Le blog de pamela

Rupert von Hentzau - Captive des Indiens
Depuis sa capture il y a un an elle ne portait plus qu'un soutien gorge dentelle noire mettant sa poitrine ferme bien en valeur avec un string dentelle assorti dont la forme épousait et mettait en valeur ses fesses rebondies. Elle portait aux pieds des escarpins noirs avec talons lui donnant une démarche trés sexy dans le camp.Des chaines courtes avec des bracelets métalliques reliaient ses chevilles pour éviter sa fuite. Des bracelets métalliques aux poignets permettaient la nuit de lui maintenir les bras dans le dos. Elisabeth marcha ce jour vers le ruisseau, lentement, comme si elle descendait pour boire de l'eau. Elle s'agenouilla sur le bord et se pencha pour se désaltérer. Elle regarda autour d'elle avec précaution. Il n'y avait personne en vue. Elle se redressa, fit un premier pas dans l'eau, puis quelques autres jusqu'au milieu du courant. A nouveau, elle se pencha pour prendre une gorgée d'eau. A nouveau, elle regarda avec soin autour d'elle. Il n'y avait toujours personne à l'horizon. Elle marcha lentement dans l'eau jusqu'à l'autre rive du ruisseau, s'arrêta sur le bord et se glissa derrière le tronc d'un saule. Si n'importe qui était venu lui demander ce qu'elle faisait, elle aurait fait comprendre qu'elle se reposait. Elle attendit. Personne ne se manifesta. Elle n'aperçut personne. Elle ne parvenait pas à croire qu'il était si facile de s'échapper du village. Elle se fraya silencieusement un chemin à travers la végétation de ce côté du ruisseau, puis se redressa et s'éloigna de la rive et du village. Elle ne savait pas exactement de quel côté se diriger, mais tout ce qui lui importait était de s'éloigner le plus possible du village. Elle pouvait à peu près se représenter la direction où se trouvait le campement des colons pour y être à l'abri de ses ravisseurs. Pendant une heure, elle traversa les bois, en suivant les pistes des animaux, toujours à l'affût pour voir si elle ne revenait pas accidentellement vers le village. Soudain, une silhouette se dessina derrière un grand chêne juste sur sa route. C'était celle d'un des chasseurs du village. Elle se retourna pour
s'enfuir, et en trouva un autre derrière elle. Elle se tourna sur sa gauche. Un autre chasseur émergeait des buissons. De quelque côté qu'elle se tourne, l'issue était bloquée par un Indien. Ils se rassemblèrent comme un troupeau, la renfermant à l'intérieur comme pour traquer un animal effrayé. Elle chargea comme un taureau pour passer au milieu de deux d'entre eux avant d'être saisie et rejetée dans les bras d'un troisième. Ils la dénudèrent, arrachant au loin son soutien gorge et le slip étroit. Puis ils attachèrent ses poignets devant elle avec une corde en cuir. Un des guerriers, une brute particulièrement grande et forte, se chargea de la corde. Ils s'en revinrent par la forêt, les autres chasseurs marchant devant eux. D'abord, ils semblèrent errer sans but. Mais l'un des chasseurs finit par trouver ce qu'ils recherchaient. Il interpella les autres et le groupe tout entier convergea dans la direction d'où venait sa voix. Il se tenait à côté de sa trouvaille, un arbre avec une fourche fendue d'environ dix pieds au dessus du sol. L'extrémité libre de la corde d'Elisabeth fut jetée par dessus la fourche. Quatre des chasseurs s'en emparèrent et tirèrent fortement, décollant les pieds d'Elisabeth. Elle fut plaquée contre le tronc, puis étirée vers le haut tout contre l'écorce rugueuse jusqu'à ce qu'elle se retrouve à vingt centimétres du sol. Ses chevilles furent saisies et attachées au tronc. La corde de ses poignets subit quelques fortes tractions supplémentaires avant d'être nouée, pour s'assurer qu'elle était bien fermement étirée contre le tronc de l'arbre. Tandis qu'Elisabeth était ainsi préparée, plusieurs Indiens s'en étaient allés. Ils s'en revinrent avec des branches soigneusement choisies, qu'ils repassèrent à leurs camarades.
Le groupe entier prit alors son tour pour fouetter Elisabeth, travaillant son dos, ses fesses et ses cuisses. Ils ne s'arrêtèrent pas avant qu'elle n'ait été couverte d'un réseau de stries. Alors, la corde fut libérée et elle tomba comme un paquet au pied de l'arbre. Ils la remirent sur ses pieds. Ses poignets furent croisés derrière elle en arrière et attachés. Une branche de cinq centimétres d'épaisseur et vingt centimétres de long fut alors sanglée à ses poignets. Ensuite, une mince corde faite d'un tendon fut étroitement nouée autour des mamelons d'Elisabeth en les reliant. La branche des poignets fut fixée entre ses jambes, dévoilant la fente de ses lèvres inférieures et forcant Elizabeth à s'étirer vers l'arriére. Une corde fut attachée avec une boucle passée au-dessus du tendon qui reliait ses mamelons. Puis elle fut rapportée vers le bas et attachée au bâton. L'Indien chargé d'attacher la corde lui donna plusieurs bonnes secousses pour s'assurer qu'elle était bien serrée. Ainsi, les épaules d'Elisabeth étaient tirées en arrière tandis que ses mamelons étaient allongés en bas, et que la branche creusait dans ses parties intimes. Il n'y avait aucune solution qui lui permette de soulager la pression sur une zone sans l'augmenter quelque part autrement. Pour finir, une corde en cuir fut attachée autour de son cou. Les Indiens se préparèrent à partir. Elisabeth fut brutalement remise sur ses pieds, mais parvint à regagner son équilibre. C'était un vrai chemin de croix, avec l'écorce rugueuse de la branche qui échauffait ses lèvres charnues à chaque pas. Mais deux des chasseurs, à petits coups de bâtons, avaient pris position derrière elle pour s'assurer qu'elle continuait de marcher. Ils atteignirent le village en quinze minutes. Elisabeth était consternée de voir le peu de distance qu'elle avait couvert dans sa tentative d'évasion. Trébuchant sur ses derniers pas au centre du village, elle s'effondra
aux pieds du chef. Celui-ci donna un ordre brusque. Ses liens furent retirés. Puis elle fut redressée par deux guerriers qui restèrent à côté d'elle pour la soutenir. Le chef la contempla longuement. Puis il se lança dans un long discours incompréhensible et violent. Il était visiblement très en colère. Elisabeth regarda à la dérobée pour tenter d'apercevoir Becky mais elle était nulle part. Après avoir fini de la terroriser, le chef dit à l'évidence " emmenez là " en faisant signe avec son bras. Les deux guerriers traînèrent à moitié Elisabeth une nouvelle fois jusqu'au poteau, où elle fut solidement liée nue pour la nuit.Un indien lui donna  boire et du riz. Tôt dans l'après-midi suivant, Elisabeth sans force fut retirée du poteau, déliée et traînée jusqu'au rectangle de bois pour de nouvelles tortures. Celui-ci avait été modifié légèrement. Il y avait maintenant une deuxième barre de bois en travers. Elle avait été installée à la hauteur de sa taille. Elle fut forcée de se placer dessous. Ses bras furent alignés le long de la barre et attachés par les poignets, les coudes et les épaules. Ses jambe furent alors tirées vers l'arrière, sous elle. Des bras musclés les écartèrent le plus loin possible. Elle perçut que ses chevilles étaient attachées aux pieux enfoncés dans la terre. Quand ils eurent terminé, Elisabeth se retrouva penchée vers l'avant, bras écartés dans la position de l'aigle, avec les seins qui se balançaient. Un petit groupe d'Indiens, hommes et femmes, portant des petits paquets et deux cuvettes en bois, s'approcha. Ils s'arrêtèrent devant Elisabeth. Un des hommes exhiba une paire de solides et larges brindilles. Un des femmes plongea dans une des cuvettes et en retira une mince bande de cuir vert et humide qu'elle remit à l'homme. Il relia adroitement l'une des extrémités des brindilles ensemble. Puis il attrapa un des mamelons d'Elisabeth et l'introduisit entre elles. Il resserra les brindilles ensemble et
attacha les extrémités libres avec une autre bande de cuir vert. Puis il appliqua le même traitement à l' autre mamelon. Les femmes retirèrent ensuite de plus longues et plus épaisses bandes de cuir vert de la cuvette dans laquelle elles s'imbibaient, et elles les remirent à deux autres hommes qui entreprirent de les lier étroitement autour des seins d'Elisabeth. Ils prirent quelques moments pour tester la solidité de leur ouvrage avant de passer à l'entrejambes d'Elisabeth. Elle sentit que des doigts calleux fourrageaient dans ses parties secrètes. Puis elle sentit que des brindilles rugueuses étaient placées et maintenues étroitement ensemble pour emprisonner ses grandes lèvres. Deux brindilles supplémentaires furent placées à l'extérieur de ses lèvres. Alors l'assemblage entier fut serré ensemble et attaché avec des bandes de cuir vert. Il sembla à Elisabeth qu'elle sentait presque immédiatement les brides de cuir brut se serrer pendant que le cuir vert se desséchait et rétrécissait. Mais le processus était trop lent pour ses tourmenteurs. Ils accumulèrent de petites piles de branchages sous ses seins et sa fourche. Ils apportèrent ensuite du charbon de bois du foyer, le placèrent sur les petits foyers et attisèrent la flamme. Ils maintenaient des feux très réduits afin que seulement l'air chaud et la fumée atteignent Elisabeth. Mais ceci accélérait le processus de dessication et pendant que le cuir vert séchait, les brides se rétractaient toujours davantage, comprimant inexorablement la plupart des organes sensibles. Et comme la pression augmentait, la douleur croissait également. Elle était régulière et constante. Il n'y avait rien qu' Elisabeth puisse faire sauf grincer des dents et essayer de la supporter. Des heures plus tard, pendant que le soleil s'estompait, le chef vint examiner le progrès de sa torture. Il caressa la poitrine rouge foncé, soupesa les crucifiee-010.JPG seins durs et gorgés de sang et donna un ordre. Une par une, les brides et les bandes furent retirées. Les Indiens étaient diaboliquement cruels même en la libérant de ses liens. Chacun était retiré à son tour, puis ils attendaient avant de passer au prochain. Et chaque fois qu'une courroie ou une bride était retirée, Elizabeth sentait une nouvelle vague de douleur la submerger pendant que l'écoulement du sang était restauré.Ils la firent hurler pendant une heure.C'était comme si des milliers de broches minuscules avaient été plantées dans sa chair. Ils commencèrent par les courroies autour de ses seins, puis les brides sur ses mamelons. Enfin ses lèvres furent libérées. Elisabeth se tordait furieusement,hurlait sans fin, dans un effort insensé pour échapper à ce qu'elle ressentait être comme des milliers d'aiguilles enfoncées dans ses lèvres. Quand elle eut enfin cessé de lutter, Elisabeth fut finalement détachée sans ménagement et reposée par terre. Il n'y avait aucune possibilité qu'elle puisse seulement essayer de s'échapper ou de résister. L'épreuve l'avait laissée vidée. Tandis qu'Elisabeth restait étendue là,épuisée par ses supplices, ses tortionnaires allèrent préparer la prochaine étape de sa torture. La barre inférieure, alors ajustée à sa taille,fut remontée. Quand les guerriers trouvèrent la bonne hauteur, celle-ci fut solidement remise en place à nouveau. Quatre guerriers saisirent alors le corps inerte d'Elizabeth, un par chaque bras ou jambe. Elle fut soulevée très haut, puis placée à cheval sur le rondin. Ses poignets furent placés au-dessus de la barre supérieure du portique et attachés ensemble. Puis, pour la touche finale, la dernière torture, ses chevilles furent placées derrière elle le long de ce rondin et étroitement maintenues. Ceci forçait Elisabeth à se pencher légèrement vers l'avant, plaçant plus de son poids sur sa vulve et son clitoris. Elle pouvait se soulever légèrement pour soulager la pression mais ses bras ne pouvaient pas soutenir son corps très longtemps et elle retombait sur ses parties intimes martyrisées qui saignierent rapidement .
Elizabeth resta à cheval sur la barre transversale qui la déchirait toute la nuit et jusqu'au début de l'après-midi suivant. D'ici là, la moitié inférieure entière de son corps s'était engourdie.Elle n'avait plus la force de se soulever, son clitoris ,ses lèvres vaginales et son anus étaient écorchés à vif. Elle devenait folle de douleur et souhaitait la mort rapidement. Quand elle fut finalement enlevée de la barre et remise sur ses pieds, elle s'effondra dans un semi évanouissement. Il lui fut donné un bref sursis de peut-être une demi-heure, puis elle fut forcée de se tenir sur ses jambes flageolantes. Ses poignets furent encore liés derrière elle tandis qu'elle était menée par l'entrée du village vers le bord de la forêt. Ils l'arrêtèrent juste avant qu'elle ait atteint la lisière de la forêt. Deux jeunes arbres vigoureux, de six à huit pouces de diamètre, se tenaient là à environ six pieds l'un de l'autre. Toutes les branches inférieures avaient été coupées. Deux solides poteaux avaient été posés horizontalement entre eux, l'un à hauteur de poitrine, l'autre à mi-cuisse. Elizabeth fut forcée de se tenir entre les arbres, face aux poteaux. Ses bras et ses jambes furent écartelés au maximum et attachés dans la position de l'aigle. Dans cette position, ses seins reposaient sur la barre transversale supérieure tandis que la plus basse croisait ses cuisses entre ses genoux et son sexe glabre. Ses cuisses furent rapidement et étroitement ligotées à la barre. Puis ses seins furent solidement attachés sur la barre supérieure. Les guerriers se tinrent en arrière et les femmes s'avancèrent. Chacune portait une poignée d'épines. Elles commencèrent d'enfoncer les épines dans les fesses d’Élisabeth et les parties exposées de ses seins. Elles semblaient particulièrement amusées par le fait de piquer les épines dans la zone périphérique de son anus. En conclusion, quand elles furent satisfaites de leur travail, elle concentrèrent leurs efforts sur le sexe d’Élisabeth. L'une après l'autre, elles prirent leur tour pour enfoncer des épines dans
ses lèvres externes et dodues provoquant des tressaillements incontrôlables du bas ventre d'Elizabeth, hurlant sa douleur, incapable d'échapper à ses tortionnaires. Les femme s'écartèrent. Un petit feu avait été allumé près du chemin un peu plus loin. Le vieil ennemi d'Elisabeth, le guerrier dont l'épouse avait été massacrée, se tenait à côté. Il choisit avec soin un brandon enflammé et marcha vers Elisabeth. Avec un visage parfaitement impassible, il le maintint juste au- dessous de l'un de ses mamelons. Elisabeth poussa un hurlement de terreur. Elle fit un effort désespéré pour s'écarter loin de la flamme, mais les liens maintenaient les parties menacées strictement immobiles. Le guerrier déplaça la torche sous l'autre mamelon. Il allait dans les deux sens, martyrisant le premier, puis l'autre.Une odeur de chair brulée se répandit dans la forêt. Quand il eut réduit les deux pointes fragiles à l'état de ruines carbonisées, il s'en alla plus loin,parfaitement impassible, en jetant le brandon sur le feu. Elizabeth avait finie de hurler,elle s'était évanouie de douleur. Alors, un groupe de guerriers s'approcha. Deux d'entre eux délièrent la barre transversale supérieure. Lorsqu'elle fut libérée, ils la tirèrent le plus loin possible d'Elisabeth, étirant par là même son ample poitrine au seuil de la rupture. Deux autres guerriers s'approchèrent, et chacun était porteur d'un long coutelas rouillé. Alors que la foule s'était rapprochée du cercle pour profiter du spectacle, les deux guerriers entreprirent avec lenteur de scier doucement les larges mamelles étirées d'Elisabeth. Les couteaux étaient ébréchés. Ils prirent tout leur temps pour séparer de son torse les bandes de chair tendre et vulnérable. Pour Elisabeth, le supplice insupportable sembla durer pendant des heures interminables, le sang coulait sur son ventre pendant que la lame coupait la chair ses seins. Quand la dernière bande de peau fut tranchée, la barre transversale, avec ses deux trophées sanglants toujours en place, fut portée haut et exhibée devant les yeux d'Elisabeth torture-femmes.png Rupert von Hentzau - Captive des Indiens Page 35 qui vis une derniére fois ses seins si généreux pendre sanguinolant avant d'être prise de nouveau et portée au village pour être exposée. Trois femmes, l'une d'elle étant la vieille squaw qui avait fouetté Elisabeth si sévèrement, s'approchèrent ensuite, car la prochaine étape de la mutilation d'Elisabeth était leur domaine réservé. Elles se mirent à genoux devant sa vulve exposée. Des doigts saisirent avec précision une des petites lèvres d'Elisabeth et l'étirèrent jusqu'à la déchirer. La lame d'un couteau jeta un éclair. Elisabeth hurla encore. Le morceau de chair ensanglanté fut brandi sous les acclamations et les hululements des spectateurs. Puis il fut jeté en pâture à un des nombreux chiens qui s'étaient arrêté autour de la foule. L'autre lèvre intérieure fut amputée, exhibée et jetée. La vieille sorcière entreprit de pincer le misérable clitoris d'Elisabeth entre le pouce et l'index, incrustant le bout de ses ongles dans la chair tendre. Lentement, elle commença de le scier avec son couteau, pour faire durer l'opération et la rendre plus douloureuse. Une fois encore Elisabeth cria longuement puis elle s'évanouit, s'effondrant dans ses liens. Elle ne vit pas ce qui était advenu de son minuscule organe. Tandis qu'elle reprenait lentement ses esprits, les Indiens retirèrent la barre transversale inférieure. Ils commencèrent également à empiler des bâtons et des branches entre les jambes d'Elisabeth jusqu'à ce que la pile atteigne ses genoux. Quand Elisabeth fut tout à consciente, le chef donna un ordre. Deux guerriers se dirigèrent vers le petit feu et choisirent des branches enflammées. Ils s'approchèrent d'Elisabeth, tenant haut les pieux flamboyant. Ils passèrent derrière elle. Ils appliquèrent les torches sur la pile de bois entre ses jambes. Le feu prit rapidement. Soudain, elle sentit des mains écarter ses fesses. En réalisant ce qui allait se produire, elle poussa un hurlement sauvage. Une des
torches flamboyantes fut poussée dans son anus.Un moment plus tard, l'autre fut enfoncée dans son vagin. Les guerriers faisaient attention à pousser les bâtons sans éteindre les flammes. Avec la douleur abominable entre ses jambes des flammes qui léchaient ses parties intimes ,elle ne se rendit pas compte que des mains saisissaient ses cheveux, tirant sa tête en arrière et qu'un couteau découpait une incision, déchirant profondément son cuir chevelu pour scalper sa longue chevelure blonde. La douleur était à son paroxisme, son corps n'était que souffrances infinis. elle n'avait plus de seins ,plus de parties intimes et sans cheveux. Elle était couverte de sang. Elle espérait seulement que le feu qui léchait ses jambes, ses fesses et sa vulve, augmenterait et la consumerait rapidement pour mettre fin à son calvaire. Mais les indiens étaient sadiques et ils voulaient que la femme blanche meure lentement.Effectivement pendant des heures Elizabeth hurla dans le camp,se tordit dans ses liens sans effet,le feu lentement la dévorait,elle poussa des cris qui firent frissonner les indiens tant ils étaient devenus inhumains. Ses beaux yeux bleus étaient révulsés de souffrance, elle demanda de nombreuses fois qu'on l'achéve pour arreter ses souffrances mais les femmes indiennes voulaient la laisser souffrir jusqu'à sa mort. Son supplice dura toute l'aprés midi;elle mourut d'épuisement dans la soirée sans cris n'ayant plus de voix pour crier sa douleur infini. Le lendemain, après un sévère engagement avec les indiens hostiles, une force combinée de militaires de carrière et de miliciens entra dans le village abandonné. Charles Kempton, un sergent de la milice,découvra  le superbe corps nu torturé d'Elizabeth était encore attaché aux poteaux, écartelé sans vie. Son visage trahissait encore l'horreur du supplice. Elle était morte certainement dans un ultime long hurlement,ses yeux étaient exhorbités et sa bouche grande ouverte quand il lui redressa sa tête chauve tombée sur sa poitrine mutilée. Ses cuisses étaient couvertes du sang de son sexe et le l'anus torturés. Il frissonna en pensant à ce qu'avait pu etre ses supplices. En fouillant les teepees un régulier lui  apporta le scalp de cheveux blonds d'Elizabeth.
Jeu 12 sep 2013 13 commentaires
En mode barbecue pour celles qui ont chaud au cul
Titusse - le 11/10/2022 à 11h55
La dernière photo est un très beau spectacle réservé aux femelles adultères, elle va donner des coups de reins pour échapper aux flammes, simulant une saillie, les lèvres et le clitoris finiront par rotir en dégageant une odeur de truie grillée, pour les mamelles on utilisera un chalumeau avant de la finir par une longue séance de baton sur tout le corps
Mikaz - le 06/01/2023 à 16h01
Avant de la placer sur le braséro, on arrache les tétons, les lèvres du sexe, le clitoris à la pince, puis en fistant, on tire les ovaires pour qu'ils pendent entre les pattes, danse du cul assuré pour échapper aux flammes
Pivert - le 26/01/2024 à 11h37

cela doit être horrible pôur la suppliciée...

pamela
Il n'y a pas de limites pour faire jouir une femelle
Lacor - le 26/01/2024 à 11h40

c'est vrai elles se tordent bien dans les liens

pamela
Dans certains pays la femme adultère est exposée dans une salle devant la famille, dénudée , attachée couchée, les jambes relevées et écartées pour dévoiler ses orifices. On commence par tirer ses lèvres vaginales et on décalotte le clitoris pour le masturber entre deux doigts, la femme donne des coups de ventre , gémit jusqu'à jouissance. Ensuite on passe un chiffon dans le sexe pour l'imprégner de ses sécrétions qui sont présentés au public pour prouver qu'elle est coupable. La famille donne son acceptation pour qu'elle soit punie. La famille se retire pendant que deux punisseurs entre fouet à la main. Ils seront charger de la travailler sur et dans le corps sans modération en faisant durer le plaisir, les seins, le vagin et l'anus étant particulièrement longuement travaillés à la main et aux instruments pour la rendre indésirable à tous les males
Claudio - le 08/03/2024 à 14h38
Sur certains marchés aux esclaves femelles, une section est réservée aux jeunes gamines pubères qu'on excisent pour les destiner à la reproduction intensive. Après plusieurs vélages, elles servent dans des spectacles de saillies chevalines et autres réjouissances des inquisiteurs
Ruty - le 03/04/2024 à 18h18
En Afrique des femmes blanches infidèles à la religion sont capturées, enfermées dans des geoles et offertes en permanence à des males en rut. Tous les mois un diner spectacle est organisé où elles sont présentées et offertes pour animer la soirée comme sur la dernière photo, elles sont travaillées le plus longtemps possible afin d'offrir aux spectateurs leurs contorsions, battues, grillées, empalées
Moulouk - le 04/04/2024 à 10h55
Faire griller le sexe d'une femme au dessus d'un braséro est réservé dans certains pays aux femmes adultères, progressivement on monte et on descend pour que ce soit très long, une punition logique pour celles qui ont chaud au cul, elle remue bien, donne des coups de reins pour échapper aux flammes qui lui dévorent les babines en dégageant une odeur de truie grillée
Barbeuk - le 20/06/2024 à 10h29
Sur la dernière photo, un exemple de spectacle offert aux invités lors de diners spectacles avec des femelles opposantes au régime, ce sera sans limites, la nuit sera longue
Fakir - le 20/06/2024 à 10h36
En Asie, on place la femme adultère sur un nid de fourmis carnivores, on étire le sexe en le badigeonnant de substances sucrées afin qu'elles pénètrent et dévorent lentement l'intérieur du sexe. Le spectacle dure parfois plusieurs jours et nuits, la condamnée remue beaucoup et hurle en permanence jusqu'à ce que son corps ne soit plus qu'une plaie, lèvres vaginales, clitoris, ovaires sont rongés par les bestioles, plusieurs jours après on ne retrouvera qu'un tas d'os
Bestiol - le 14/08/2024 à 14h48