Le blog de pamela

J'avais connu sur le net une jeune femme qui voulait connaitre le bondage .

Nous avions bien partagé et pris du plaisir chacun au bondage .Moi j'étais souvent en travesti trés sexy qu'elle adorait. Elle m'attachait souvent et elle était devenue experte sur mes conseils.Mais elle était devenue aussi sado machochiste en pratiquant et passait souvent des journées entravée ,portant des chaines comme une esclave, nue ou en sous vetements.

L'une des pratiques qu'elle adorait et la faisait jouir à l'extreme était simple mais trés efficace et peut se pratiquer partout à la maison pour peu que l'on posséde des poutres au plafond .

Notre maison ancienne disposait dans le salon d'une baie libre donnant sur la rue .

J'avais fixé sous la poutre une attache avec un anneau solidement vissé dans le bois. Une bonne chaine pendait jusqu'au sol et j'avais acheté des menottes métalliques pour les mains et les pieds et un large collier de cuir rouge.

Ce supplice de la présentation consiste à amener ma femme,nue ou en sous vetements,menotée dans le dos avec les chaines aux pieds et en hauts talons sous la poutre. Je lui mettais alors le collier de cuir au cou trés serré.

Déja là ma femme mouille abondamment à ce stade. Je lui fixe pour achever un baillon muni d'une petite protubérence en forme de sexe qui lui empli la bouche et la gorge..Je le fixe pour qu'elle ne puisse pas parler à part des grognements ou des cris étouffés.

Le sadisme est de lui retirer réguliérement  ses hauts talons malgré ses grognements et ses contorsions. Elle est alors obligée de se tenir sur la pointe des pieds pour ne pas s'étouffer. En sous vetements soutien gorge,string,porte jarretelle et bas, là,le spectacle est hallucinant.

 Ma femme les yeux exhobités me supplie dans des grognements inaudibles de lui redonner ses hauts talons. Son corps se tortille devant moi. Elle bave abondamment, ses mains menottées cherchant vainement en se contortionnant à attraper le collier devenu inaccessible et, sans espoir pour se dégager.

Pour la calmer souvent je la fouette sur les reins le dos et les fesses pour la faire se raidir. Ses souffrances sont accentués par le collier qui l'etrangle quand elle essaie de se recroqueviller sous les coups pour se protéger les fesses ou le sexe.

Je surveille ma femme car dans cette position elle peut se retrouver pendue. Elle arrive parfois aux convultions. Alors je lui remet ses hauts talons et j'attend suivant les cas 15 à 30 minutes pour recommencer.

Ma femmes urine de peur car la position est stressante, elle ne peut pas se liberer, incapable de parler et dépendante de mon bon vouloirDSC 02550  dont elle ne connait pas mes intentions(durée du supplice et son intensité).

 

 

 

Mar 2 oct 2018 9 commentaires
Souvent, à ce jeu, elles se pissent dessus, voire plus, humiliation oblige
Ricca - le 16/10/2022 à 14h51
Les inquisiteurs se réjouissaient de la jouissance pour prouver que la femelle était ensorcelée. Suspendue par les quatres membres écartelés, ils masturbaient le clitoris entre deux doigts, elle remuait, tendait son bas ventre, jouissait, souvent urinait, preuves quelle était damnée. On pouvait commençait le travail punitif sans modération en commençant par écarter les lèvres vaginales pour griller le clitoris au fer, certains préféraient l'arracher à la pince
Tiron - le 03/02/2024 à 15h24
Les femmes coupables de sodomie étaient suspendues debout jambes écartées, on procédait au fist anal manuel très profond, par de longs va et vient, il fouillait le boyau en ouvrant la main à l'intérieur, souvent elle déféquait. On procédait par groupe avec plusieurs coupables qui assistaient aux réjouissances en attendant leur tour pendant que la précédente était placée sur un pieu par l'anus pour un empalement lent et flagellait au martinet plombé. Il y avait de jeunes coupables pratiquantes de la sodomie pour restaient vierges, elles faisaient le bonheur des gardiens qui la prenaient à la chaine dans leur cachot avant le spectacle
Umanus - le 03/02/2024 à 15h40
La nouvelle mode sur les marchés africains, avant les enchères on pompe le sexe de la femme pour le rendre plus sensible aux attouchements. Généralement ces femelles serviront dans des diners spectacles où elles seront présentées, exhibées aux invités avant d'etre offertes à tous jeux de soft à très hard comme la bastonnade du pubis
Ypona - le 03/04/2024 à 18h01

C'est une bonne solution pour exciter la femme

pamela
Dans certains camps les opposantes au régime sont confiées à des gardiennes matrones formées spécialement pour meur caractère sadique. Elles ont tous les droits sur les prisonnières et ne s'en privent pas. Elles les utilisent pour leurs besoins personnels et possédent une salle de travail pour les rétives. Dès l'arrivée d'un groupe de femmes, la directrice vient faire son choix et se fait présenter les filles nues, les inspectent et s'en réserve une pour en faire son souffre douleurs. Les autres sont enchainées nues et sont marquées au fer pour rejoindre le travail aux champs 18 heures par jour sous les coups de knout permanents
Omavitch - le 03/04/2024 à 18h54
Dans ce genre de camp, la cheffe se réserve souvent une très jeune fille, souvent vierge, elle en fera son esclave, la battra, la fera prendre par des chiens, jouira du spectacle de la voir torturée sans modération par des males en rut, pénétrée à la chaine par les trois orifices, la déchirer, lacérer son corps avec un cable électrique
Harem - le 08/06/2024 à 15h56
De tout temps, les femmes éxecutées allaient au supplice les orifices spermés par leurs geoliers. Pour le bucher, ils leur promettaient d'abréger leur souffrance si elles se laissent pénétrées avant. Les pendues avaient souvent le sperme et l'urine qui leur coulait le long des cuisses après l'éxecution, ce qui provoquait les insultes du public. On raconte que Marie Antoinette avait accepté les faveurs du bourreau pour éviter le supplice de ses enfants, de méme que certains riches achetés les poils souillés de la condamnée, le clitoris ou les tétons coupés après éxecution. Les pendaisons nues étaient les plus prisées à cause du relachement de l'urine et parfais des excréments. L'insulte de "truie" était la plus prononcée par le peuple assistant au chatiment, certains copulaient dans la foule et aux balcons en regardant la suppliciée remuer sous les coups, surtout pendant les peines de fouet , encourageant le bourreau à déchirer certains endroits comme les fesses ou les seins
Bastos - le 08/06/2024 à 17h55
Un des classique lors d'interrogatoires de femme est l'excitation des tétons et la masturbation du clitoris, une fois bien tendus, on applique une cigarette dessus, elle remue bien, parfois jambes relevées et écartées, son vagin et son anus servent de cendrier, cette réjouissance s'appelle "la danse du cul", on comprend pourquoi
Marjo - le 20/06/2024 à 10h01
J'ai été élevée chez un couple dans une ferme à la campagne, ils étaient très sales, se lavaient peu. Très jeune je devais faire leur toilette intime à la langue, ça sentait très fort. Pour les punitions, je dormais attachée debout dans l'étable avec un épi de mais dans l'anus, si il tombait , le lendemain je reçevais 20 coups de baguette sur les fesses et je devais manger le mais qu'ils avaient fait macéré dans leur seau hygiénique, mon calvaire a duré jusqu'à ma majorité
Myriam - le 02/03/2025 à 18h22