguliérement m'arreter pour reprendre mon souffle.Aprés une demi heure d'effort j'avais réussi à ma liberer des chaines des pieds.

 

Mais le mono gant était bien ajusté et malgré mes contortions je ne pouvais sortir mes bras.La peur m'envahis et je me demandais combien de temps j'allais ainsi rester prisonniére. C'étais un pervert .Maintenant je pouvais me déplacer debout et saisir les objets de dos avec mes mains libres mais rien de plus.....

 

 

 

 

A suivre

 

 

 

Par pamela - Publié dans : travesti
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Vendredi 1 juin 2007 5 01 /06 /Juin /2007 14:23

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FEMME DANS L'AME 

 Depuis mon enfance,j'ai toujours aimé porter d'abord des sous vêtements puis des vêtement de femme.J'étais fascinée par des situations d'héroines attachées et livrées nues à leurs bourreaux auxquelles je m'assimilais et dont la vue me portait jusqu'à la jouissance.
J'ai eu en cachette soutiens gorges,slips,strings,porte jarretelles et bas.Puis pour mieux paraitre une femme j'ai acheté des jupes,robes,hauts,perruques et haut talons afin d'avoir une petite garde robe qui m'a longtemps suivi.
Ma stature fine m'aidait à bien me faire passer pour une femme.
Aprés des évenements personnels je me suis trouvé en 1992 dans la possibilité de vivre l'essentiel de mon temps en femme.J'ai saisi cette occasion qui se présentait.
J'ai donc à partir de là soigné ma présentation,fitness et épilation intégrale avec seins silicone 90 C adhésif qui me donnait une poitrine naturelle superbe .Mes jambes étaient parfaites et je m'entrainais à marcher en hauts talons constamment à la maniére des manequins avec grace.

  Aimant le lebondage,j'ai acheté également menottes et harnais de containtes.

Comme les esclaves ,je dors dorénavent en femme chaque nuit enchainée soit écartelée sur le lit soit les mains et pieds entravés.Les premiers temps ont été difficiles mais aprés je m'y suis habituée et maintenant j'aime toujours encore cela.

Au début j'avais des bracelets métalliques reliés par des chaines pour les mains et les pieds fermant à clé.J'allais cacher la clé sur le balcon de la résidence bien en évidence de la rue et des autres fenetres des immeubles voisins à un clou afin me forcer à monter sur une chaise avec mes mains entravées dans le dos pour la récupérer le moment venu.Cela ne pouvait se faire que de nuit lorsque tout était calme et m'obligeant à rester entravée des journées entiéres ou un WE.

Puis je m'habillais en femme souvent le matin mais avec seulement des sous vetements,bas,hauts talons,perruque et bien maquillée.
Les bracelets refermés sur mes poignets et mes chevilles ,j'étais dépendante de la clé pour ma délivrance.L'attente était trés longue et durait prés de douze heures dans l'appartement car je ne pouvais pas m'exposer en plein jour en sous vetement ,d'autant que ma chaine aux pieds trés courte m'obligeait à faire des petit pas, m'exposant encore plus longtemps sur le balcon pour le parcourir.
Je l'ai faite plusieurs fois morte de peur au milieu de la nuit,me mettant accroupie lorsqu'une voiture se présentait pour ne pas etre vue en lingerie.
Puis je me suis enhardie et je suis sortie dehors en femme.Je me suis achetée un tailleur noir chic,vernis hauts talons,bas noirs tendus hauts sur les cuisses pour ne pas être trop vus sous la jupe courte et perruque coupe carrée noire avec sac et bijoux fantaisie.Dans cette tenue BCBG,bien maquillée, j'ai commencé à sortir en voiture et m'arrêter au gré de mes envies en divers lieux.D'abord pas trop loin de la voiture puis mon assurance aidant faire les rues et les magasins de Colmar et Mulhouse, ce qui me comblait .C'était excitant d'entendre le bruit des hauts talons résonner sur le bitume ou les pavés des trottoirs et avoir l'air passer entre les cuisses gainées de nylon. 
Je me suis fait draguer dans cette tenue et même arrêtée par des touristes pour des renseignements.Il est vrai que je faisais attention à mon attitude,ma façon de marcher et mes mouvements pour être la plus femme .
J'ai fait aussi l'expérience en voiture de m'arrêter en femme pour aller aux toilettes. C'est effectivement plus compliqué de trouver un petit coin adapté pour se soulager décemment sans montrer sa chatte ou ses fesses.
                                                                  
                                                                                                                   
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Ma garde robe tant en vêtement qu'en sous vêtement est importante au fil des années.

J'aime le corset et les gaines ou panty que je porte quotidiennement pour m'affiner la taille.
Ainsi sous mes vêtements masculins je suis toujours en sous vêtement féminins,gaine culotte,panty ,serre taille,string ou slip,bas avec ou sans porte jarrtelle depuis de nombreuses années pour maintenir la silhouette,de même la nuit avec des corsets style victorien trés serrés.
Je réduit ainsi ma taille à 64 cm grace au corset ou au serre taille vinyl.J' ai l'habitude de les porter trés souvent la journée et toujours la nuit serrés au maximum pour accentuer ma ligne de femme.
Le début a été dur jusqu'au serrage maximum.Puis le corps s'habitue,les organes se mettent en place et l'habitude se prend.

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Je trouve maintenant bizarre lorsque je ne suis pas en gaine ou en corset.

J'aime en porter car il donne par le serrage une taille fine.

Si je ne suis pas en corset j'ai toujours la journée sous ma robe ou jupe une gaine culotte,gaine ouverte ou gaine haute.

A part en été je porte toujpurs des bas soit avec jarretelles ou auto fixant.

 

Ma féminisation continue actuellement avec ma maitresse.
Elle m'impose désormais de dormir en sous-vetements, soutien gorge avec string,corset  satin noir trés serré avec les bas tendus sur les 8 jarretelles et longs cheveux.
Comme cela ne suffisait pas pour sentir ma condition d'esclave je dois porter des bottines ballet-boots qui me martyrisent les pieds.
Je suis de plus enchainée avec des menottes aux pieds et aux mains reliées entre elles et je porte une cagoule en cuir avec juste un petit trou au niveau de la bouche pour respirer.
Les nuits de la premiére semaine ont été horribles, mal au ventre du au serrage du corset ,aux pieds du fait de leur mise en extention et de la respiration contrainte.
Des orgasmes m'ont secouée par le fait de ce bondage,impossible de me délivrer sans ordre.
Maintenant cela fait 3 semaines et je dors mieux .Je ne sais le temps que cela durera......
J'ai pu mettre maintenant une jolie nuisette noire de chez Etam avec volants à la base façon petite robe.Elle épouse bien les formes de mon corps avec ma poitrine et ma taille serrée.
C'est trés féminin et j'adore ,ça récompense des efforts.
Je porte des hauts talons la journée (environ 10 cm) depuis de nombreuses années sans difficultés.
Dernier achat cette petite robe fleurie portée avec des hauts talons noirset dessous en lingerie noire et blanche de dentelle
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Par pamela - Publié dans : travesti
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